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La prévention commence bien plus tôt que l’on ne pense!! avant meme la naissance !!!! C’est ce que révèle une étude (la consommation de certains légumes par les femmes enceintes protègerait leurs enfants du cancer).
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On sait que l’alimentation joue un rôle dans la prévention de certains cancers. D’ailleurs n’est-il pas conseillé de manger des fruits et légumes chaque jour ? Et cette prévention commence bien plus tôt que l’on ne pense. C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans le journal Carcinogenesis, qui indique qu’une consommation de certains légumes par les femmes enceintes protègerait leurs enfants du cancer.
Il existe divers polluants environnementaux dont certains peuvent être cancérigènes comme par exemple les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polychlorobiphényles (PCB) ou les dioxines, qui pour la plupart passent la barrière placentaire ou sont transmis aux enfants par l’allaitement.
On imagine bien que ces polluants ne sont pas sans risque pour la santé des enfants. C’est le cas notamment des HAP, que l’ont retrouvent dans la fumée de cigarette, ou encore issus de la combustion de matériaux organiques.
Il a été observé que ces HAP causent des dommages au niveau de l’ADN chez les nouveaux nés, et sont associés à une augmentation du risque de leucémie. Alors, à défaut de pouvoir éviter une exposition, n’est-il pas possible de mettre en place une quelconque prévention ?
La réponse est oui, et ce avec un régime alimentaire « adapté » pour les femmes enceintes. Plus précisément, une alimentation riche en indole-3-carbinol, une substance phytochimique que l’on retrouve dans certains légumes tels que les choux. Et cette réponse est apportée par des chercheurs qui ont constaté une diminution du nombre de souriceaux foudroyés par une leucémie, ainsi que du nombre de cancer du poumon chez les survivants; toutes ces progénitures provenant de souris exposées à une forte dose de HAP.
Bien sûr, la dose de HAP reçu était nettement supérieure à ce que l’on peut retrouver dans l’environnement. Mais les chercheurs pensent que cet effet protecteur peut se transposer à la femme enceinte.
De plus, sachant que sur 10 cas de cancer de poumon, un seul des malades est fumeur, l’exposition à ce type de polluants pourrait bien être un des facteurs de prédisposition au développement de cette maladie.
Source: Physorg
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On sait que l’alimentation joue un rôle dans la prévention de certains cancers. D’ailleurs n’est-il pas conseillé de manger des fruits et légumes chaque jour ? Et cette prévention commence bien plus tôt que l’on ne pense. C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans le journal Carcinogenesis, qui indique qu’une consommation de certains légumes par les femmes enceintes protègerait leurs enfants du cancer.
Il existe divers polluants environnementaux dont certains peuvent être cancérigènes comme par exemple les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polychlorobiphényles (PCB) ou les dioxines, qui pour la plupart passent la barrière placentaire ou sont transmis aux enfants par l’allaitement.
On imagine bien que ces polluants ne sont pas sans risque pour la santé des enfants. C’est le cas notamment des HAP, que l’ont retrouvent dans la fumée de cigarette, ou encore issus de la combustion de matériaux organiques.
Il a été observé que ces HAP causent des dommages au niveau de l’ADN chez les nouveaux nés, et sont associés à une augmentation du risque de leucémie. Alors, à défaut de pouvoir éviter une exposition, n’est-il pas possible de mettre en place une quelconque prévention ?
La réponse est oui, et ce avec un régime alimentaire « adapté » pour les femmes enceintes. Plus précisément, une alimentation riche en indole-3-carbinol, une substance phytochimique que l’on retrouve dans certains légumes tels que les choux. Et cette réponse est apportée par des chercheurs qui ont constaté une diminution du nombre de souriceaux foudroyés par une leucémie, ainsi que du nombre de cancer du poumon chez les survivants; toutes ces progénitures provenant de souris exposées à une forte dose de HAP.
Bien sûr, la dose de HAP reçu était nettement supérieure à ce que l’on peut retrouver dans l’environnement. Mais les chercheurs pensent que cet effet protecteur peut se transposer à la femme enceinte.
De plus, sachant que sur 10 cas de cancer de poumon, un seul des malades est fumeur, l’exposition à ce type de polluants pourrait bien être un des facteurs de prédisposition au développement de cette maladie.
Source: Physorg