En plus d’une collaboration dans le nucléaire civil et le développement du gaz de schiste, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal actuellement en visite en Russie, et son homologue russe, Dimitri Medvedev discuteront de contrats d’armement, rapporte, ce mercredi 27 avril, le quotidien économique Kommersant.
Un système de défense antimissile balistique
Il s’agirait notamment de l’acquisition par l’Algérie d’une variante du système de missiles antiaériens « S-300 ». Dans son itération S-300VM, aussi connu son appellation « Antei-2500 », ces systèmes permettent de lutter contre les missiles balistiques et de croisière. Un ajout de taille dans l’arsenal de l’Armée nationale populaire (ANP). L’armée algérienne possède déjà des S-300PMU2, la version orientée vers la protection anti-aéronefs.
Dans un autre article, le même quotidien rappelle que l’Algérie a acquis des missiles antiaériens Buk-M2E, ainsi que des équipements variés (tanks T-90SA, hélicoptères, missiles, chasseurs…). Des contrats de plusieurs milliards de dollars ces dernières années. L’Algérie est l’un des principaux partenaires de la Russie dans le domaine de la défense, rappelle Kommersant. SOURCE: TSA
La part belle à l’(anti-)aérien
Par ailleurs, Sellal et Medvedev discuteront, selon la même source, de nouveaux contrats pour la livraison de bombardiers Su-32 et des avions de supériorité aérienne, les redoutés Su-35, tous deux du constructeur Sukhoi.
Les deux Premiers ministres aborderont également d’une précédente commande de 16 autres avions, des Su-30MKA, dont 8 pourraient être livrés dès cette année, selon Kommersant.
Coopération dans le domaine ferroviaire
Le plan de modernisation du secteur ferroviaire algérien, évalué à 8 milliards de dollars, selon Kommersant, aiguise l’appétit du conglomérat Rossiskie Jeleznodorogi (RJD, Chemins de fer russes).
Ainsi, l’entreprise étatique RJD « étudie la possibilité d’acquérir un opérateur ferroviaire ou d’un institut de design » dans le domaine, en Afrique du Nord (Algérie et Égypte), affirme le PDG de RJD, Oleg Belozerov, selon des propos rapportés par le quotidien russe
Un système de défense antimissile balistique
Il s’agirait notamment de l’acquisition par l’Algérie d’une variante du système de missiles antiaériens « S-300 ». Dans son itération S-300VM, aussi connu son appellation « Antei-2500 », ces systèmes permettent de lutter contre les missiles balistiques et de croisière. Un ajout de taille dans l’arsenal de l’Armée nationale populaire (ANP). L’armée algérienne possède déjà des S-300PMU2, la version orientée vers la protection anti-aéronefs.
Dans un autre article, le même quotidien rappelle que l’Algérie a acquis des missiles antiaériens Buk-M2E, ainsi que des équipements variés (tanks T-90SA, hélicoptères, missiles, chasseurs…). Des contrats de plusieurs milliards de dollars ces dernières années. L’Algérie est l’un des principaux partenaires de la Russie dans le domaine de la défense, rappelle Kommersant. SOURCE: TSA
La part belle à l’(anti-)aérien
Par ailleurs, Sellal et Medvedev discuteront, selon la même source, de nouveaux contrats pour la livraison de bombardiers Su-32 et des avions de supériorité aérienne, les redoutés Su-35, tous deux du constructeur Sukhoi.
Les deux Premiers ministres aborderont également d’une précédente commande de 16 autres avions, des Su-30MKA, dont 8 pourraient être livrés dès cette année, selon Kommersant.
Coopération dans le domaine ferroviaire
Le plan de modernisation du secteur ferroviaire algérien, évalué à 8 milliards de dollars, selon Kommersant, aiguise l’appétit du conglomérat Rossiskie Jeleznodorogi (RJD, Chemins de fer russes).
Ainsi, l’entreprise étatique RJD « étudie la possibilité d’acquérir un opérateur ferroviaire ou d’un institut de design » dans le domaine, en Afrique du Nord (Algérie et Égypte), affirme le PDG de RJD, Oleg Belozerov, selon des propos rapportés par le quotidien russe
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