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Obligations souveraines: Fitch rating confirme le "bbb-" du maroc

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  • Obligations souveraines: Fitch rating confirme le "bbb-" du maroc

    L'agence de notation a reconduit les dernières notes attribuées au Maroc, tout en soulignant des améliorations sur certains indicateurs clés qui réduisent la vulnérabilité de l'économie marocaine.

    Pas de changement de notation pour les obligations souveraines du Maroc chez Fitch Rating! L’agence de notation vient de confirmer son BBB- avec perspectives stables attribué au titre de dettes émis par le royaume en monnaie étrangère sur le long terme, et son "BBB" pour les titres émis en monnaie locale. Le plafond de la note souveraine est maintenu à "BBB".

    L’agence justifie cette notation par la stabilité macroéconomique et le faible risque sur les finances publiques. Elle ajoute, par ailleurs, que la vulnérabilité de l’économie nationale face aux chocs extérieurs s’est nettement réduite depuis que les prix des produits pétroliers sont au plus bas. Le développement de nouveaux secteurs à l’export est également de nature à rassurer l’agence de notation.

    Il est vrai que les finances extérieures du pays restent soumises aux aléas de la conjoncture internationale. Cependant, le royaume dispose d’un matelas de sécurité formé principalement par les réserves en devises qui se sont nettement améliorées ces douze derniers mois, de bonnes perspectives pour la captation des investissements directs étrangers, ainsi que par la ligne de précaution et de liquidité de cinq milliards de dirhams dont il dispose auprès du FMI.

    le 360

  • #2
    Salam wa3alikoum

    Et malgres toutes les annonces á longueur de journée sur les investissements etrangers au Maroc , les implantations ect........ et malgres tout ca l´agence de notation financiére Fitch vient infliger un vrai camouflet au Maroc en lui donnant une note financiere mediocre bbb-
    Dernière modification par khayamm, 29 avril 2016, 08h55.

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    • #3
      ......................
      Dernière modification par m.rico, 29 avril 2016, 16h30.
      "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
      Johann Wolfgang von Goethe

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      • #4
        Wa énta ka tadwi bachkaaaal t´bark allah

        1- les pays qui n´ont pas de note financiére ce sont les pays qui n´ont pas besoin de s´endetter

        2- pour ton sens d´humour . on est sur la rubrique economique . donc l´humour et l´humour ironique sont hors charte . voila
        Dernière modification par khayamm, 29 avril 2016, 09h33.

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        • #5
          1- les pays qui n´ont pas de note financiére ce sont les pays qui n´ont pas besoin de s´endetter
          Oui mais visiblement plus pour longtemps.

          Et malgres toutes les annonces á longueur de journée sur les investissements etrangers au Maroc , les implantations ect........ et malgres tout ca l´agence de notation financiére Fitch vient infliger un vrai camouflet au Maroc en lui donnant une note financiere mediocre bbb-
          Je ne vois pas de grand différence par rapport à ca :
          Maroc : Fitch Ratings confirme le niveau « Investment Grade » avec perspective stable Agence Ecofin) - L'agence internationale de notation Fitch Ratings a confirmé le niveau de notation « Investment Grade » attribué au Royaume du Maroc (PIB 2012 : 96,73 milliards $ ; Population : 32,52 millions) avec perspective stable.

          La dette en devises et la dette en monnaie locale sont ainsi assorties, respectivement, des notes «BBB-» et «BBB». La note «F3» de la dette à court terme en devises et la note de plafond souverain «BBB» ont également été confirmées.
          Selon Fitch Ratings, la confirmation de ce niveau de notation traduit la résilience du pays durant les années qui ont suivi les événements du printemps arabe, amorcés au début de 2011.
          Fitch Ratings a souligné que la stabilité politique et sociale a permis de maintenir des niveaux élevés de croissance du PIB et des flux des investissements directs étrangers.
          A l'horizon 2015, Fitch Ratings prévoit une baisse des niveaux du déficit budgétaire et du déficit du compte courant et une stabilisation de la dette et ce, en raison de la volonté politique de mettre en place les réformes nécessaires et des perspectives d'une reprise économique graduelle dans la zone euro.

          De là a parlé de" un vrai camouflet ". On en reparlera quand l’Algérie sera classée.

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          • #6
            1- les pays qui n´ont pas de note financiére ce sont les pays qui n´ont pas besoin de s´endetter
            Absolument faux. Ce sont les ripoubliques bananières qui n'ont aucune chance de trouver un créancier, qui ne sont pas classés dans les classements des 3 principaux organismes de crédit. Le classement sert aussi de référence aux investisseurs internationaux ...lorsqu'il y en a...

            D'ailleurs, l'Algérie se fait prêter de l'argent par la Chine à défaut de trouver d'autre créancier et est donc classé dans le Dagonq (organisme de crédit chinois). Son dernier ckassement date d'octobre 2014 avant la dégringolade des ressources pétrolières, mais était déjà classée derrière le Maroc (BBB- contre BBB).

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            • #7
              Le protecteur français vous a insuflé son leitmotiv "chanter les pieds dans la *****" et cela gigote sur le rating maina oudjef el kasdir

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              • #8
                @Spoutnik

                D'ailleurs, l'Algérie se fait prêter de l'argent par la Chine à défaut de trouver d'autre créancier et est donc classé dans le Dagonq (organisme de crédit chinois). Son dernier ckassement date d'octobre 2014 avant la dégringolade des ressources pétrolières, mais était déjà classée derrière le Maroc (BBB- contre BBB)
                Donc un pays qui n'a plus de dette(ou presque) extérieur,car completement remboursé,et moins bien noté qu'un pays qui est endetté?

                Il est vrai que les finances extérieures du pays restent soumises aux aléas de la conjoncture internationale. Cependant, le royaume dispose d’un matelas de sécurité formé principalement par les réserves en devises qui se sont nettement améliorées ces douze derniers mois
                Égal ou supérieur a celui de l'Algerie?
                "Il est à souligner que la quasi-totalité des placements des réserves de l’Algérie, soit 90%, sont répartis entre les États-Unis et l’Europe, lesquels auraient rapporté à l’Algérie 4,45 milliards de dollars en 2011.

                *"L’Algérie prête 5 milliards de dollars au FMI"

                **"Zahir Serrai : Je crains que d’ici le premier trimestre 2016, l’Algérie retourne à l’endettement extérieur. Le premier prêt que le pays pourrait demander au FMI et autres institutions internationales se situerait entre 10 et 20 milliards de dollars au FMI, au lieu de récupérer les 9 milliards de (2001-2014) de dollars que l’état algérien avait alloué aux pays africains sous forme d’une aide urgente pour développer leurs infrastructure de base, alors que les vraies raisons sont purement politiques.

                Pourquoi ramener tout le temps le débat sur l’Algérie,alors que l'on parle du Maroc.
                Quand le Maroc parle d’investissement chinois,pour le coup et argent a une bonne odeur,mais si les algériens se font prêter le même argent,c'est louche,on se demande pourquoi on ne va pas le chercher ailleurs.

                C'est bon vous êtes les meilleurs,si si.



                *http://www.liberte-************/actu...-au-fmi-114216

                http://www.leconews.com/fr/actualite...175416_290.php

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                • #9
                  Donc un pays qui n'a plus de dette(ou presque) extérieur,car completement remboursé,et moins bien noté qu'un pays qui est endetté?
                  @Annabi

                  Le sérieux d'un emprunteur et sa crédibilité à rembourser ses créanciers ne dépend pas uniquement de son taux d'endettement...Loin de là.... Pour les dettes souveraines, cela prend aussi en compte le risque politique (stabilité, gouvernance...), ainsi que la santé économique du pays aussi bien pour le long-terme que pour le court-terme.

                  Tu peux comprendre qu'un éventuel créancier soit préoccupé par les faits que :
                  • L'Algérie dépende à 96% de ses revenus pétroliers et gaziers, dont le cours s'est effondré et est décidé par une poignée de traders à Wall Street,
                  • L'incapacité du gouvernement algérien à faire des réformes pour pallier à une éventuelle baisse durable de ses ressources
                  • une présidence en état végétatif aussi bien au sens propre qu'au sens figuré
                  • un système économique et bancaire archaique et complètement sclérosé
                  • une proximité prouvée des dirigeants avec les terroristes.


                  Si l'agence Dagonq devait réévaluer son classement aujourd'hui, il est évident que le rang algérien serait bien plus mauvais qu'en 2014.

                  Lorsqu'on voit qu'un simple juge anglais a rejeté l'engagement du "président algérien" à ne pas torturer un terroriste en cas d'extradiction en Algérie, expliquant que l'Etat algérien n'est pas crédible, on peut imaginer les doutes d'un éventuel créancier devant prêter son argent à l'Algérie pour une période de 10ans à 50 ans...

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                  • #10
                    Si l'agence Dagonq devait réévaluer son classement aujourd'hui, il est évident que le rang algérien serait bien plus mauvais qu'en 2014.
                    Mais pourquoi tu n'arrive a comprendre qu'un créancier ne cherche que la rentabilité.

                    Il y a eu une période ou le Baril était a 30$,cela n'a pas empêchait l'Algerie de s'endetter a outrance.
                    Elle a bien trouvé des créancier en France et ailleurs pour lui prêter de l'argent,tu crois que la situation économique était meilleur?

                    Et si tu a bien suivi mes propos sur ce forum,j'ai dis que la baisse du prix du pétrole est une chance pour le pays afin qu'il entreprend des reformes,même chose pour le recours a l'endettement,si c'est pour investir dans des projets d'avenir(éducation,santé,environnement)c'est bénéfique,par contre si c'est pour avoir la paix sociale ou que cet argent se retrouve ailleurs c'est néfaste.


                    Lorsqu'on voit qu'un simple juge anglais a rejeté l'engagement du "président algérien" à ne pas torturer un terroriste en cas d'extradiction en Algérie, expliquant que l'Etat algérien n'est pas crédible, on peut imaginer les doutes d'un éventuel créancier devant prêter son argent à l'Algérie pour une période de 10ans à 50 ans.
                    Arrête de mélanger le politique et l’économique quand il s'agit de business?Meme la Corée du nord trouve des financements.

                    Tu pense vraiment que la Grèce est en bonne santé et que les créanciers sont sur d’êtres remboursés?Pourtant elle arrive a se financer sur les marchés a des taux élevés,mais elle arrive.

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                    • #11
                      Pas de quoi se réjouir !

                      L’agence de notation vient de confirmer son BBB-
                      Tout juste la limite en dessous de laquelle l'obligation est considérée comme pourrie.

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                      • #12
                        Combien coûte la dette, c'est l'important...
                        combien paie le Maroc pour chaque dollar emprunté par année?

                        Commentaire


                        • #13
                          combien paie le Maroc pour chaque dollar emprunté par année?
                          Cela dépend du créancier, de la durée du prêt ... Mais globalement au dessus de 5% d'intérêt.

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                          • #14
                            Mais pourquoi tu n'arrive a comprendre qu'un créancier ne cherche que la rentabilité.
                            Evidemment, mais si l'Etat emprunteur ne peut pas rembourser pour une raison quelconque, quelque soit le taux du crédit, les créanciers perdront la totalité de leurs fonds. Donc, ils doivent s'assurer qu'à court terme et à long terme, l'Etat pourra tenir ses engagements et aura les ressources financières pour les rembourser. Le facteur politique est évidemment primordial pour les dettes souveraines.

                            On ne sait pas qui décide en Algérie, qui dirige vraiment et ce qui se passerait si la paix sociale ne peut plus être achetée.

                            Ne compare pas avec la Grèce qui est un pays démocratique européen, et porté à bouts de bras par tous les pays occidentaux.

                            L'Algérie trouvera prêteur si elle en a besoin. C'est juste que le taux d'intérêt sera important car il comprendra une prime de risque importante. Pour le peuple algérien, ce ne serait pas plus mal car les créanciers imposeront des réformes qui seront certes très douloureuses, mais qui seront salutaires pour le long terme. Les dirigeants algériens ne sont pas capables de faire des réformes pour l'instant, car il n'y a ni contre-pouvoir, ni'opposition.

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                            • #15
                              Pour les agences de notation, l’économie marocaine reste solide mais tourne au ralenti

                              Alors que les différentes agences de notation renouvellent leur confiance dans la solvabilité de l’économie marocaine, le taux de croissance est revu à la baisse par quasiment toutes les institutions financières. Dernier exemple avec la notation de l'agence Fitch Ratings.

                              C’est le dernier rapport de cette session d’avril d’actualisation de prévisions économiques. L’agence Fitch Ratings vient de confirmer le maintien de la notation souveraine du Maroc à « BBB- » avec perspective stable. Elle vient se joindre à la longue liste des agences et institutions financières nationales et internationales qui ont scruté l’économie marocaine durant ces dernières semaines, de la Banque mondiale au FMI, en passant par Standard & Poor’s.

                              Fitch Rating rejoint ces institutions en montrant un certain optimisme quant à la situation macro-économique du royaume, mettant en avant la baisse de la facture énergétique sous l’effet du recul des prix du pétrole, la diminution du déficit du compte courant, le développement de nouvelles industries à l’exportation. L’agence de notation anglo-américaine estime ainsi que l’objectif de limiter le déficit budgétaire à 3,5% du PIB en 2016 semble crédible.

                              Croissance au ralenti

                              Il n’empêche que Fitch Rating s’attend à un ralentissement de la croissance, à moins de 2 % (contre +4,5 % en 2015), en raison de la baisse de la demande en provenance de l’Europe, de la réduction attendue des recettes de tourisme, mais aussi de la chute de la production agricole.

                              « La dette publique du Maroc reste plus élevée que les pays ayant la même note, à 49,1 % du PIB fin de 2015 (contre une médiane de 42,2 % dans la catégorie ‘BBB’), mais elle est stabilisée en 2015 après six années de croissance (32,1 % du PIB en 2008 ) et Fitch s’attend à ce qu’elle baisse en 2016. Sa structure est favorable, avec une charge d’intérêt plus faible et une part de la dette libellée en devises étrangères qui est plus petite que les médianes du groupe ‘BBB' », estime l’agence anglo-américaine dans son rapport.

                              Ces mêmes arguments, on les retrouve également dans le rapport de Standard & Poor’s qui a maintenu également, début avril, son rating pour le Maroc à « BBB-/A3 » avec perspective stable. L’agence attire en outre l’attention sur les tensions sociales qui « devraient accroître les défis sociopolitiques auxquels le gouvernement devra faire face dans le contexte des élections législatives prévues en octobre 2016 ». S&P projette ainsi un taux de croissance pour le royaume à +1,8 % seulement en 2016.

                              Le cavalier solitaire du ministère des Finances

                              Cette prévision est en ligne avec le taux de croissance attendue par la Banque mondiale pour le royaume (+1,7 %). Le Fonds monétaire international, plus optimiste, table sur une croissance de + 2,3 %, selon le dernier panorama de la croissance mondiale, rendu public le 11 avril.

                              Ces deux institutions financières ont revu leurs prévisions de croissance d’un point, entre les rapports d’avril et les missions effectuées quelques mois plus tôt.

                              Leurs prévisions de croissance restent néanmoins supérieures à celle des institutions marocaines qui se veulent encore plus conservatrices. Le Haut commissariat au plan et la Banque centrale marocaine projettent une croissance respectivement de +1,3 % et +1 % seulement.

                              Ces dernières pointent, entre autres, le ralentissement des crédits accordés par les banques ou encore la saison agricole compromise.

                              Malgré tout, le ministère des Finances campe toujours sur ses prévisions au taux de +3 % qu’il avait pris pour base lors de l’élaboration du budget 2016, en octobre dernier. « En temps normal, le département des Finances aurait lui aussi revu ses ambitions à la baisse, à l’instar de tous les organismes nationaux et internationaux. Mais dans une année électorale, la décision est plus politique que technique…», décrypte une source au sein du ministère des Finances.


                              jeune afrique

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