Toujours la même histoire avec ces pseudo démocrates humanistes qui ne supportent pas la contradiction. Toujours la même histoire avec ces donneurs de leçons qui en réalité ne veulent que le pouvoir pour imposer leur folie au monde entier. Il leur est insupportable d’imaginer une seconde que l’on ne soit pas en accord avec leurs crimes ! C’est d’autant plus grave si des postes clés sont pris par des arabo-musulmans…
« Mon action en tant que présidente ne doit pas se limiter au seul cadre de notre syndicat NUS, elle doit avoir des répercussions sur notre société britannique toute entière », indiquait mercredi 20 avril, la britannique d’origine algérienne Malia Bouattia, fraîchement élue présidente de l’Union nationale des étudiants du Royaume-Uni (NUS). Celle qui prendra officiellement les rênes du plus grand syndicat étudiant du pays en juillet prochain, fait déjà l’objet de nombreuses critiques.
Militante pro-palestinienne
Une partie de la presse lui est tombée dessus en la qualifiant de « radicale », lui reprochant notamment de ne pas avoir voulu « condamner l’État islamique » et de tenir un discours antisémite. C’est d’ailleurs des groupes d’étudiants de confession juive qui s’élèvent aujourd’hui contre l’élection de la jeune femme de 28 ans.
Plébiscitée par les électeurs avec 372 voix contre 328 pour sa rivale et ancienne présidente du NUS, Megan Dunn, Malia Bouattia a été filmée quelques mois auparavant en train de conspuer l’influence des sionistes sur les médias de masse. Cette dernière avait également décrit l’Université de Birmingham, dont elle est diplômée, comme étant un « bastion sioniste ».
Parmi ses « torts », ses détracteurs lui reprochent aussi d’avoir tenu un discours sur la résistance lors d’un évènement dont l’affiche met en avant Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, parti dont la branche militaire est considérée comme une « organisation terroriste » par le Royaume-Uni.
[…]
Zahra Rahmouni – TSA
Le libre penseur Salim Laibi 26/04/2016
« Mon action en tant que présidente ne doit pas se limiter au seul cadre de notre syndicat NUS, elle doit avoir des répercussions sur notre société britannique toute entière », indiquait mercredi 20 avril, la britannique d’origine algérienne Malia Bouattia, fraîchement élue présidente de l’Union nationale des étudiants du Royaume-Uni (NUS). Celle qui prendra officiellement les rênes du plus grand syndicat étudiant du pays en juillet prochain, fait déjà l’objet de nombreuses critiques.
Militante pro-palestinienne
Une partie de la presse lui est tombée dessus en la qualifiant de « radicale », lui reprochant notamment de ne pas avoir voulu « condamner l’État islamique » et de tenir un discours antisémite. C’est d’ailleurs des groupes d’étudiants de confession juive qui s’élèvent aujourd’hui contre l’élection de la jeune femme de 28 ans.
Plébiscitée par les électeurs avec 372 voix contre 328 pour sa rivale et ancienne présidente du NUS, Megan Dunn, Malia Bouattia a été filmée quelques mois auparavant en train de conspuer l’influence des sionistes sur les médias de masse. Cette dernière avait également décrit l’Université de Birmingham, dont elle est diplômée, comme étant un « bastion sioniste ».
Parmi ses « torts », ses détracteurs lui reprochent aussi d’avoir tenu un discours sur la résistance lors d’un évènement dont l’affiche met en avant Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, parti dont la branche militaire est considérée comme une « organisation terroriste » par le Royaume-Uni.
[…]
Zahra Rahmouni – TSA
Le libre penseur Salim Laibi 26/04/2016
Commentaire