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en arrivant, en 99, boutef a amené dans ses bagages ses soldats et amis. il a d'abord utilisé la carte du gouvernement de technocrates de smail hamdani. plusieurs mois avant de nommer un gouvernement dirigé par ouyahia. Le prétexte avancé était, je veux des ministres politiques.
En réalité le choix des hommes est crucial. Pas les meilleurs, non les honnêtes gens mais les inconditionnels. Ceux censés tout lui devoir. Ceux qui allaient lui manger dans la main.
La situation était alors très confuse et surtout défavorable au revenant, tant les amitiés tissés longtemps lors de son absence étaient un enchevêtrement d'intérêts très difficiles à démêler.
Boutef a donc négocié âprement son gouvernement, avec des postes clés qu'il voulait contrôler dès le départ : l'intérieur, l'énergie, la diplomatie, le commerce extérieur. Rapidement, on comprend que les tâches sont distribués : Zerhouni, l'ancien adjoint de kasdi Merbah à l'intérieur, Khelil ancien cadre de sonatrach à l'énergie, Temmar au commerce et benachnehou aux finances. L'objectif était alors libéralisme et privatisations.
Parallèlement, boufelika découvre peu à peu les zones de pouvoir susceptible de contrecarrer son action salutaire, salvatrice pour l'algérie. D'abord, l'état major général dirigé par mohamed lamari, ensuite les service de sécurité à leur tête le binôme ali tounsi qui s'occupe de la police et mediène qui chapeauté les services secrets.
Les services de sécurité sont tenus d'une main de fer et s'opposent politiquement à toute politique de laxisme envers les islamistes. Boutef ne tardera pas à découvrir la faille : le second du Drs a des velléités souverainistes. En effet, le chef du contre-espionnage smain lamari veut diriger une direction entièrement indépendante du service de général médiene.
Bouteflika s'engouffre dans la brèche en adoubant smain lamari pour continuer les contacts avec les groupes armés de jijel sous l'oeil torve de mediene qui ne donne pas cher de sa peau...
En réalité le choix des hommes est crucial. Pas les meilleurs, non les honnêtes gens mais les inconditionnels. Ceux censés tout lui devoir. Ceux qui allaient lui manger dans la main.
La situation était alors très confuse et surtout défavorable au revenant, tant les amitiés tissés longtemps lors de son absence étaient un enchevêtrement d'intérêts très difficiles à démêler.
Boutef a donc négocié âprement son gouvernement, avec des postes clés qu'il voulait contrôler dès le départ : l'intérieur, l'énergie, la diplomatie, le commerce extérieur. Rapidement, on comprend que les tâches sont distribués : Zerhouni, l'ancien adjoint de kasdi Merbah à l'intérieur, Khelil ancien cadre de sonatrach à l'énergie, Temmar au commerce et benachnehou aux finances. L'objectif était alors libéralisme et privatisations.
Parallèlement, boufelika découvre peu à peu les zones de pouvoir susceptible de contrecarrer son action salutaire, salvatrice pour l'algérie. D'abord, l'état major général dirigé par mohamed lamari, ensuite les service de sécurité à leur tête le binôme ali tounsi qui s'occupe de la police et mediène qui chapeauté les services secrets.
Les services de sécurité sont tenus d'une main de fer et s'opposent politiquement à toute politique de laxisme envers les islamistes. Boutef ne tardera pas à découvrir la faille : le second du Drs a des velléités souverainistes. En effet, le chef du contre-espionnage smain lamari veut diriger une direction entièrement indépendante du service de général médiene.
Bouteflika s'engouffre dans la brèche en adoubant smain lamari pour continuer les contacts avec les groupes armés de jijel sous l'oeil torve de mediene qui ne donne pas cher de sa peau...