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Exclusif- Le milliardaire algérien Issad Rebrab cité dans le scandale "Panama Papers"

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  • Exclusif- Le milliardaire algérien Issad Rebrab cité dans le scandale "Panama Papers"

    Longtemps considéré comme étant l'homme d'affaires exemplaire et un modèle de transparence et de modestie, le milliardaire algérien Issad Rebrab n'échappe cependant pas au scandale "Panama Papers". Le patron de Cevital figure dans les 11,5 millions de fichiers, issus du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, spécialisé dans la domiciliation de sociétés offshore.
    Selon les documents révélés, Issad Rebrab cacherait une fortune dans les banques panaméenne.
    Les documents représentent une correspondance entre l'homme d'affaires algérien et Mossack Fonseca sur la création d'une société écran "Southern International Engineering LTD" dont le siège se trouve à "British Virgin Islands". La société est gérée par deux directeurs ; Francis Perez, un pied noir né à Oran (Algérie) et connu pour ses relations douteuses avec les dictateurs africains et Yvette Rogers, directrice de plusieurs entreprises et résidente au Panama, cette dernière gère avec Perez au moins 27.250 sociétés écran.
    Selon les documents, dont Ennahar détient un copie, Issad Rebrab détient 50% des actions de la société dite "Southern International Engineering LTD", tandis que les 50% restant appartiennent à un homme d'affaires roumain spécialisé dans l'industrie pétrolière du nom de Gabriel Valentin Comanescu; les deux se partagent 50.000 actions, d'une valeur de 50.000 dollars (soit 1,00 dollar l'action).
    Mossack Fonseca s'engage dans la correspondance à ne pas citer le nom d'Issad Rebrab ni de Gabriel Valentin Comanescu, et les transactions se feront au nom d'une autre société du nom de "Eurostock AG". ENNAHAR

  • #2
    Au nom de la loi et de la morale, je demande qu'on le destitue de ses fonctions et qu'on le poursuive pour fausse déclaration quant à l'absence de mention de ce bien dans sa déclaration de patrimoine à l'occasion de sa nomination en tant que... industriel privé.

    ah zut, je croyais que c’était un ministre :/

    C’était quoi le scandale au juste au fait ? qu'un busnessman privé recours à des procédés pas très angéliques mais parfaitement légaux pour optimiser la facture des impôts qu'il paie à l'étranger ? du genre paradis fiscaux, société offshore et autres paradis capitalistiques ?

    n'est-on pas entrain de confondre volontairement "pratique scandaleuse pour un politique" qui font le buzz un peu partout dans le monde SAUF chez nous sur la planète Mars, à "busness doing pour un businessman pragmatique" ? et par la même occasion détourner le regard des "Ennaharistes" du vrai scandale bouchouchou ?
    Dernière modification par GLP, 01 mai 2016, 06h42.
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