Le président de la république, Abdelaziz Bouteflika a adressé dimanche un message à l'occasion la célébration de la journée mondiale du travail (1er mai).
M. le Premier ministre de la République arabe sahraouie démocratique
Madame la ministre, Messieurs les ministres
M. le Secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algeriens
M. le Wali
Mesdames et Messieurs membres de la délégation de la République arabe sahraouie démocratique
Chères travailleuses, chers travailleurs
Mesdames, Messieurs
Le choix de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) de célébrer cette année la fête du travail sous le thème "solidarité avec le peuple sahraoui", procède clairement de l'attachement de votre organisation, à l'instar de l'ensemble du peuple algérien, à soutenir les causes justes à travers le monde et à défendre le principe du droit des peuples à l'autodétermination.
Cette décision consacre la fidélité de la Centrale syndicale à ses principes fondateurs et à son parcours historique. En effet, l'UGTA a été l'un des éléments essentiels du mouvement de libération national pour le recouvrement de l'indépendance et de la souveraineté de l'Algérie.
Comment peut-elle ne pas se préoccuper de cette cause en cette journée symbole et en ce mois où le Front Polisario a été crée pour être le représentant légitime du peuple sahraoui frère qui demeure privé de son droit à l'autodétermination.
Cette position qui honore votre organisation trouve appui auprès de l'Organisation des Nations unies qui a inclus la Sahara Occidental depuis 1963 dans la liste des territoires non autonomes. Dés lors, l'organisation onusienne endossera cette question conformément aux clauses de sa charte et aux engagements de son Assemblée générale et du Conseil de sécurité.
Soyez-en félicités chers frères travailleurs algériens pour avoir adopté la position de votre pays concernant la question du Sahara occidental et pour être restés fidèles aux engagements historiques de votre organisation qui soutient les causes justes et se mobilise aujourd'hui, aux côtés des peuples du monde épris de liberté, en faveur de la cause sahraouie.
M. Le Secrétaire général de l'UGTA
Chères travailleuses, chers travailleurs
Mesdames, Messieurs
Nous célébrons la fête internationale du travail aujourd'hui après avoir commémorer, il y a quelques jours, le double anniversaire du 24 février marquant le 60e anniversaire de la création de l'UGTA et le 45e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures.
Le mois de mai revêt, pour les travailleuses et les travailleurs de notre pays, plus d'une signification au vu du parcours de nos luttes, de nos efforts et de nos réalisations. Ce mois rappelle à notre mémoire le souvenir douloureux, à savoir l'attentat contre le port d'Alger le 2 mai 1962 qui a fait près d'une centaine de morts et autant de blessés, un acte perpétré par l'Organisation armée secrète (OAS) aveuglée par la haine et la rancœur pour saper les accords d'Evian et empêcher la tenue du referendum d'autodétermination.
Le mois de mai nous rappelle aussi les premières années post indépendance lorsque nos travailleurs célébraient cette fête pour montrer fièrement au monde les réalisations louables qu'ils avaient accomplies année après année dans le cadre de la consolidation des fondements de l'Etat et de la réalisation du développement national.
Comment peut-on ne pas évoquer la contribution des travailleurs et de la Centrale syndicale dans la reconstruction du pays au lendemain de l'indépendance mais aussi leur résistance durant la tragédie nationale.
Ce grand jour est l'occasion de se recueillir une nouvelle fois à la mémoire des nombreux chouhadas de l'Algérie parmi les travailleurs, les martyrs de la liberté qui ont accompagné les sacrifices du chahid Aissat Idir et ceux qui ont sauvé le pays du terrorisme barbare et qui sont tombés aux côtés du chahid Abdelhak Benhamouda, puisse Dieu le tout puissant leur accorder sa miséricorde et les accueillir dans son vaste paradis.
Chères travailleuses, chers travailleurs
La fête du travail intervient cette année après l'adoption de la constitution amendée qui a donné lieu à l'adaptation de la constitution du pays aux changements survenus au sein de notre société et aux nouveaux enjeux induits par les mutations profondes sur le plan international.
La constitution amendée nous permettra de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, le renforcement des garanties de protection des droits et des libertés du citoyen, la consécration du pluralisme politique et des droits de l'opposition et de l'alternance démocratique.
Cet acquis politique nous procure aujourd'hui l'opportunité d'appréhender une nouvelle étape sur la voie de l'ancrage de la démocratie et la consécration des fondements de notre identité et de notre modèle de développement.
Alors que nous traversons une conjoncture économique imprégnée des retombées de la crise économique mondiale générée par la baisse des taux de croissance de certaines économies émergentes et le recul considérable des cours du pétrole à l'échelle mondiale, je considère que notre célébration de la fête du travail cette année est synonyme, pour les forces vives du pays, d'un départ pour faire face à l'impact néfaste de cette crise, préserver la dynamique de croissance issue des programmes de développement socio-économique successifs et enfin promouvoir la promotion de l'emploi et la lutte contre le chômage.
La constitution amendée nous permettra de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, le renforcement des garanties de protection des droits et des libertés du citoyen, la consécration du pluralisme politique et des droits de l'opposition et de l'alternance démocratique.
Cet acquis politique nous procure aujourd'hui l'opportunité d'appréhender une nouvelle étape sur la voie de l'ancrage de la démocratie et la consécration des fondements de notre identité et de notre modèle de développement.
Chères travailleuses, chers travailleurs,
L'année 2015 aura été cruciale dès lors qu'elle a permis à nos forces vives de conforter leurs acquis et de donner un souffle nouveau à l'effort national en dépit des entraves internes et externes qui se dressent devant le développement économique et social dans notre pays.
M. le Premier ministre de la République arabe sahraouie démocratique
Madame la ministre, Messieurs les ministres
M. le Secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algeriens
M. le Wali
Mesdames et Messieurs membres de la délégation de la République arabe sahraouie démocratique
Chères travailleuses, chers travailleurs
Mesdames, Messieurs
Le choix de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) de célébrer cette année la fête du travail sous le thème "solidarité avec le peuple sahraoui", procède clairement de l'attachement de votre organisation, à l'instar de l'ensemble du peuple algérien, à soutenir les causes justes à travers le monde et à défendre le principe du droit des peuples à l'autodétermination.
Cette décision consacre la fidélité de la Centrale syndicale à ses principes fondateurs et à son parcours historique. En effet, l'UGTA a été l'un des éléments essentiels du mouvement de libération national pour le recouvrement de l'indépendance et de la souveraineté de l'Algérie.
Comment peut-elle ne pas se préoccuper de cette cause en cette journée symbole et en ce mois où le Front Polisario a été crée pour être le représentant légitime du peuple sahraoui frère qui demeure privé de son droit à l'autodétermination.
Cette position qui honore votre organisation trouve appui auprès de l'Organisation des Nations unies qui a inclus la Sahara Occidental depuis 1963 dans la liste des territoires non autonomes. Dés lors, l'organisation onusienne endossera cette question conformément aux clauses de sa charte et aux engagements de son Assemblée générale et du Conseil de sécurité.
Soyez-en félicités chers frères travailleurs algériens pour avoir adopté la position de votre pays concernant la question du Sahara occidental et pour être restés fidèles aux engagements historiques de votre organisation qui soutient les causes justes et se mobilise aujourd'hui, aux côtés des peuples du monde épris de liberté, en faveur de la cause sahraouie.
M. Le Secrétaire général de l'UGTA
Chères travailleuses, chers travailleurs
Mesdames, Messieurs
Nous célébrons la fête internationale du travail aujourd'hui après avoir commémorer, il y a quelques jours, le double anniversaire du 24 février marquant le 60e anniversaire de la création de l'UGTA et le 45e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures.
Le mois de mai revêt, pour les travailleuses et les travailleurs de notre pays, plus d'une signification au vu du parcours de nos luttes, de nos efforts et de nos réalisations. Ce mois rappelle à notre mémoire le souvenir douloureux, à savoir l'attentat contre le port d'Alger le 2 mai 1962 qui a fait près d'une centaine de morts et autant de blessés, un acte perpétré par l'Organisation armée secrète (OAS) aveuglée par la haine et la rancœur pour saper les accords d'Evian et empêcher la tenue du referendum d'autodétermination.
Le mois de mai nous rappelle aussi les premières années post indépendance lorsque nos travailleurs célébraient cette fête pour montrer fièrement au monde les réalisations louables qu'ils avaient accomplies année après année dans le cadre de la consolidation des fondements de l'Etat et de la réalisation du développement national.
Comment peut-on ne pas évoquer la contribution des travailleurs et de la Centrale syndicale dans la reconstruction du pays au lendemain de l'indépendance mais aussi leur résistance durant la tragédie nationale.
Ce grand jour est l'occasion de se recueillir une nouvelle fois à la mémoire des nombreux chouhadas de l'Algérie parmi les travailleurs, les martyrs de la liberté qui ont accompagné les sacrifices du chahid Aissat Idir et ceux qui ont sauvé le pays du terrorisme barbare et qui sont tombés aux côtés du chahid Abdelhak Benhamouda, puisse Dieu le tout puissant leur accorder sa miséricorde et les accueillir dans son vaste paradis.
Chères travailleuses, chers travailleurs
La fête du travail intervient cette année après l'adoption de la constitution amendée qui a donné lieu à l'adaptation de la constitution du pays aux changements survenus au sein de notre société et aux nouveaux enjeux induits par les mutations profondes sur le plan international.
La constitution amendée nous permettra de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, le renforcement des garanties de protection des droits et des libertés du citoyen, la consécration du pluralisme politique et des droits de l'opposition et de l'alternance démocratique.
Cet acquis politique nous procure aujourd'hui l'opportunité d'appréhender une nouvelle étape sur la voie de l'ancrage de la démocratie et la consécration des fondements de notre identité et de notre modèle de développement.
Alors que nous traversons une conjoncture économique imprégnée des retombées de la crise économique mondiale générée par la baisse des taux de croissance de certaines économies émergentes et le recul considérable des cours du pétrole à l'échelle mondiale, je considère que notre célébration de la fête du travail cette année est synonyme, pour les forces vives du pays, d'un départ pour faire face à l'impact néfaste de cette crise, préserver la dynamique de croissance issue des programmes de développement socio-économique successifs et enfin promouvoir la promotion de l'emploi et la lutte contre le chômage.
La constitution amendée nous permettra de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, le renforcement des garanties de protection des droits et des libertés du citoyen, la consécration du pluralisme politique et des droits de l'opposition et de l'alternance démocratique.
Cet acquis politique nous procure aujourd'hui l'opportunité d'appréhender une nouvelle étape sur la voie de l'ancrage de la démocratie et la consécration des fondements de notre identité et de notre modèle de développement.
Chères travailleuses, chers travailleurs,
L'année 2015 aura été cruciale dès lors qu'elle a permis à nos forces vives de conforter leurs acquis et de donner un souffle nouveau à l'effort national en dépit des entraves internes et externes qui se dressent devant le développement économique et social dans notre pays.
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