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Bouchouareb exige l’exclusion d’Issad Rebrab du forum algéro-britannique de l'investissement

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  • Bouchouareb exige l’exclusion d’Issad Rebrab du forum algéro-britannique de l'investissement

    ALORS QUE CEVITAL EST INVITÉ ET SPONSOR MAJEUR DE L’ÉVÉNEMENT : FORUM ALGÉRO-BRITANNIQUE SUR L’INVESTISSEMENT

    Bouchouareb exige l’exclusion d’Issad Rebrab !

    Le gouvernement ne s’impose aucune limite dans son acharnement contre le groupe industriel Cevital et son président, Issad Rebrab.

    Pendant que le ministre de la Communication, se substituant, par le fait du prince, aux administrations chargées de la veille économique, travaillait à la saisine du tribunal pour l’annulation d’une transaction commerciale conclue, en toute légalité et transparence, entre El Khabar et la société Ness-Prod, filiale de Cevital, d’autres structures du gouvernement s’affairaient à gêner le reste des activités du groupe industriel. En effet, une autorité gouvernementale, d’aucuns devineraient aisément de qui il s’agit, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, fort assurément, s’est élevée contre la présence du président du Groupe Cevital à un forum d’investissement algéro-britannique prévu pour le 22 mai prochain à Alger.

    Signe de déliquescence de l’État, ladite autorité, prenant le risque d’afficher une piètre image de l’Algérie, a menacé de boycotter l’événement si le patron de Cevital est présent. On doit à l’opinion le récit d’un chantage indigne d’un gouvernement qui se réclame démocratique et républicain. Début avril, le Groupe industriel Cevital est contacté par une agence de communication britannique, Business Development Manager (ABM), basée au 150 Tooley Street à Londres, pour lui proposer de participer à un forum d’investissement algéro-britannique, qui aura lieu à Alger le 22 mai, mais aussi s’il était intéressé de participer au sponsoring de l’événement. La réponse, pour un grand groupe comme Cevital et un capitaine d’industrie comme Rebrab, ne pouvait être qu’affirmative. Jusque-là, point de problème. Les choses allaient normalement à la grande satisfaction des Britanniques qui apprécient fort bien la participation du capitaine de l’industrie algérienne à un forum dédié à l’investissement.
    Le Groupe Cevital a accepté de sponsoriser le forum à hauteur de 8 000 livres. Le contrat est établi dans les formes. Or, ne voilà-t-il pas qu’hier, le jour où le ministre de la Communication rageait contre Issad Rebrab, la direction de la communication du Groupe Cevital reçoit un message inattendu du patron de Business Development Manager (DMA), James McKay, qui l’informe qu’il venait de recevoir une injonction d’une “autorité gouvernementale” qui a exigé de sa boîte d’éliminer le président du Groupe Cevital de la liste des participants au forum, à défaut de quoi le gouvernement algérien ne sera pas au rendez-vous. On imagine la stupéfaction des Anglais, dont le flegme légendaire est pour ainsi dire mis à rude épreuve.
    Pour eux, assurément, il est pour le moins incompréhensible qu’une autorité gouvernementale agisse de la sorte contre un industriel et un contributeur de premier ordre. Par retour d’e-mail, le patron de DMA s’est entendu répondre par la direction de la communication du groupe que Cevital maintient sa participation au dit forum et, du coup, décline la proposition de remboursement des frais de sponsoring qui lui a été faite. Contactée par nos soins, la direction de la communication de Cevital s’est déclarée “étonnée” que le gouvernement agisse de la sorte, déplorant “l’image très négative” ainsi donnée de l’Algérie, et qu’il est, de ce fait, “vain, dans ces conditions, de tenter d’instaurer un climat de confiance entre les investisseurs nationaux et étrangers”.
    L’on a appris, par ailleurs, que les autorités et les hommes d’affaires britanniques souhaitent vivement que le président de Cevital, le plus important investisseur algérien, soit au rendez-vous du 22 mai. Rappelons que la même autorité gouvernementale avait tenté par le passé d’empêcher la participation du patron de Cevital à un forum économique à Abu Dhabi. L’ambassadeur d’Algérie aux Émirats arabes unis avait, sur instruction d’une officine autre que le MAE, rayé M. Rebrab de la liste des participants. Le patron de Cevital est tout de même parti, officiellement invité qu’il était. Voilà des faits qui démentent les allégations de Hamid Grine sur sa prétendue veille à l’application de la loi et qui donnent la preuve de l’acharnement sur un groupe industriel, qui s’appelle Cevital.

    S. A. I.
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Et dire que le voleur Bouchouarab ( traduction chez nous grosses lévres) a toujours droit à la parole.

    Des premiers ministres ont démissionné , d'autres ont fait leur mea culpa , et chez nous on le laisse diriger .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #3
      Si le pouvoir despotique persiste dans son chantage, les organisateurs pourraient décider de tenir ce forum en Angleterre au lieu de l'Algérie.

      Le chantage pourrait alors prendre d'autres tournures et devenir un chantage économique.

      Je pense que le pouvoir despotique joue sa survie et met en danger le pays ( nous ne sommes pas à l'abri d'une coalition pour faire tomber ce pouvoir comme en Irak ou en Libye).

      P.

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      • #4
        une democratie bizare
        normalement ce ministre est issu du FLn ou RND
        pour ces parties se taisent normalement si le parti décide leurs minsitre executent..
        si boucaouaréb appartient au FLN et suite a son implication normalement le FLN doit fournir des explications a la justice

        khalouta un pays ni tete ni queue c'est pourquoi la responsabilité c'est dilué et le vol est aussi dilué ''ce n'est pas moi ana kahtaini

        mais tu n'est pas toi si la choses takhtik elle te concerne pas eh bien quite et laisse la place pour les gens qui travaillent et qui sont concernés

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        • #5
          une democratie bizare
          L'Algérie est une démocratie comme toi tu écris en français!oeilfermé
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            Et dire que le voleur Bouchouarab ( traduction chez nous grosses lévres) a toujours droit à la parole.
            Oui mais pour l'instant cet escroc est le ministre de l'industrie et pas Rebrab.

            Le monsieur Cevital n'a pas a se substituer à l’état, même si celui ci est corrompue. oeilfermé

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            • #7
              L’ambassadeur d’Algérie aux Émirats arabes unis avait, sur instruction d’une officine autre que le MAE, rayé M. Rebrab de la liste des participants.
              Abus de pouvoir, normalement puni par la loi.
              Bouchouareb complique son cas.
              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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              • #8
                l'rmpecheur de tourner en rond

                chez ses gens là on ne pense que si on leurs fait peur, la premiere tentative de casser rebrab ce fut lors du mandat de recherche mais devant la levée de bouclier de toute la region de bejaia ils ont reculé là ils recidivent mais en essayant de l'isoler economiquement peine perdu car il a sut grandir ailleurs aussi.

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                • #9
                  Oui mais pour l'instant cet escroc est le ministre de l'industrie et pas Rebrab.
                  Question mafia et escroquerie BOUCHOUAREB est un petit devant REBRAB.

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                  • #10
                    de bouclier de toute la region de bejaia ils ont reculé là ils recidivent mais en essayant de l'isoler economiquement peine perdu car il a sut grandir ailleurs aussi.
                    Dans cet ailleurs ses usines brûlent.

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                    • #11
                      Bouchouareb complique son cas.
                      Ou le simplifie. Il continue le combat contre le "Karoune" algérien sans aucune crainte. Il sait qu'il a derrière lui El Mouradia et les nouveaux chefs de l'ANP.

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                      • #12
                        Une mafia qui ne voit nullement les intérêts du pays. C’est incroyable qu’un ministre de l’industrie s’attaque à un des plus grands industriels privés de son pays.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                        • #13
                          Envoyé par wouhou
                          Oui mais pour l'instant cet escroc est le ministre de l'industrie et pas Rebrab.

                          Le monsieur Cevital n'a pas a se substituer à l’état, même si celui ci est corrompue. oeilfermé
                          A te lire t'es du niveau "allo quoi" de Nabilla, vraiment pas plus

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                          • #14
                            Envoyé par shadok
                            Une mafia qui ne voit nullement les intérêts du pays. C’est incroyable qu’un ministre de l’industrie s’attaque à un des plus grands industriels privés de son pays.
                            la mafia a muté du militaire aux affaires, il se trouve sur leur chemin plus fort qu'eux, cela les contrarie au plus haut point dans leur stratégie.

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                            • #15
                              Pour commencer, un étudiant en première année économie sait qu'une petite entreprise de 2 personnes rapporte des impôts à l'état, et il est recommander de l'encourager à s'étendre.

                              Un ministre qui tente de flinguer une entreprise qui emploie plusieurs milliers et qui rapporte aux caisses de l'état de l'argent, c'est du jamais vu. Dans l'état actuel de l'économie de ce pays, il est difficile de croire que ce gens là travaillent pour l'intérêt de ce pays.

                              On est vraiment dans la logique "ana decidit ouenta dir wech habit".

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