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Une nouvelle liste «Panama Papers» et des noms impliqués en cours de publication: Moins de cinq Algériens y figuren

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  • Une nouvelle liste «Panama Papers» et des noms impliqués en cours de publication: Moins de cinq Algériens y figuren

    Le Consortium international des journalistes d’investigation, qui a dévoilé l’affaire dite «Panama Papers», affirme que la liste brute de toutes les personnes physiques et morales détenant un compte off-shore chez la société fiduciaire panaméenne Mossack Fonseca, sera bientôt rendu publique.
    La même source affirme, que les noms algériens demeurent assez rares, dans la faune de «prédateurs» mondiaux. Ainsi, «moins de cinq noms d’Algériens y figureront». C’est-à-dire que, l’on ne va rien apprendre de nouveau de ce qui a été déjà dit.

    Le Consortium international des journalistes d’investigation promet en outre, de donner plus de détails, mais se donne quelques semaines, pour finir le traitement des données et rendre publique la totalité des noms cités dans le monde, et donc en Algérie.
    Les révélations de Panama Papers ont impliqué le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, qui s’est défendu dès le moment où son nom a été mis sur la place publique. De même, Rebrab s’est défendu de toute compromission avec les affaires frauduleuses, malgré que son nom ait été cité dans un journal bulgare la semaine passée.

    L’entourage d’affaires de Chakib Khelil, ancien ministre de l’Energie et plus récemment l’un des fils de Chadli Bendjedid, l’ancien président de la République, ont été cités. Alger ne réagit toujours pas, alors qu’elle devrait le faire et se donner le temps d’apaiser les choses, en s’en remettant à la seule justice.
    Les autres noms concernent Farid Bedjaoui, Omar Habour et Réda Hemche, ainsi que Bendjedid, le fils de l’ancien président de la République, détenteur d’une société offshore, avec le Tunisien Samir Abdelli
    Les experts se demandent pourquoi Alger, par le biais de la justice, ne s’auto-saisit-elle pas de ces affaires, dès lors qu’elles sont ébruitées, pour faire ses propres enquêtes ? Une confiance rétablie, entre l’Etat et le citoyen, passe par plus de lisibilité, de traçabilité et de crédibilité, dans le traitement et la gestion sérieuse de ce type d’affaires.
    Chiffre d'affaire
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