Tweet
40 millions de personnes chassées par la guerre et les catastrophes naturelles en 2015
40 millions de personnes chassées par la guerre et les catastrophes naturelles en 2015
Plus de 40 millions de personnes - dont beaucoup viennent du Moyen-Orient - ont été déplacées l'année dernière, d'après l'Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC).
Chaque jour, en moyenne 24.000 personnes fuient la guerre arrivée à leur porte. L'année dernière, 8,6 millions de personnes ont fui des zones de conflit, d'après les estimations de l'Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC) . Plus de la moitié viennent du Moyen-Orient.
Si l'on ajoute le nombre de personnes chassées de leur foyer à cause de violence ou de catastrophe naturelle, on atteint le chiffre de 40,8 millions de personnes déplacées en 2015. Un nouveau record.
« Le monde connaît une énorme crise des personnes déplacées qui grandit année après année, et trop d'endroits connaissent des situations de conflit et/ou de catastrophe naturelle », analyse Jan Egeland, secrétaire général duNorwegian Refugee Council, dont dépend l'IDMC. « Nous devons trouver des moyens pour protéger les personnes de ces terribles forces, causées aussi bien par la nature que par l'homme ».
Plus de 40 millions de personnes - dont beaucoup viennent du Moyen-Orient - ont été déplacées l'année dernière, d'après l'Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC).
Chaque jour, en moyenne 24.000 personnes fuient la guerre arrivée à leur porte. L'année dernière, 8,6 millions de personnes ont fui des zones de conflit, d'après les estimations de l'Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC) . Plus de la moitié viennent du Moyen-Orient.
Si l'on ajoute le nombre de personnes chassées de leur foyer à cause de violence ou de catastrophe naturelle, on atteint le chiffre de 40,8 millions de personnes déplacées en 2015. Un nouveau record.
« Le monde connaît une énorme crise des personnes déplacées qui grandit année après année, et trop d'endroits connaissent des situations de conflit et/ou de catastrophe naturelle », analyse Jan Egeland, secrétaire général duNorwegian Refugee Council, dont dépend l'IDMC. « Nous devons trouver des moyens pour protéger les personnes de ces terribles forces, causées aussi bien par la nature que par l'homme ».