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Quel coach pour les verts

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  • Quel coach pour les verts

    Plusieurs noms ont défilé depuis le départ de Christian Gourcuff, mais personne ne connaît le nom du futur sélectionneur national, sauf Mohamed Raouraoua.

    A moins d’un mois des deux derniers matchs des éliminatoires de la CAN-2017, face aux Seychelles et au Lesotho, l’équipe nationale est toujours sans sélectionneur. En effet, depuis le départ de Christian Gourcuff – qui s’est engagé officiellement avec le club de Rennes --, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, veut prendre tout son temps pour choisir celui qui devra driver les Verts lors des éliminatoires du Mondial 2018, qui débuteront l’automne prochain. Dans l’entourage du président, tout le monde observe le silence. Personne n’ose avancer le moindre nom ni le moindre profil sur celui qui aura l’insigne honneur de prendre en main la sélection algérienne, deux fois mondialiste de suite (2010 et 2014). Tous les Algériens s’impatientent pour connaître le nom du futur sélectionneur, au moment où les organes de presse redoublent de «férocité» en matière de spéculations, en avançant plusieurs noms (de Roland Courbis à Paulo Bento, en passant par Queiros, Mazzari, Girard, Susic, …). Le dernier en date n’est autre que l’ex-sélectionneur du Portugal, Paulo Bento, qui a, finalement, démenti tout contact avec la FAF lors d’une interview donnée à l’hebdomadaire France Football, ce qui écarte cette piste et laisse le champ libre à d’autres rumeurs. Toutefois, et selon des sources proches de la fédération, la nouvelle ne saurait tarder à tomber, car jusqu’ici Raouraoua a bien caché son jeu et n’a pas divulgué la moindre piste, avant d’être sûr de son choix et de tous les points concernant le contrat du futur sélectionneur. Raouraoua ne voudrait pas commettre la même erreur qu’avec Gourcuff, qui n’a tenu qu’une année et demie chez les Verts. Il faut souligner que l’objectif du président est clair : se qualifier pour le prochain Mondial en Russie. C’est même une priorité. Pour ceux qui se rappellent des déclarations du président lors d’une ses sorties médiatiques, il a insisté sur le fait d’être présent au Mondial de façon régulière, car c’est vital et pour la sélection, et pour la fédération, sur le plan économique. Il n’hésitera d’ailleurs pas à citer l’exemple de la Tunisie qui, selon lui, a commencé à connaître de grosses difficultés financières depuis qu’elle s’est inscrite aux abonnés absents de la Coupe du monde. C’est dire l’importance qu’accorde le premier responsable du football en Algérie au dossier de l’équipe nationale et de celui qui en sera le prochain patron.
    A. Salah-Bey-infosoir-
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)
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