Le Matin, 12 Mai 2016
La Banque africaine de développement, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement et la Banque mondiale cofinanceront avec l’ONEE un nouveau programme de projets d’amélioration de la qualité et du service de l’eau potable. Le coût global s’élève à 177,75 millions d’euros, financé à hauteur de 50% par la BAD.
Trois banques internationales, parmi les principaux bailleurs de fonds du Maroc, se sont associées pour cofinancer un nouveau programme de projets d'alimentation en eau potable du pays. La Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la Banque mondiale comptent, en effet, soutenir conjointement la mise en œuvre d’un programme de projets d’amélioration de la qualité et du service de l’eau potable au Maroc, porté par l’Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE).
Le coût global de ce programme s’élève à 177,75 millions d’euros. Selon nos informations, la BAD apportera la grosse part et financera à hauteur de 88,85 millions d’euros ce programme de projets. Ce montant représente 50% du coût estimatif de l’ensemble de ces projets.
La Banque mondiale, à travers sa Banque internationale pour la reconstruction et le développement, mobilisera 44,1 millions d’euros alors que la BERD misera 15,6 millions. Le reste sera assuré par l’ONEE-Branche Eau, soit 29,2 millions d’euros. Selon un document de la BAD, les projets consistent globalement à renforcer et à sécuriser l’approvisionnement en eau potable de plusieurs agglomérations sur l’axe Rabat-Casablanca (Bouznika, Ben Slimane, Youssoufia) et dans la région de Safi. À cela s’ajoute l’amélioration de la qualité d’eau au niveau du système de Bouregreg (aération artificielle au niveau du barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah et ozonation au niveau de la station de traitement existante).
En outre, à travers ces projets, l’ONEE ambitionne également l’amélioration des performances des systèmes d’alimentation en eau potable existants (diminuer les pertes, optimiser l’exploitation...).
Au plan sectoriel, le projet a pour objectif d’améliorer les conditions de vie socio-économiques et sanitaires des populations par la sécurisation de l’approvisionnement en eau potable en qualité et quantité suffisantes des centres urbains et ruraux concernés. La corvée d’eau (en particulier en milieux rural et péri-urbain) sera diminuée et leur permettra de développer des micro-activités économiques. Le secteur privé sera aussi concerné par les retombées positives des projets via la création d’opportunités lors de la réalisation des travaux et à travers le volume supplémentaire d’eau potable produit par les projets et qui permettra aux opérateurs privés dans le secteur touristique et industriel d’étendre leurs activités.
La Banque africaine de développement, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement et la Banque mondiale cofinanceront avec l’ONEE un nouveau programme de projets d’amélioration de la qualité et du service de l’eau potable. Le coût global s’élève à 177,75 millions d’euros, financé à hauteur de 50% par la BAD.
Trois banques internationales, parmi les principaux bailleurs de fonds du Maroc, se sont associées pour cofinancer un nouveau programme de projets d'alimentation en eau potable du pays. La Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la Banque mondiale comptent, en effet, soutenir conjointement la mise en œuvre d’un programme de projets d’amélioration de la qualité et du service de l’eau potable au Maroc, porté par l’Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE).
Le coût global de ce programme s’élève à 177,75 millions d’euros. Selon nos informations, la BAD apportera la grosse part et financera à hauteur de 88,85 millions d’euros ce programme de projets. Ce montant représente 50% du coût estimatif de l’ensemble de ces projets.
La Banque mondiale, à travers sa Banque internationale pour la reconstruction et le développement, mobilisera 44,1 millions d’euros alors que la BERD misera 15,6 millions. Le reste sera assuré par l’ONEE-Branche Eau, soit 29,2 millions d’euros. Selon un document de la BAD, les projets consistent globalement à renforcer et à sécuriser l’approvisionnement en eau potable de plusieurs agglomérations sur l’axe Rabat-Casablanca (Bouznika, Ben Slimane, Youssoufia) et dans la région de Safi. À cela s’ajoute l’amélioration de la qualité d’eau au niveau du système de Bouregreg (aération artificielle au niveau du barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah et ozonation au niveau de la station de traitement existante).
En outre, à travers ces projets, l’ONEE ambitionne également l’amélioration des performances des systèmes d’alimentation en eau potable existants (diminuer les pertes, optimiser l’exploitation...).
Au plan sectoriel, le projet a pour objectif d’améliorer les conditions de vie socio-économiques et sanitaires des populations par la sécurisation de l’approvisionnement en eau potable en qualité et quantité suffisantes des centres urbains et ruraux concernés. La corvée d’eau (en particulier en milieux rural et péri-urbain) sera diminuée et leur permettra de développer des micro-activités économiques. Le secteur privé sera aussi concerné par les retombées positives des projets via la création d’opportunités lors de la réalisation des travaux et à travers le volume supplémentaire d’eau potable produit par les projets et qui permettra aux opérateurs privés dans le secteur touristique et industriel d’étendre leurs activités.
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