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Des étudiants algériens aux demi-finales d’un concours de la Nasa

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  • Des étudiants algériens aux demi-finales d’un concours de la Nasa

    Des étudiants algériens aux demi-finales d’un concours de la Nasa





    Des étudiants à l’université Saad Dahlab de Blida se sont qualifiés pour les demi-finales d’un concours initié par la célèbre boite spatiale américaine la Nasa.
    En effet, les 8 étudiants des départements d’Informatique et d’Electronique de l’université Saad Dahlab ont développé une application dénommée les Hole Diggers. Celle-ci consiste en une interface de collecte de données de la Nasa améliorée par un bracelet prototype dans le cadre du challenge Sea Ice App pour aider les chasseurs de l’Alaska.
    Aissa El Bey Ahmed Fawzi, étudiant en Master d’Informatique a expliqué, en marge d’un hommage organisé jeudi soir par le club des Entrepreneurs et des Industriels de la Mitidja, que l’application comprend une carte de l’Alaska et un bracelet prototype doté d’un système d’alarme Arduino qui permet en un seul clic de fournir les mesures précises de température, d’humidité, de luminosité ainsi que les coordonnées GPS.
    Ces mesures qui peuvent être partagées avec d’autres utilisateurs de l’application permettent de donner une meilleure localisation dans cette région.
    De son coté Youcef Idiran, étudiant en Master 2 Informatique a indiqué que ce concours organisé (pour l’Algérie) à l’université de Blida a vu la participation de 20 autres équipes de 6 universités nationales.
    Le Space Apps Challenge, est un concours organisé, chaque année, depuis 2012, par la Nasa dans les pays du monde entier. Ce concours qui encourage la créativité et l’innovation est destiné aux experts, développeurs de programmes et d’applications, ingénieurs, étudiants, entrepreneurs et même simples citoyens ayant des idées innovantes.
    L’édition 2016 du challenge a porté sur six thèmes dont l’Aéronautique, les stations spatiales, le Système solaire.


    Algerie1

  • #2
    les usa qui volent la matiere grise a l etranger

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    • #3
      Bonjour,

      MOMS13:
      On n'a plus besoin de "voler" quoique ce soit car la notion d'appartenance à un groupe et d'exclusive propriété est absente dans le domaine du savoir et de sa production, "voler" c'est un non sens dans un monde ouvert et massivement interconnecté, l’existence même de l'open source en est la preuve. Le monde entier est devenu un marché libre et totalement ouvert pour le savoir.

      De ce fait, la NASA capte des réalisations qu'elle a motivé (et soutenu, encouragé...) et celles qu'elle aura quand même capté sans y avoir contribué auraient fini dans ses ateliers ou ceux d'une autre organisation activement intéressée, malgré tout et c'est normal, sain et intelligent pour toutes les parties concernées (les étudiants comme la NASA).

      Je pointes plutôt la passivité et le désintérêt, pour ne pas dire la démission, des parties algériennes qui pourraient s'investir et en profiter autant, et pas spécialement en la matière grise algérienne mais dans les savoirs en général indépendamment de leurs sources. on s’intéresse plus aux djinns par les université de chez nous, pathétique et mesquin comme réalité.
      Dernière modification par GLP, 13 mai 2016, 21h15.
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      • #4
        on s’intéresse plus aux djinns par les université de chez nous
        Il est plus passionnant le monde des djinns .
        Joke à part, il y a comme une satisfaction derrière ce semblant de réussite par l'accession à une demi-finale de bon niveau, tout un camouflet à ceux qui prétendent que le niveau algérien est bas. Ce sont des étudiants arabisés et issus du ''fawdamental'' comme certains aimaient le ressasser.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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