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Le Venezuela au bord de l'explosion, 60 jours d'état d'urgence

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  • Le Venezuela au bord de l'explosion, 60 jours d'état d'urgence

    De peur d'un coup d'état, le président Maduro ordonne le prolongement de l'état d'urgence de 60 jours face à la menace d'un complot américain. Devant la télévision d'état, il a accusé une nouvelle fois les USA d'être responsable directement sur ce qui se passe au Venezuela.

    Maduro a dit craindre une intervention possible d'armées étrangères et a expliqué que le nouveau décret d'urgence a été mis en place pour faire face à ces menaces extérieures.

    Résumé
    Pas à la tique ..

  • #2
    il a accusé une nouvelle fois les USA d'être responsable directement sur ce qui se passe au Venezuela.
    C'est le propre d'un dictateur populiste. Accuser les autres de la mouise dans laquelle il a lui-même plongé son pays. La fameuse "main de l’étranger".

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    • #3
      le venezuela possede des reserves gigantesques en petrole et ca attire les convoitises.les usa ont toujours voulu mettre la main mise sur le petrole venezulien.
      mais le peuple venezulien ,c est un peuple de fainenants qui refusent de payer les impots a l etat et c est des gens extrements violents.

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      • #4
        les usa ont toujours voulu mettre la main mise sur le petrole venezulien.
        mais le peuple venezulien ,c est un peuple de fainenants
        Un ptit mot sur le système défaillant qui a conduit à cette catastrophe ou bien la faute est au peuple et aux USA ?
        Pas à la tique ..

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        • #5
          salam! l argent nerf de la guerre tout est possible le president a raison de proteger son pays !

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          • #6
            le president a raison de proteger son pays
            De protéger sa tête plutôt car ses jours sont comptés---
            Pas à la tique ..

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            • #7
              peur pour sa tete! je ne pense pas,un coup d etat peut etre orchestrer par une puissance etrangere, donc l etat d urgence est legitime !

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              • #8
                C'est l'incapacité du gouvernement qui est mise e cause et non pas celle d'un peuple qui est fendant et qui ne veut pas payer ses impôts ..ces termes, on les a déjà entendus ..Vroyez vous que les français ou tous les peuples occidentaux adorent payer les impôts??
                Coucher du soleil à Agadir

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                • #9
                  l impot est la premiere solidarite sans impot il n y a ni ecole ni route ni services publics.

                  bel-court @
                  un president peut proclamer l etat d urgence pour sauver son pays du chaos.

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                  • #10
                    Bien sur, c'est la faute des capitalistes yankee. Sinon, le Venezuela socialiste de Chavez et de Maduro serait moderne et brillante comme Dubai.

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                    • #11
                      Pour Maduro, sécher ses cheveux, c'est une pratique des capitalistes. Alors, il conseille aux femmes vénézuéliennes de brosser les cheveux avec leurs doigts et les laisser sécher à l'air pour économiser l'électricité.

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                      • #12
                        Ce pays s'enfonce dans la barbarie quasi daechienne

                        Au Venezuela, la population multiplie les lynchages
                        Mis à jour à 11h25, publié le 16/05/2016 à 11H22
                        Au Venezuela, la crise n’est pas seulement économique. Elle devient également morale. Ainsi, les actes de lynchage par la foule de petits délinquants se multiplient, au nom d’une justice que la population estime inexistante. Le pire est survenu quand un homme a été brûlé vif pour un vol qu’il n’avait pas commis.

                        Il s’appelait Roberto Bernal, il avait 43 ans et travaillait comme cuisinier à Caracas. Dans ce quartier de Las Ruices, où vit une classe moyenne, la foule l’a confondu avec un voleur. Après les coups, l’horreur a atteint son paroxysme. L’homme est mort brûlé vif.

                        Ce n’est malheureusement pas le seul. L’AFP relate un double lynchage il y a quelques semaines, toujours dans ce quartier de Las Ruices. Deux jeunes, attrapés on ne sait trop comment par la foule qui les accuse de vol. «Les coups pleuvaient», raconte Josephina, une coiffeuse témoin de la scène. «Soudainement, quelqu’un les a aspergés d’essence et les a brûlés vifs».

                        Déjà 37 morts
                        Mi-avril, la procureure générale Luisa Ortega a indiqué que ses services enquêtaient sur 26 cas où des personnes avaient fait justice elles-mêmes, dont 24 pour le seul premier trimestre 2016. Ces lynchages ont provoqué la mort de 20 personnes et fait 17 blessés. Depuis, le compteur morbide s’est affolé. Le Venezuela en est à 37 morts pour 74 dossiers !

                        Les habitants commencent même à se structurer. Ainsi grâce à une application sur mobile, le groupe Las Ruices en action poursuit les voleurs à la tire. Un des membres du collectif, William Collins explique à l’AFP qu’il s’agit de décourager les voleurs et non de les tuer. «Nous devons nous défendre car il n’y a pas suffisamment de surveillance policière. Les lynchages sont venus spontanément», précise cet avocat.

                        Une société malade
                        Sur son site internet, l’ONG Comunicas s’inquiète de l’augmentation exponentielle de ces actes. Selon elle, les participants à ces lynchage sont des gens tout à fait ordinaires, qui, dans un moment de colère, réagissent contre l’injustice. C’est également le sentiment de Magally Huggins, psychologue sociale, qui parle d’une frustration des citoyens qui «n’ont pas l’impression d’avoir accès à la justice.»

                        Toujours selon Comunicas, ces lynchages sont perçus par leurs acteurs, comme une façon de se faire justice, tout en donnant une «bonne leçon» aux voleurs afin qu’ils ne recommencent pas. Mais selon Luis Izquiel, un criminologue, ces actes sont «le symptôme d’une société malade. Et la raison de cette maladie, c’est l’insécurité terrible qui touche le pays et l’impunité qui y règne.» Dans un pays normal, quand un groupe de personnes attrape un voleur, elle le conduit aux autorités. Selon Izquiel au Venezuela, on ne le fait pas car «on pense que la police est corrompue ou incapable».

                        Un réquisitoire sans appel qui, il faut bien le dire, trouve une partie de vérité dans des statistiques de la criminalité effrayantes. En 2015, près de 18.000 meurtres ont été enregistrés (en moyenne 800 par an en France pour une population double), soit un pourcentage de 58,1 homicides pour 100.000 habitants.
                        Quant aux lynchages, conclut Izquiel, ils cesseront lorsque «la population aura le sentiment que police et justice fonctionnent.»
                        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                        • #13
                          Deja je trouvait incomprehensible des personnes qui défendaient le système Chavez alors que celui ci crouler sous les petrodollars

                          Aujourd'hui ou le pays est exsangue en faillite, il y a toujours des personnes qui arrivent à justifier l'injustifiable et défendre l'indéfendable

                          .
                          .
                          ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                          Napoléon III

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                          • #14
                            C'est dommage que chavez n'ait pas vécu assez longtemps pour voir l'oeuvre de sa vie , le produit de ce kadhafisme sud américain
                            Il ne restera plus qu'à ces anciens électeurs et supporteurs qu'à se soûler pour oublier qu'ils sont responsables de ce désastre ....enfin si ils trouvent encore une bouteille dans les rayons vides

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                            • #15
                              C'est dommage que chavez n'ait pas vécu assez longtemps pour voir l'oeuvre de sa vie , le produit de ce kadhafisme sud américain
                              Il ne restera plus qu'à ces anciens électeurs et supporteurs qu'à se soûler pour oublier qu'ils sont responsables de ce désastre ....enfin si ils trouvent encore une bouteille dans les rayons vides
                              même la biere devient rare:

                              Venezuela: la bière manque, soupirs au comptoir

                              Après avoir passé la journée sous la chaleur à chercher des médicaments pour sa femme, Carlos Dapen n’a envie que d’une chose: une bière. Mais dans un Venezuela à l’économie dévastée, même ce petit plaisir devient difficile à satisfaire.

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