Ali Benflis, enfant légitime du système algérien reconverti en «opposant» farouche à Bouteflika, veut se présenter pour la troisième fois à la présidentielle algérienne. Son projet pour les Algériens: le «droit du peuple sahraoui à l’autodétermination» !
De croustillantes révélations commencent à filtrer sur la rencontre «secrète», tenue il y a trois jours à Alger, entre l’ancien Premier ministre algérien, Ali Benflis, et l’ambassadeur français Bernard Emié. Paraît-il, cet échange «discret» entre Benflis, produit pur jus du système algérien, reconverti en fin de carrière en opposant farouche à Bouteflika «malade», et le diplomate français, avait pour objet la banqueroute financière guettant l’Algérie, le taux de chômage qui atteint des sommets (14%), la vacance «institutionnalisée» du pouvoir, la destitution d’un président moribond…
Circulez, il n’y a rien à se mettre sous la dent. A part, -et c’est rassurant !-, que le patron du tout nouveau parti «Talaie El-Houriyet» a placé en tête de ses priorités de prochain candidat à la présidentielle (il en a ratées deux) la question sahraouie. «Je réitère l’attachement de mon parti à la cause palestinienne et au droit légitime du peuple sahraoui à l’autodétermination», a-t-il klaxonné, en se lançant dans un mélange des genres digne du théâtre du burlesque.
Source: le 360 par Ziad Alami
De croustillantes révélations commencent à filtrer sur la rencontre «secrète», tenue il y a trois jours à Alger, entre l’ancien Premier ministre algérien, Ali Benflis, et l’ambassadeur français Bernard Emié. Paraît-il, cet échange «discret» entre Benflis, produit pur jus du système algérien, reconverti en fin de carrière en opposant farouche à Bouteflika «malade», et le diplomate français, avait pour objet la banqueroute financière guettant l’Algérie, le taux de chômage qui atteint des sommets (14%), la vacance «institutionnalisée» du pouvoir, la destitution d’un président moribond…
Circulez, il n’y a rien à se mettre sous la dent. A part, -et c’est rassurant !-, que le patron du tout nouveau parti «Talaie El-Houriyet» a placé en tête de ses priorités de prochain candidat à la présidentielle (il en a ratées deux) la question sahraouie. «Je réitère l’attachement de mon parti à la cause palestinienne et au droit légitime du peuple sahraoui à l’autodétermination», a-t-il klaxonné, en se lançant dans un mélange des genres digne du théâtre du burlesque.
Source: le 360 par Ziad Alami
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