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Amar Saadani ou la bête blessée

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  • Amar Saadani ou la bête blessée

    Le SG du FLN, Amar Saadani, a laissé libre cours à ses instincts malveillants. Usant d’un langage ordurier, il s’en est pris à tous ceux qui critiquent le clan des Bouteflika. La bêtise, habillée en homme politique…


    Amar Saadani a animé, aujourd’hui samedi, un meeting populaire à Tébessa où il s’est attaqué violemment aux partis politiques de l’opposition aux médias indépendants ainsi qu’aux généraux qui se sont opposés au quatrième mandat de Bouteflika. L’homme d’affaires Issad Rebrab n’y a pas échappé.

    Saadani a avancé, devant ses partisans, que le pays est menacé par un « lobby » qu’il a qualifié de « pieuvre au cinq bras ». Il s’agit, selon lui, des bras sécuritaire (généraux à la retraite), politique (partis de l’opposition), financier (Issad Rebrab) médiatique (El Khabar et El Watan). Pour le bras administratif « qui reste influent », Saadani n’a pas voulu le désigner.

    Il a soutenu que la tête de ce lobby n’est autre que l’ancien patron du DRS, Mohamed Mediène qui « veut acheter El Khabar avec l’argent de la banque centrale », en prévision de la présidentielle de 2019.

    Saadani, qui ne s’est pas gêné de s’autoproclamer l’héritier des fondateurs du FLN historique, s’est particulièrement attaqué à la journaliste d’El Watan Salima Tlemçani et au chroniquer d’El Khabar Saad Bouakba. Des attaques verbales qu’il a opérées en empruntant un accent égyptien et en usant d'un vocabulaire des plus grossiers. Il a accusé El Watan d’être à la solde de l’ancien patron du DRS alors que ce dernier a fait l’objet d’articles critiques, publiés à l’époque où il était qualifié de Reb Dzair.

    Cette sortie de Saadani survient quelques jours après la publication dans El Watan d' un article sur l’agression physique, à l’aide de dobermans, dont a été victime Abderahmane Belayat, son rival au sein du FLN.

    La réaction de Saadani ressemble à celle d’une bête blessée. Il redouble de férocité parce que ses maîtres se trouvent dans une situation délicate, après les révélations sur l’implication des proches du président, Chakib Khelil et Bouchouareb, dans des scandales de corruption. Une situation qui devient intenable maintenant que des médias et des responsables étrangers s’interrogent sur la capacité de Bouteflika à diriger le pays.

    Amar Saadani, soupçonné d’avoir détourné pas moins de 30 milliards de dinars dans l’affaire dite de la Générale des concessions agricole, a de « bonnes raisons » de défendre ses protecteurs. L’actuel chef du FLN possède, selon des informations, deux appartements à Paris est un compte en banque doté de 300 millions d’euros. Un changement à la tête de l’Etat risque de lui coûter très cher.
    Elwatan.com

  • #2
    Il risque d'aller en prison si ce régime sera balayé un jour. Même les récentes conventions judiciaires signées entre la France et l'Algérie ne pourront faire obstacle à ce qu'il soit jugé en dehors de l'Algérie.

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    • #3
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Quel face à claques !

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        • #5
          saadani critique le pouvoir de l'argent...
          à neuilly ...
          avec bouchouareb...
          et haddad....

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          • #6
            Il incarne le malheur qui frappe le pays depuis 62, celui de l'incapacité et de la délinquance politique. Un attentisme latent mélangé à l'angoisse cachée d'un retour brutale vingt années en arrière.
            A bien ecouter ce type, Je ne sais pas s''il oeuvre pour le rassemblement des algériens ou leur division.
            un appel à la haine.
            Un vrai gangster

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            • #7
              La photo qui fait le buzz

              À Adrar, il y a quelques jours.

              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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              • #8
                Il incarne le malheur qui frappe le pays depuis 62, celui de l'incapacité et de la délinquance politique. Un attentisme latent mélangé à l'angoisse cachée d'un retour brutale vingt années en arrière.
                A bien ecouter ce type, Je ne sais pas s''il oeuvre pour le rassemblement des algériens ou leur division.
                un appel à la haine.
                Un vrai gangster
                Une malédiction , une calamité qu'endure le pays de Massinissa , dont le royaume Cirta ( capitale arabe version 2015 ) , de Kocéila ( dont en occulte le nom contrairement à okba à qui il a couper la tète ) , de Ben Mhidi dont on a piétine l'idéal ,..

                La liste est grande , infinie , des outrages qu'on a fait , et quand continu de faire subir à ce pays ...

                Alors un saadani de plus ? ... Que-ce que ça peux changer ? ...
                Dernière modification par Arezkii, 21 mai 2016, 22h09.

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                • #9
                  Qu'il ferme sa gueu** ce corrompus à la pachydermie.

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                  • #10
                    dz(0000/1111)dz

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                    • #11
                      mdr oukhtoubout quelle pièce un théâtre carnaval fi dachra

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                      • #12
                        La guerre des clans n’est pas terminée

                        Le bras de fer qui oppose le gouvernement à Issad Rebrab vient de prendre une toute nouvelle dimension ce samedi. Le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, a en effet formulé de graves accusations contre le général à la retraite Mohamed Mediène dit Toufik. Pour le chef du FLN, l’ancien patron de l’ex-DRS est l’instigateur du rachat du journal El Khabar à travers le patron de Cevital.

                        Selon Amar Saâdani, le général Toufik représente la tête d’une « pieuvre » à cinq bras : sécuritaire, médiatique, politique, financier et administratif, qui agissent de concert pour préparer un éventuel retour au pouvoir du clan de l’ex-DRS lors des prochaines élections présidentielles de 2019.


                        Issad Rebrab est quant à lui relégué à un rôle de façade dans le rachat d’El Khabar, ce ne serait d’ailleurs même pas avec son argent que le journal a été racheté, affirme Saâdani. Ce dernier adresse même d’un ton menaçant un message à Rebrab, lui intimant de « choisir entre la politique ou les affaires. Si Rebrab opte pour le premier il perdra son argent ».

                        L’opinion publique, qui était en droit de penser que la guerre des clans opposant le clan présidentiel et le DRS s’était achevée avec la mise à la retraite du général Toufik et la dissolution du DRS, découvre aujourd’hui qu’il n’en est rien.

                        L’insistance du gouvernement à contrecarrer le rachat d’El Khabar prend ainsi tout son sens lorsque l’on comprend que cette détermination trouve sa source dans la crainte du clan présidentiel de revoir émerger un rival censé être déchu. Quant à Amar Saâdani, qui affirmait après le départ de Toufik que l’époque du pouvoir parallèle était « révolue », il se retrouve ironiquement être celui qui remet au goût du jour et sur le devant de la scène le général Toufik et le clan de l’ex-DRS, renforçant ainsi un peu plus la mythologie qui les entourent. Plus qu’une dimension politique, l’affaire du rachat d’El Khabar semble de plus en plus porter en elle les prémices du nouveau départ d’une guerre des clans revigorée, lancée à pleine allure.


                        Par Yacine Babouche
                        TSA
                        dz(0000/1111)dz

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                        • #13
                          je pense que sur ce point, rass ech'ham a raison ... rebrab devrait choisir entre les affaires et la politique, bon c'est vrai, souvent, les deux sont la même chose ...
                          La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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                          • #14
                            risk

                            lui même devrait choisir entre politique et affaires...
                            son affidé le gros surnommé emir du qatar à annaba aussi..

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                            • #15
                              taw, mais lui ne risque pas gros ...
                              La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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