El Khabar a tjrs été anti-bouteflika. on se souvient tous de ali djerri qui éructait sur bouteflika 1 et 2.
Mais là, ce journal est clairement devenu sans le vouloir le centre des préoccupations dans le Landerneau politique au pays du maqam chahid.
Tout à commencé par une offre d'achat d'une filiale de cevital du journal arabisant. une bizarrerie en soi puisque cevital se positionne plutot dans le camp moderniste intimement lié aux francophones patriotes du pays.
l'affaire est d'abord ébruitée en douceur juste avant que les deux groupes signent et scellent leur entente. Et patatras, le ministre de la communication et des journaux ne se laisse pas charmer, lui exprime ses doutes sur la légalité de l'opération. Pour cela il avance un article du code de la presse.
mais mal lui en a pris puisque le prétexte avancé par le ministre est balayé avec beaucoup de mépris par rebrab qui entre temps est monté au créneau.
Après qlqes jours de réflexion, le ministre revient sans vergogne et sort de sa besace un autre article pour justifier la démarche illégale de rétrocession des la majorité des parts du journal.
L'on sent bien le manque d'argument et l'utilisation de l'état à des fins sectaire, même si en face les acquéreurs ne sont pas des enfants de choeurs.
c'est que la bataille est d'un intérêt crucial, elle a pour horizon avril 2019 et gagnera bien qui gagnera le dernier. Pour cela il faut brandir les armes, les affuter et bien compter les soldats.
Ouyahia vs Khelil, avec le recul on se demande bien si toutes les calomnies sur ces personnages éminents appelés à jouer les premiers rôles n'étaient pas une manière de les disqualifier avant le début des hostilités ?
qui contrôle les pans influents des médias augmente ses chances de voir son candidat atteindre le nirvana et la stratégie de contrôle de el khabar s'inscrit dans cette démarche.
ainsi va la politique algérienne, toujours dans le caniveau et la fange, ses acteurs ne sont pas capables de poser les casus belli et de les respecter, résultat le chaab est déboussolé et dans sa majorité, il pense que tous sont pourris, voleurs, incompétents, profiteurs...
Mais là, ce journal est clairement devenu sans le vouloir le centre des préoccupations dans le Landerneau politique au pays du maqam chahid.
Tout à commencé par une offre d'achat d'une filiale de cevital du journal arabisant. une bizarrerie en soi puisque cevital se positionne plutot dans le camp moderniste intimement lié aux francophones patriotes du pays.
l'affaire est d'abord ébruitée en douceur juste avant que les deux groupes signent et scellent leur entente. Et patatras, le ministre de la communication et des journaux ne se laisse pas charmer, lui exprime ses doutes sur la légalité de l'opération. Pour cela il avance un article du code de la presse.
mais mal lui en a pris puisque le prétexte avancé par le ministre est balayé avec beaucoup de mépris par rebrab qui entre temps est monté au créneau.
Après qlqes jours de réflexion, le ministre revient sans vergogne et sort de sa besace un autre article pour justifier la démarche illégale de rétrocession des la majorité des parts du journal.
L'on sent bien le manque d'argument et l'utilisation de l'état à des fins sectaire, même si en face les acquéreurs ne sont pas des enfants de choeurs.
c'est que la bataille est d'un intérêt crucial, elle a pour horizon avril 2019 et gagnera bien qui gagnera le dernier. Pour cela il faut brandir les armes, les affuter et bien compter les soldats.
Ouyahia vs Khelil, avec le recul on se demande bien si toutes les calomnies sur ces personnages éminents appelés à jouer les premiers rôles n'étaient pas une manière de les disqualifier avant le début des hostilités ?
qui contrôle les pans influents des médias augmente ses chances de voir son candidat atteindre le nirvana et la stratégie de contrôle de el khabar s'inscrit dans cette démarche.
ainsi va la politique algérienne, toujours dans le caniveau et la fange, ses acteurs ne sont pas capables de poser les casus belli et de les respecter, résultat le chaab est déboussolé et dans sa majorité, il pense que tous sont pourris, voleurs, incompétents, profiteurs...
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