Maroc/Etats-Unis: «Nous refusons de recevoir des leçons», explique El Khalfi
Mustapha El Khalfi s’est exprimé à propos de la réaction marocaine au rapport du Département d’État américain sur les droits de l’Homme.
Pas d’apaisement. Le porte-parole du gouvernement Mustapha El Khalfi s’est exprimé sur le dernier rapport du département d’Etat américain sur les droits de l’Homme au Maroc le 21 mai lors du Forum national de la presse au Sahara. Le ministre cité par la MAP estime que ce rapport est un «revirement inédit». Et d’ajouter: «Un questionnement franc de ce rapport s’impose, car nous refusons de recevoir des leçons et d’être soumis à une tutelle quelconque».
Pour lui, ce document américain ne tient pas la route. Il a notamment évoqué «les méthodes de généralisation, et d’exagération de cas isolés, d’émission de jugements de valeurs sans fondements, d’étalage de témoignages non-vérifiés et non-documentés, ou encore de recours à des données dépassées».
Ainsi, il a justifié la réaction marocaine au rapport (communiqué puis double convocation de l’ambassadeur américain, par les ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères). Le gouvernement a choisi de réagir au dernier rapport du Département d’État américain avec «fermeté, responsabilité, sérénité, et clarté après une étude approfondie», estime-t-il.
TelQuel
Mustapha El Khalfi s’est exprimé à propos de la réaction marocaine au rapport du Département d’État américain sur les droits de l’Homme.
Pas d’apaisement. Le porte-parole du gouvernement Mustapha El Khalfi s’est exprimé sur le dernier rapport du département d’Etat américain sur les droits de l’Homme au Maroc le 21 mai lors du Forum national de la presse au Sahara. Le ministre cité par la MAP estime que ce rapport est un «revirement inédit». Et d’ajouter: «Un questionnement franc de ce rapport s’impose, car nous refusons de recevoir des leçons et d’être soumis à une tutelle quelconque».
Pour lui, ce document américain ne tient pas la route. Il a notamment évoqué «les méthodes de généralisation, et d’exagération de cas isolés, d’émission de jugements de valeurs sans fondements, d’étalage de témoignages non-vérifiés et non-documentés, ou encore de recours à des données dépassées».
Ainsi, il a justifié la réaction marocaine au rapport (communiqué puis double convocation de l’ambassadeur américain, par les ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères). Le gouvernement a choisi de réagir au dernier rapport du Département d’État américain avec «fermeté, responsabilité, sérénité, et clarté après une étude approfondie», estime-t-il.
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