15:10 dimanche 22 mai 2016 | Par Tewfik Abdelbari | Actualité
Sur les quatre premiers mois de l’année en cours, le déficit commercial de l’Algérie a atteint 7,63 milliards de dollars, selon des statistiques des Douanes rapportées, ce dimanche 22 mai, par l’APS.
Le déficit commercial est en hausse de 35,7% par rapport à la même période de 2015 (5,6 milliards), rappelle le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis).
Fort recul des exportations
Les exportations algériennes ont baissé de 38,4% en glissement annuel, à 7,54 milliards de dollars, indique la même source. L’effondrement des cours des hydrocarbures, qui représentent 92,8% des exportations, est sans conteste à l’origine de cette baisse. Les exportations hors hydrocarbures sont aussi en baisse, de 23,1% en glissement annuel, avec seulement 543 millions de dollars.
En parallèle, les importations du pays ont également reculé, pour atteindre 15,17 milliards de dollars sur les quatre premiers mois de 2016, précise le Cnis. Cette baisse de 15,06% par rapport à 2015 n’a cependant pas suffi à empêcher un déficit toujours plus important.
Sur les quatre premiers mois de l’année en cours, le déficit commercial de l’Algérie a atteint 7,63 milliards de dollars, selon des statistiques des Douanes rapportées, ce dimanche 22 mai, par l’APS.
Le déficit commercial est en hausse de 35,7% par rapport à la même période de 2015 (5,6 milliards), rappelle le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis).
Fort recul des exportations
Les exportations algériennes ont baissé de 38,4% en glissement annuel, à 7,54 milliards de dollars, indique la même source. L’effondrement des cours des hydrocarbures, qui représentent 92,8% des exportations, est sans conteste à l’origine de cette baisse. Les exportations hors hydrocarbures sont aussi en baisse, de 23,1% en glissement annuel, avec seulement 543 millions de dollars.
En parallèle, les importations du pays ont également reculé, pour atteindre 15,17 milliards de dollars sur les quatre premiers mois de 2016, précise le Cnis. Cette baisse de 15,06% par rapport à 2015 n’a cependant pas suffi à empêcher un déficit toujours plus important.