Par CNP NEWS - 23 mai 2016
Le bureau de Saïd BOUTEFLIKA est de plus en plus désert. Les absences longues et répétées du frère conseiller ont éveillé les soupçons de son entourage amical et professionnel mais aussi celui de certains membres du Département des Renseignements Spéciaux, DRS, qui ne sont jamais très loin de l’imposant palais d’El Mouradia.
Désormais, quand le benjamin de ses nombreux frères et sœurs, fait irruption dans son service, ce n’est plus pour longtemps. Quand il entre dans ses bureaux, c’est souvent pour squatter l’arrière chambre où se trouvent notamment ses toilettes privées.
Tantôt préoccupés, tantôt interrogatifs, ses personnels y compris sa garde rapprochée sont surtout stupéfaits devant l’humeur versatile de leur patron. Saïd Bouteflika est parfois comme par son habitude, autoritaire, rabaissant, humiliant, parfois peu bavard et moins regardant. Il est de même pour son apparence physique qui connait un véritable effet yoyo ces derniers mois. Son visage parfois tuméfié aux rides bien marquées, parfois gonflé et lisse comme s’il venait de subir un lifting.
Saïd Bouteflika ne peut plus cacher sa maladie
L’homme le plus détesté des Algériens est atteint d’un cancer du pancréas localement avancé. Cette information a été vérifiée par le correspondant de CNP news auprès de deux sources concordantes. L’homme subit depuis quelques mois un traitement aux corticoïdes couplé de séances de chimiothérapie.
Les prises de tête avec sa directrice de communication ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Farida BESSA, une femme au caractère très trompé et la langue rarement dans la poche, est à la fois inquiète pour son poste et la richesse amassée illicitement et à la fois soulagée de ne plus devoir ménager un véritable tyran. « Elle ne sait plus si elle doit s’en réjouir ou pleurer » lance une employée de la présidence à un membre du protocole.
L’Algérie fermera-t-elle bientôt la page la plus sombre de son histoire ?
Le presque secret de polichinelle nous a permis de savoir que c’est à la clinique de Genolier, située à 30 km de Genève dans la commune de Genolier du canton de Vaud, que Saïd BOUTEFLIKA a choisi de recevoir son traitement et son suivi médical. Quand nous avons pris contact avec le service de cancérologie de la clinique afin d’obtenir une affirmation ou une infirmation quant à la maladie de Saïd Bouteflika, la réponse était prévisible, le serment d’Hippocrate oblige de garder le secret médical en toutes circonstances. Nous ne saurons pas davantage sur les détails de la maladie de Saïd BOUTEFLIKA mais si cette information se confirme, l’Algérie fermera-t-elle la page la plus sombre de son histoire ?
La maladie n’empêchera pas Saïd Bouteflika de continuer de défier le Général de Corps d’armée, chef d’état-major Ahmed GAID-SALAH
Les lourds traitements que subit Saïd BOUTEFLIKA ne semblent pas l’empêcher de défier Ahmed GAID-SALAH pour tenter de mettre son plan machiavélique à exécution, celui de déposer son propre frère et de mettre en lieu et place l’ancien ministre de l’énergie et des mines Chakib KHELIL. Selon nos informations, Saïd BOUTEFLIKA aurait dépêché, en catimini, Chakib KHELIL à Oran chez le Général – major Saïd Bey pour discuter des modalités d’un deal qui consisterait à enclencher une situation de « Win-Win » entre les deux hommes. Contre le soutien de Saïd BEY, Saïd BOUTEFLIKA poussera Ahmed GAID-SALAH à la retraite, élèvera Saïd BEY au grade de Général de Corps d’armée et installera Chakib KHELIL à El Mouradia. Une opération qui maintiendra dans l’impunité totale Saïd BOUTEFLKA et son complice Chakib KHELIL dans l’affaire de Saipem notamment.
Mohamed B.
Le bureau de Saïd BOUTEFLIKA est de plus en plus désert. Les absences longues et répétées du frère conseiller ont éveillé les soupçons de son entourage amical et professionnel mais aussi celui de certains membres du Département des Renseignements Spéciaux, DRS, qui ne sont jamais très loin de l’imposant palais d’El Mouradia.
Désormais, quand le benjamin de ses nombreux frères et sœurs, fait irruption dans son service, ce n’est plus pour longtemps. Quand il entre dans ses bureaux, c’est souvent pour squatter l’arrière chambre où se trouvent notamment ses toilettes privées.
Tantôt préoccupés, tantôt interrogatifs, ses personnels y compris sa garde rapprochée sont surtout stupéfaits devant l’humeur versatile de leur patron. Saïd Bouteflika est parfois comme par son habitude, autoritaire, rabaissant, humiliant, parfois peu bavard et moins regardant. Il est de même pour son apparence physique qui connait un véritable effet yoyo ces derniers mois. Son visage parfois tuméfié aux rides bien marquées, parfois gonflé et lisse comme s’il venait de subir un lifting.
Saïd Bouteflika ne peut plus cacher sa maladie
L’homme le plus détesté des Algériens est atteint d’un cancer du pancréas localement avancé. Cette information a été vérifiée par le correspondant de CNP news auprès de deux sources concordantes. L’homme subit depuis quelques mois un traitement aux corticoïdes couplé de séances de chimiothérapie.
Les prises de tête avec sa directrice de communication ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Farida BESSA, une femme au caractère très trompé et la langue rarement dans la poche, est à la fois inquiète pour son poste et la richesse amassée illicitement et à la fois soulagée de ne plus devoir ménager un véritable tyran. « Elle ne sait plus si elle doit s’en réjouir ou pleurer » lance une employée de la présidence à un membre du protocole.
L’Algérie fermera-t-elle bientôt la page la plus sombre de son histoire ?
Le presque secret de polichinelle nous a permis de savoir que c’est à la clinique de Genolier, située à 30 km de Genève dans la commune de Genolier du canton de Vaud, que Saïd BOUTEFLIKA a choisi de recevoir son traitement et son suivi médical. Quand nous avons pris contact avec le service de cancérologie de la clinique afin d’obtenir une affirmation ou une infirmation quant à la maladie de Saïd Bouteflika, la réponse était prévisible, le serment d’Hippocrate oblige de garder le secret médical en toutes circonstances. Nous ne saurons pas davantage sur les détails de la maladie de Saïd BOUTEFLIKA mais si cette information se confirme, l’Algérie fermera-t-elle la page la plus sombre de son histoire ?
La maladie n’empêchera pas Saïd Bouteflika de continuer de défier le Général de Corps d’armée, chef d’état-major Ahmed GAID-SALAH
Les lourds traitements que subit Saïd BOUTEFLIKA ne semblent pas l’empêcher de défier Ahmed GAID-SALAH pour tenter de mettre son plan machiavélique à exécution, celui de déposer son propre frère et de mettre en lieu et place l’ancien ministre de l’énergie et des mines Chakib KHELIL. Selon nos informations, Saïd BOUTEFLIKA aurait dépêché, en catimini, Chakib KHELIL à Oran chez le Général – major Saïd Bey pour discuter des modalités d’un deal qui consisterait à enclencher une situation de « Win-Win » entre les deux hommes. Contre le soutien de Saïd BEY, Saïd BOUTEFLIKA poussera Ahmed GAID-SALAH à la retraite, élèvera Saïd BEY au grade de Général de Corps d’armée et installera Chakib KHELIL à El Mouradia. Une opération qui maintiendra dans l’impunité totale Saïd BOUTEFLKA et son complice Chakib KHELIL dans l’affaire de Saipem notamment.
Mohamed B.
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