Les Anglais choqués par les agissements du pouvoir algérien

[Djigo]

Les Anglais "choqués" !!!
M. Rebrab aura vu des “interlocuteurs choqués” par cette éviction, pour le moins, non productive pour l’économie nationale. Le groupe Cevital avait, rappelle M. Rebrab, déjà sponsorisé la 1re édition dudit forum et participé en tant qu’acteur majeur. “Je suis l’auteur de l’idée de lancer ce forum, en 2014. Ceci, sans parler de mon intervention en plénière qui était bien appréciée”, se rappelle-t-il modestement.
Le comble, c’est que le groupe Cevital avait pris attache, trois mois auparavant, avec la société britannique DMA dans l’optique de sponsoriser cette deuxième édition du Forum d’affaires algéro-britannique. “Il y a trois mois, ma directrice en communication a reçu une demande de sponsoring de la société DMA chargée de l’organisation de ce forum. Évidemment, nous avons répondu par l’affirmative. Et puis, 15 jours après, le directeur de cette agence de communication nous dit : ‘Écoutez, le ministre de l’Industrie refuse que vous nous sponsorisiez et nous demande de vous rembourser le sponsoring et que votre logo ne figure pas sur les affiches au niveau de ce Forum’”, raconte, dépité, le patron du premier groupe privé en Algérie.
En effet, la société britannique DMA, chargée de l’organisation du sponsoring, a adressé une lettre datée du 6 mai dernier, dont on détient une copie, à la direction de Cevital pour lui faire part de son regret de devoir rejeter le sponsoring de ce dernier à ce forum auquel s’oppose le ministre de l’Industrie et des Mines.
Dans cette lettre, les responsables de la boîte DMA ont, en effet, précisé à la direction de Cevital qu’ils venaient d’être contactés par l’ambassadeur M. Andrew Noble, pour les informer que, lors d’un entretien téléphonique, Abdeslam Bouchouareb lui a signifié qu’il ne voulait pas de la présence de Rebrab au forum. Un refus qui n’est d’ailleurs pas du goût des responsables de DMA lesquels, comme écrit dans leur lettre, ont souhaité la participation de Cevital : “Plus grand groupe privé en Algérie, plus grand embaucheur et exemple le plus pertinent pour projeter une image de diversification aux investisseurs britanniques (…)”.

Liberté

[Djigo]

se donner ainsi en spectacle, quelle piètre image de leur pays ils donnent ces ministres, l'image du pays en prend un sacré coup. c'est le Maroc qui va encore raflé les meilleurs investissements

[leftissi]

je crois que la charte impose de citer au moins la source pour qu'on puisse vérifier que c'est pas un montage mensonger. d'autant que siwel, rezkinette et tamurt nous ont habitué à des mystifications mensongères.

[nacer-eddine06]

c de liberte a moins que liberte est une rezkinette ce qui m etonnerait

[zaki17]

Les Anglais choqués par les agissements du pouvoir algérien


Source Djigo

[nacer-eddine06]

la france veille aux grains

bien jouer les fils de caids

[Djigo]

je crois que la charte impose de citer au moins la source pour qu'on puisse vérifier que c'est pas un montage mensonger. d'autant que siwel, rezkinette et tamurt nous ont habitué à des mystifications mensongères

pourquoi il y'a quelque chose que te "choque" toi aussi tu dois bien connaitre tes dirigeants depuis le temps, ça ne devrait pas t'étonner

[leftissi]

pourquoi il y'a quelque chose que te "choque" toi aussi tu dois bien connaitre tes dirigeants depuis le temps, ça ne devrait pas t'étonne

on te parle de la charte et le devoir de citer la source de ton info.tu me parles de "mes" dirigeants comme s'ils ne sont pas les tiens. c'est comme çui à qui on a montré la lune et qui s'agrippe comme un bébé au doigt indicateur. vos sources nous ont habitué aux mensonges et à la mystifications, on n'y croit pas.

[ACAPULCO]

Je ne comprend pas pourquoi cevital se donne toujours l'image d'un groupe d'hommes kabyles et non d'un industriel algérien nationaliste tout court

[Djigo]

on te parle de la charte et le devoir de citer la source de ton info.tu me parles de "mes" dirigeants comme s'ils ne sont pas les tiens. c'est comme çui à qui on a montré la lune et qui s'agrippe comme un bébé au doigt indicateur.

je crois que tu es plus en phase avec eux que nous

vos sources nous ont habitué aux mensonges et à la mystifications, on n'y croit pas.

tiens donc !!! la bonne blague et ta source favorite en ce moment; Ennahar, elle nous a habitué à quoi ?

[zaki17]

Source : liberté = Rebrab

Il a tout un journal pour lui et répond aux journalistes dans un restaurant

[nacer-eddine06]

et acca qui doute du nationalisme de rabrab


par contre un miss o harki preside aux destinees de l industrie de l algerie

aya barkawnna

[okba30]

Liberté

Plus précisément Liberté-Algérie, avec ses excellents éditorialistes Hammouche, Abrous ou Omar Ouali.
On est loin de la basse gamme Siwel et Tamurt.

L'exclusion de Rebrab d'un forum économique signifie que le régime actuel est loin d'être celui de tous.

Camarilla

Imaginons un instant l’équipe algérienne de foot livrer un match à son homologue anglaise sans faire jouer son meilleur joueur actuel, Riyad Mahrez. Ce serait alors une aberration, un non- sens. Toute chose étant égale par ailleurs, ce qui s’est passé hier à l’hôtel El-Aurassi, où s’est tenu le 2e Forum d’affaires algéro-britannique, relève du même ordre de bêtise.
Issad Rebrab, le plus grand investisseur privé en Algérie, l’industriel qui incarne le mieux la performance économique, le visage de l’Algérie qui travaille, est tout simplement empêché de participer à ce forum. En revanche, les “acteurs économiques”, qui gravitent dans l’orbite du clan, y sont invités pour faire tapisserie, sachant qu’un grand nombre ne contribue que modestement à la création de la richesse nationale. L’ambassadeur britannique, qui a pris toute la mesure de cette exclusion stupide du premier homme d’affaires algérien, et du grotesque qui la caractérise, s’est mis en devoir d’appeler Issad Rebrab pour lui faire part de ses excuses et de son embarras à “être au milieu d’un désaccord algérien”. L’ambassadeur de Sa Majesté à Alger, pour ce qui le concerne, estime que “Cevital devrait participer au forum”, que le groupe en question “est l’exemple le plus pertinent pour projeter une image de diversification aux investisseurs britanniques”. Quelle piètre image de l’Algérie que donne cette exclusion ! La honte ! Elle constitue, en soi, un démenti formel aux incantations du gouvernement quant à l’ouverture de l’économie algérienne aux investisseurs privés. Les vrais, bien sûr. Mais, visiblement,
Abdeslam Bouchouareb, car c’est lui qui est derrière la cabale, qui a fait appeler la partie britannique pour exiger la non-participation du patron de Cevital, n’a plus le souci de l’image de l’Algérie. Au point où l’Algérie en est ! Le ministre de l’Industrie et des Mines s’est déjà rendu coupable de la même forfaiture devant les Turcs, il y a quelques mois. Mais, si l’empêchement de l’homme d’affaires numéro un en Algérie, à participer au Forum algéro-britannique est quelque chose de grave, ce qu’il dit est tout simplement gravissime. C’est la traduction en actes arbitraires et autoritaires de cette déliquescence de l’État algérien contre laquelle partis politiques et élites intellectuelles ne cessent de mettre en garde. Un État qui donne, aujourd’hui, hélas, l’apparence d’être squatté par une camarilla, obsédée par sa propre survie politique et, donc, décidée à ne reculer, désormais, devant aucune turpitude, devant aucune provocation. Même au prix du pire.
Imaginons un instant l’équipe algérienne de foot livrer un match à son homologue anglaise sans faire jouer son meilleur joueur actuel, Riyad Mahrez. Ce serait alors une aberration, un non- sens. Toute chose étant égale par ailleurs, ce qui s’est passé hier à l’hôtel El-Aurassi, où s’est tenu le 2e Forum d’affaires algéro-britannique, relève du même ordre de bêtise.
Issad Rebrab, le plus grand investisseur privé en Algérie, l’industriel qui incarne le mieux la performance économique, le visage de l’Algérie qui travaille, est tout simplement empêché de participer à ce forum. En revanche, les “acteurs économiques”, qui gravitent dans l’orbite du clan, y sont invités pour faire tapisserie, sachant qu’un grand nombre ne contribue que modestement à la création de la richesse nationale. L’ambassadeur britannique, qui a pris toute la mesure de cette exclusion stupide du premier homme d’affaires algérien, et du grotesque qui la caractérise, s’est mis en devoir d’appeler Issad Rebrab pour lui faire part de ses excuses et de son embarras à “être au milieu d’un désaccord algérien”. L’ambassadeur de Sa Majesté à Alger, pour ce qui le concerne, estime que “Cevital devrait participer au forum”, que le groupe en question “est l’exemple le plus pertinent pour projeter une image de diversification aux investisseurs britanniques”. Quelle piètre image de l’Algérie que donne cette exclusion ! La honte ! Elle constitue, en soi, un démenti formel aux incantations du gouvernement quant à l’ouverture de l’économie algérienne aux investisseurs privés. Les vrais, bien sûr. Mais, visiblement,
Abdeslam Bouchouareb, car c’est lui qui est derrière la cabale, qui a fait appeler la partie britannique pour exiger la non-participation du patron de Cevital, n’a plus le souci de l’image de l’Algérie. Au point où l’Algérie en est ! Le ministre de l’Industrie et des Mines s’est déjà rendu coupable de la même forfaiture devant les Turcs, il y a quelques mois. Mais, si l’empêchement de l’homme d’affaires numéro un en Algérie, à participer au Forum algéro-britannique est quelque chose de grave, ce qu’il dit est tout simplement gravissime. C’est la traduction en actes arbitraires et autoritaires de cette déliquescence de l’État algérien contre laquelle partis politiques et élites intellectuelles ne cessent de mettre en garde. Un État qui donne, aujourd’hui, hélas, l’apparence d’être squatté par une camarilla, obsédée par sa propre survie politique et, donc, décidée à ne reculer, désormais, devant aucune turpitude, devant aucune provocation. Même au prix du pire.

Omar Ouali,
(Liberté-Algérie)

[leftissi]

Pour moi, liberté, el-watan, le soir d’Algérie = siwel, tamurt, reskinette § co : objectifs convergents.

[Arezkii]

Pour moi, liberté, el-watan, le soir d’Algérie = siwel, tamurt, reskinette § co : objectifs convergents.

Bien sur ,les journaux les plus crédibles sont : el moudjahid , le temps ( de la clique à haddad ) l'horizon , etc ...Enfin la presse qui fait dans le lèche bote ( à ce titre il y a lieux de visionner la caricature d'Ainouche sur TSA ) .