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LE CAS DE FIGURE QU’IL A IMAGINÉ EST MAL À PROPOS Le grave parallèle de Hamid Grine

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    LE CAS DE FIGURE QU’IL A IMAGINÉ EST MAL À PROPOS

    Le grave parallèle de Hamid Grine

    La visite, avant-hier, du ministre de la Communication, Hamid Grine, à Djelfa, ne s’est pas déroulée sans incidents. Le ministre s’est encore une fois empêtré dans des approximations et des comparaisons qui informent plus sur son désarroi et son embrouille que sur son assurance dans son entreprise de faire annuler la cession des actions d’El Khabar au profit de Ness-Prod. À une question sur son immixtion dans une transaction commerciale conclue en bonne et due forme entre deux sociétés algériennes — des experts l’attestent —, le ministre n’a pas trouvé mieux pour justifier sa méprise et sa méconnaissance de la loi que par une comparaison, c’est le moins que l’on puisse dire, choquante. “Le retard enregistré dans la mise sur pied de l’Autorité de régulation de la presse écrite ne va pas nous empêcher d’appliquer la loi pour préserver les intérêts du pays”, a-t-il répondu. Première bévue de la part d’un membre de l’Exécutif qui lie la reprise de quelques actions d’une entreprise de presse algérienne par une autre société, tout autant algérienne, à un danger pour le pays. Le ministre ne s’est pas contenté de cette étourderie. Il s’est même permis de faire une comparaison qui a étonné plus d’un. “Si un sioniste veut acheter un média national, va-t-on, aussi, le lui permettre ?”, a-t-il répondu, toute honte bue, devant un parterre très surpris par une telle sortie, c’est le moins que l’on puisse dire inattendue, grave de la part d’un ministre de la République. Les explications auxquelles a recouru Hamid Grine pour convaincre du bien-fondé de son action contre El Khabar n’ont finalement pas eu l’effet escompté. Il s’est discrédité davantage devant une assistance pourtant triée sur le volet, choisie principalement parmi les étudiants de la ville. Et comme le ministre de la Communication s’est permis une telle comparaison, il faut rappeler sans cesse qu’aucune autre institution, en dehors de l’Autorité de régulation de la presse écrite, ne saura ni ne pourra s’opposer à une reprise d’actions dans un média. Cette tâche est du ressort de l’Autorité de régulation de la presse écrite prévue dans la loi organique relative à l’information de janvier 2012 à laquelle le ministre Grine, contre tout bon sens, veut se substituer. Raisonnement par l’absurde pour raisonnement par l’absurde, on peut toujours retourner à Hamid Grine son parallèle : le risque qu’il a évoqué est valable pour la fonction ministérielle.

    Mohamed Mouloudj

    Liberté
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    C'est grave, très grave ce que ce maquignon de ministre profére .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      A l'évidence, il ne fait que s'imprégner de la new vawe... Tout ceux qui ne sont pas d'accord avec moi sont des sionistes!!! L'air est connu! et venant d'un ministre on ne peut que constater le niveau!...
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

      Commentaire


      • #4
        Car l'argument "sionisme" mêlé à toutes les sauce par la propagande du régime algerien est vendeur ..

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