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Donald Trump accepte de débattre avec Bernie Sanders sous condition

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  • Donald Trump accepte de débattre avec Bernie Sanders sous condition

    LE MONDE
    Le candidat démocrate Bernie Sanders lors d’un meeting à Ventura, en Californie, le 26 mai 2016.
    La campagne électorale hors norme en cours aux Etats-Unis pourrait s’enrichir d’un nouvel épisode avec l’organisation d’un débat qui opposerait le futur candidat républicain, Donald Trump, au sénateur indépendant du Vermont, Bernie Sanders. Ce dernier, nettement distancé dans la course à l’investiture qui l’oppose à la favorite, Hillary Clinton, en a fait la proposition au magnat de l’immobilier. M. Trump l’a acceptée jeudi 26 mai en avançant cependant une condition : le versement par la chaîne de télévision qui l’accueillerait de millions de dollars pour des œuvres caritatives. Ce débat permettrait aux deux hommes d’éclipser Mme Clinton. L’ancienne secrétaire d’Etat avait refusé un débat à M. Sanders à la veille des primaires prévues le 7 juin en Californie, dans le Dakota du Nord, dans le Montana, dans le New Jersey et au Nouveau-Mexique. Il s’agit d’un nouveau signe de l’obstination du sénateur indépendant, en dépit de résultats insuffisants pour espérer l’emporter. Il a ainsi demandé le 24 mai un réexamen des primaires du Kentucky, organisées le 17 mai et perdues d’un cheveu. Ce réexamen a cependant confirmé jeudi la victoire de Mme Clinton.

    La citation du jour

    « Pocahontas ? C’est une grande gueule. »

    Le futur candidat républicain à l’élection présidentielle s’est une nouvelle fois attaqué à la sénatrice du Massachusetts Elizabeth Warren, figure de la gauche démocrate, avec laquelle il a eu des échanges vigoureux par comptes Twitter interposés. Donald Trump l’a gratifiée du surnom d’une figure historique des tribus autochtones, au grand dam d’une journaliste indienne présente sur place, Nicole Robertson. M. Trump doute des racines en partie indiennes de la sénatrice, parfois disputées. « Elle est aussi indienne que moi », a assuré le milliardaire, qui s’en était pris par le passé aux origines du président Barack Obama.



    « Ils ne savent pas vraiment s’il faut prendre au sérieux certaines de ses affirmations. Mais ils sont, pour de bonnes raisons, ébranlés par ces dernières. »
    En marge du sommet du G7 au Japon, le président des Etats-Unis, Barack Obama, s’est une nouvelle fois attaqué au futur candidat républicain. Sans jamais prononcer son nom, M. Obama a indiqué que ses homologues étaient intrigués par sa campagne. Il a aussi déploré le goût de ce dernier pour « les tweets et les titres de la presse » aux dépens selon lui d’« une réflexion en profondeur sur la politique à mettre en œuvre pour assurer la sécurité et la prospérité de l’Amérique et la stabilité du monde ».


    L’agence de presse Associated Press, la référence pour le décompte des délégués, a annoncé jeudi 26 mai que le magnat de l’immobilier disposait désormais des 1 237 voix qui lui assurent de devenir le candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle du 8 novembre. AP est parvenu à ce résultat en ajoutant aux délégués élus des délégués théoriquement libres de leur choix mais qui, interrogés, ont assuré qu’ils voteront pour le milliardaire.



    Le futur candidat républicain, Donald Trump, a prononcé jeudi 26 mai à Bismarck, dans le Dakota du Nord, un discours consacré à sa politique énergétique. Le milliardaire s’est montré pour une fois en parfait accord avec son parti en plaidant pour l’annulation des accords de Paris, qui doivent entraîner aux Etats-Unis une baisse de la consommation de charbon, pour la construction de l’oléoduc géant Keystone XL entre la province canadienne de l’Alberta, riche en sables bitumineux, et un réseau déjà existant aux Etats-Unis, ainsi que pour une déréglementation du secteur.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Le déchet Donald Trump est un menteur pathologique et un lâche. Il a répondu à la question de Jimmy Kimmel en prétendant qu'il était prêt à débattre avec Bernie Sanders sous condition juste pour créer le buzz car il misait sur le fait que la chaîne ABC refuserait sa condition et que Bernie Sanders refuserait de débattre avec lui.

    Mais lorsque Bernie Sanders a répondu qu'il était totalement d'accord pour débattre avec le déchet Trump et qu'un société a accepté la condition du déchet Trump (10 millions $), le déchet Trump a changé d'avis et a dit qu'il ne débatterait pas avec Bernie Sanders!

    Bernie Sanders l'humilie dans la vidéo ci-dessous.

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    • #3
      He should push Secretary Clinton to debate him not Trump the trump. She has refused to debate him before the California primary.
      He has not won yet the primaries to cross over and debate the candidate of the other party. That is not how it is done.

      Hilary needs 73 votes to be the democratic nominee. If Bernie is not happy with that then his only recourse is to go rogue on the democrats and run as an independent. It is a choice of a would be sore loser. We might relive a remake of a Ralph Nader apocalypse that allowed George Bush, the son, to become president and make Americans suffer for 8 years.

      Sanders can beat Trump in a general election. But, he must first beat Hilary in the democratic primary to claim the right to debate the candidate of the other party.

      M.
      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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