Tweet
Cinq grand projets d’unités industrielles dans les différents secteurs sont en cours de réalisation". C’est ce qu’a déclaré Issad Rebrab, P-dg du groupe Cevital, hier, au Forum de la radio Chaîne III. Le responsable a l’ambition de réaliser d’autres projets dans le secteur de l’habitat, de l’énergie solaire ainsi que du transport routier et maritime. Pour l’agroalimentaire (huile végétale, margarine et sucre), Rebrab a estimé qu’avec ce projet de raffinerie du sucre "l’Algérie sera non seulement un pays exportateur mais sera parmi les premiers producteurs mondiaux avec une production estimée à 70% par an".
Le patron de Cevital réitère son encouragement pour le secteur agricole qui selon lui "sera un double bénéfice pour notre pays surtout dans la création d’emplois". En outre, il envisage un projet de réalisation d’une usine de jus de fruit. Concernant ses autres activités, Rebrab a fait part de sa propre production de l’électricité nécessaire aux besoins de ses unités industrielles dans la wilaya de Bejaïa, il parle même "de céder l’autre moitié à Sonelgaz pour couvrir d’autres régions de la même wilaya", a-t-il déclaré et d’ajouter que "d’autres compagnies électriques seront en réalisation pour nos complexes" en Algérie.
Intervenant sur les exportations hors hydrocarbures, l’invité de la radio a estimé qu’il faut investir dans d’autres domaines porteurs et technologiques pour avoir des produits de qualité et compétitifs. Selon lui, l’Algérie accuse un manque en matières de réception et de distribution. Dans la perspective de réguler le marché, Rebrab a soutenu qu’il compte installer un réseau de régulation : "Nous réaliserons 10 centrales logistiques qui serviront à réceptionner des fruits et des légumes et à les stocker dans les chambres froides", a-t-il noté.
Par ailleurs, le patron de Cevital a souligné que notre pays n’arrive pas à assurer son autosuffisance en matière de produits laitiers. Il en veut pour preuve l’abandon de 146 fermes sans compter d’autres villages. Concernant le financement de ses projets, le P-dg de Cevital a estimé que 75% du montant de ses invistissements sont réalisés sur son propre fonds. La couverture nationale des produits agroalimentaires a atteint un taux de 80% alors qu’en matière de production de sucre, le taux s’élève à 70% du marché national. Sollicité pour donner son avis sur la future adhésion de l’Algérie à l’OMC, l’intervenant a affirmé la nécessité de mettre à niveau l’industrie du pays pour espérer une place sur le marché international.
Le patron de Cevital réitère son encouragement pour le secteur agricole qui selon lui "sera un double bénéfice pour notre pays surtout dans la création d’emplois". En outre, il envisage un projet de réalisation d’une usine de jus de fruit. Concernant ses autres activités, Rebrab a fait part de sa propre production de l’électricité nécessaire aux besoins de ses unités industrielles dans la wilaya de Bejaïa, il parle même "de céder l’autre moitié à Sonelgaz pour couvrir d’autres régions de la même wilaya", a-t-il déclaré et d’ajouter que "d’autres compagnies électriques seront en réalisation pour nos complexes" en Algérie.
Intervenant sur les exportations hors hydrocarbures, l’invité de la radio a estimé qu’il faut investir dans d’autres domaines porteurs et technologiques pour avoir des produits de qualité et compétitifs. Selon lui, l’Algérie accuse un manque en matières de réception et de distribution. Dans la perspective de réguler le marché, Rebrab a soutenu qu’il compte installer un réseau de régulation : "Nous réaliserons 10 centrales logistiques qui serviront à réceptionner des fruits et des légumes et à les stocker dans les chambres froides", a-t-il noté.
Par ailleurs, le patron de Cevital a souligné que notre pays n’arrive pas à assurer son autosuffisance en matière de produits laitiers. Il en veut pour preuve l’abandon de 146 fermes sans compter d’autres villages. Concernant le financement de ses projets, le P-dg de Cevital a estimé que 75% du montant de ses invistissements sont réalisés sur son propre fonds. La couverture nationale des produits agroalimentaires a atteint un taux de 80% alors qu’en matière de production de sucre, le taux s’élève à 70% du marché national. Sollicité pour donner son avis sur la future adhésion de l’Algérie à l’OMC, l’intervenant a affirmé la nécessité de mettre à niveau l’industrie du pays pour espérer une place sur le marché international.
Commentaire