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Agence Ecofin) - Le code gazier marocain est prêt. Il était en préparation depuis plusieurs mois au niveau du ministère de l’énergie, en concertation avec les acteurs du secteur. Selon les officiels, le document sera transmis très prochainement au secrétariat général du gouvernement pour ensuite être introduit au parlement pour le processus d’adoption.
Comme l’explique le quotidien marocain Le Matin, ce projet de Code a pour objet de régir le secteur gazier aval qui comprend les activités de regazéification, de transport, de distribution, de stockage, d’importation, d’exportation et de commercialisation de gaz naturel sur tout le territoire national au profit du secteur industriel. En gros, le document constituera le cadre législatif préalable au lancement du projet « Gas to Industry » qui vise à étendre l’utilisation du gaz au secteur industriel et à le développer.
Selon le ministre en charge de l’énergie, dès son adoption, l’Agence nationale de régulation de l’électricité verra ses prérogatives étendues au gaz naturel. Ainsi, les gros consommateurs d’électricité visés par la mesure seront raccordés au réseau de distribution électrique pour bénéficier de meilleurs services d’approvisionnement en énergie. Ceci constituera sans doute un ouf de soulagement pour l’industrie locale dont les besoins en énergie sont de plus en plus conséquents. Ceux-ci atteignent au moins 300 MW selon des chiffres officiels.
Le gouvernement entend, à long terme, élargir l’utilisation du gaz pour la production d’électricité au secteur tertiaire et aux consommateurs résidentiels. Pour cela, il travaille à développer des infrastructures de production d’électricité à travers le projet « Gas to Power ». Il faut souligner que celui-ci s’inscrit dans le plan national de développement de l’utilisation du gaz naturel. C’est l’un des points saillants de la feuille de route 2025 pour la mise en œuvre du plan national de développement de l’utilisation du gaz naturel lancé en 2014.
La semaine dernière, Abdelkader Amara , le ministre marocain en charge de l'Energie, a déclaré qu’un nombre important de sociétés provenant de tous les horizons ont manifesté leur intérêt pour le projet marocain de développement du gaz naturel. Le royaume chérifien a exprimé un besoin d’investissements de 4,6 milliards $ pour la réalisation du projet.
Comme l’explique le quotidien marocain Le Matin, ce projet de Code a pour objet de régir le secteur gazier aval qui comprend les activités de regazéification, de transport, de distribution, de stockage, d’importation, d’exportation et de commercialisation de gaz naturel sur tout le territoire national au profit du secteur industriel. En gros, le document constituera le cadre législatif préalable au lancement du projet « Gas to Industry » qui vise à étendre l’utilisation du gaz au secteur industriel et à le développer.
Selon le ministre en charge de l’énergie, dès son adoption, l’Agence nationale de régulation de l’électricité verra ses prérogatives étendues au gaz naturel. Ainsi, les gros consommateurs d’électricité visés par la mesure seront raccordés au réseau de distribution électrique pour bénéficier de meilleurs services d’approvisionnement en énergie. Ceci constituera sans doute un ouf de soulagement pour l’industrie locale dont les besoins en énergie sont de plus en plus conséquents. Ceux-ci atteignent au moins 300 MW selon des chiffres officiels.
Le gouvernement entend, à long terme, élargir l’utilisation du gaz pour la production d’électricité au secteur tertiaire et aux consommateurs résidentiels. Pour cela, il travaille à développer des infrastructures de production d’électricité à travers le projet « Gas to Power ». Il faut souligner que celui-ci s’inscrit dans le plan national de développement de l’utilisation du gaz naturel. C’est l’un des points saillants de la feuille de route 2025 pour la mise en œuvre du plan national de développement de l’utilisation du gaz naturel lancé en 2014.
La semaine dernière, Abdelkader Amara , le ministre marocain en charge de l'Energie, a déclaré qu’un nombre important de sociétés provenant de tous les horizons ont manifesté leur intérêt pour le projet marocain de développement du gaz naturel. Le royaume chérifien a exprimé un besoin d’investissements de 4,6 milliards $ pour la réalisation du projet.