Chère lectrice, cher lecteur,
Sur le cholestérol, vous avez probablement entendu tout et son contraire.
On nous dit qu’il y a le bon et le mauvais cholestérol, et puis dans la même phrase on ajoute : « Mais attention, ce n’est pas aussi simple ».
– Ben oui, mais s’il est mauvais, ce cholestérol, on doit bien le faire baisser, non ?
– Oui, mais attention c’est plus compliqué que ça…
Le cholestérol, c’est le flou artistique.
Mais ce flou ne serait pas dû au hasard.
D’après le Dr Jean-Paul Curtay, président de la Société de médecine nutritionnelle et auteur d’un dossier de référence sur le cholestérol [1], il s’agit d’une « embrouille médicale » orchestrée au détriment de notre santé.
Selon lui, « l’affaire Cholestérol », aurait été fomentée par un petit groupe de conspirateurs.
Leur objectif : vendre un maximum de statines, les médicaments anticholestérol
Leur problème : ces médicaments sont inutiles et dangereux
Leur solution : brouiller les pistes, faire en sorte que plus personne n’y comprenne rien.
Plus c’est gros plus ça passe, dit-on. Là, vous allez voir, c’est é-nor-me !!!!
À l’origine du « hold-up »
C’est dans une petite ville américaine proche de Harvard, Framingham, qu’a été menée à partir de 1948 une étude de long terme (poursuivie de nos jours) sur les facteurs de risques cardiovasculaires.
Elle a mis en évidence entre 1957 et 1971 quelque chose qui n’est aujourd’hui ni contesté, ni contestable : l’importance de l’hypertension artérielle dans les risques d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).
En 1974, cette étude désigne le diabète comme facteur de risque. Et en 1977, le cholestérol. Mais l’étude souligne aussi l’effet protecteur d’un taux plus élevé de cholestérol HDL (High Density Lipoproteins), une nuance qui a été pendant longtemps passée à la trappe.
L’industrie pharmaceutique retient seulement que :
L’athérosclérose est due à une accumulation de cholestérol dans les parois artérielles
Il faut doser le cholestérol total
Le faire baisser s’il est élevé
Trois arguments fallacieux qui vont permettre de vendre un des médicaments les plus rentables de l’histoire : les anticholestérol appelés « statines ».
Un simple chiffre résume l’enjeu : l’anticholestérol Tahor a rapporté 130 milliards de dollars (cent trente milliards !!! je l’écris en lettres tellement c’est énorme) depuis son lancement en 1997… Cela méritait bien quelques arrangements avec la vérité !
Ce qui se passe quand on fait baisser le cholestérol
Le premier mensonge est d’avoir fait passer le cholestérol pour le diable en personne.
Comme si ce lipide, naturellement présent dans notre corps, n’avait aucune autre utilité que de nous boucher les artères.
Il nous faut ici une (petite) explication technique :
Nous sommes composés d’environ 100 000 milliards de cellules et chaque cellule est entourée d’une membrane composée de lipides. Or le cholestérol est un composant vital des membranes cellulaires qui joue un rôle fondamental :
Dans leur stabilité
Dans leur fluidité. Plus une membrane cellulaire est rigide, plus elle fige l’activité de toutes les protéines qui la hérissent comme des antennes : transporteurs, récepteurs… Ces derniers permettent de faire circuler les nutriments de l’extérieur à l’intérieur des cellules, et aux cellules et organes de communiquer entre eux.
Pour résumer, faire baisser le cholestérol peut altérer les capacités de la plupart des fonctions des membranes cellulaires, que ce soit le transport de nutriments ou la communication entre les organes.
Maintenant, voyons concrètement ce que ça veut dire :
Par exemple, si les récepteurs aux neurotransmetteurs du cerveau qui nous permettent d’être attentif, de mémoriser, sont moins actifs ? Les capacités de mémorisation déclinent. C’est exactement ce que l’on constate chez nombre de consommateurs de statines.
De même, la quantité de récepteurs à l’insuline capables de fonctionner chute, cela favorise l’intolérance au glucose, le pré-diabète, puis le diabète.
C’est pourquoi les études récentes montrent que les statines augmentent les risques de diabète, lui-même un facteur de risque cardiovasculaire mais aussi d’immunodépression, de vieillissement accéléré et même de cancers !
C’est l’arroseur arrosé… Très drôle dans les films, beaucoup moins quand il s’agit de sa santé.
Et ce n’est pas tout car le cholestérol a bien d’autres utilités. Il est :
Indispensable pour la vitamine D
C’est à partir du cholestérol que nous fabriquons le précurseur de la vitamine D qui va être activé par l’exposition au soleil.
Or aujourd’hui des milliers d’études montrent que le manque de vitamine D est un facteur de risque d’inflammation, d’infarctus, de diabète, de pathologies allergiques, de cancers (en particulier sein, prostate et côlon), de sclérose en plaques etc.
Indispensable pour la coenzyme Q10
C’est à partir du cholestérol que nous produisons la coenzyme Q10, une molécule vitale qui sert à transporter les électrons dans les mitochondries, les centrales énergétiques pour produire le moteur de toutes nos fonctions, l’ATP.
La coenzyme Q10 est par ailleurs un puissant antioxydant. Sa baisse est un facteur de raccourcissement de la longévité et il est largement démontré que les statines le font baisser de manière très significative.
Indispensable pour la DHEA, dont le le Pr Etienne-Emile Beaulieu a montré qu’elle était une hormone anti-âge.
Alors, vraiment, veut-on faire baisser le cholestérol à tout prix ?
Sur le cholestérol, vous avez probablement entendu tout et son contraire.
On nous dit qu’il y a le bon et le mauvais cholestérol, et puis dans la même phrase on ajoute : « Mais attention, ce n’est pas aussi simple ».
– Ben oui, mais s’il est mauvais, ce cholestérol, on doit bien le faire baisser, non ?
– Oui, mais attention c’est plus compliqué que ça…
Le cholestérol, c’est le flou artistique.
Mais ce flou ne serait pas dû au hasard.
D’après le Dr Jean-Paul Curtay, président de la Société de médecine nutritionnelle et auteur d’un dossier de référence sur le cholestérol [1], il s’agit d’une « embrouille médicale » orchestrée au détriment de notre santé.
Selon lui, « l’affaire Cholestérol », aurait été fomentée par un petit groupe de conspirateurs.
Leur objectif : vendre un maximum de statines, les médicaments anticholestérol
Leur problème : ces médicaments sont inutiles et dangereux
Leur solution : brouiller les pistes, faire en sorte que plus personne n’y comprenne rien.
Plus c’est gros plus ça passe, dit-on. Là, vous allez voir, c’est é-nor-me !!!!
À l’origine du « hold-up »
C’est dans une petite ville américaine proche de Harvard, Framingham, qu’a été menée à partir de 1948 une étude de long terme (poursuivie de nos jours) sur les facteurs de risques cardiovasculaires.
Elle a mis en évidence entre 1957 et 1971 quelque chose qui n’est aujourd’hui ni contesté, ni contestable : l’importance de l’hypertension artérielle dans les risques d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).
En 1974, cette étude désigne le diabète comme facteur de risque. Et en 1977, le cholestérol. Mais l’étude souligne aussi l’effet protecteur d’un taux plus élevé de cholestérol HDL (High Density Lipoproteins), une nuance qui a été pendant longtemps passée à la trappe.
L’industrie pharmaceutique retient seulement que :
L’athérosclérose est due à une accumulation de cholestérol dans les parois artérielles
Il faut doser le cholestérol total
Le faire baisser s’il est élevé
Trois arguments fallacieux qui vont permettre de vendre un des médicaments les plus rentables de l’histoire : les anticholestérol appelés « statines ».
Un simple chiffre résume l’enjeu : l’anticholestérol Tahor a rapporté 130 milliards de dollars (cent trente milliards !!! je l’écris en lettres tellement c’est énorme) depuis son lancement en 1997… Cela méritait bien quelques arrangements avec la vérité !
Ce qui se passe quand on fait baisser le cholestérol
Le premier mensonge est d’avoir fait passer le cholestérol pour le diable en personne.
Comme si ce lipide, naturellement présent dans notre corps, n’avait aucune autre utilité que de nous boucher les artères.
Il nous faut ici une (petite) explication technique :
Nous sommes composés d’environ 100 000 milliards de cellules et chaque cellule est entourée d’une membrane composée de lipides. Or le cholestérol est un composant vital des membranes cellulaires qui joue un rôle fondamental :
Dans leur stabilité
Dans leur fluidité. Plus une membrane cellulaire est rigide, plus elle fige l’activité de toutes les protéines qui la hérissent comme des antennes : transporteurs, récepteurs… Ces derniers permettent de faire circuler les nutriments de l’extérieur à l’intérieur des cellules, et aux cellules et organes de communiquer entre eux.
Pour résumer, faire baisser le cholestérol peut altérer les capacités de la plupart des fonctions des membranes cellulaires, que ce soit le transport de nutriments ou la communication entre les organes.
Maintenant, voyons concrètement ce que ça veut dire :
Par exemple, si les récepteurs aux neurotransmetteurs du cerveau qui nous permettent d’être attentif, de mémoriser, sont moins actifs ? Les capacités de mémorisation déclinent. C’est exactement ce que l’on constate chez nombre de consommateurs de statines.
De même, la quantité de récepteurs à l’insuline capables de fonctionner chute, cela favorise l’intolérance au glucose, le pré-diabète, puis le diabète.
C’est pourquoi les études récentes montrent que les statines augmentent les risques de diabète, lui-même un facteur de risque cardiovasculaire mais aussi d’immunodépression, de vieillissement accéléré et même de cancers !
C’est l’arroseur arrosé… Très drôle dans les films, beaucoup moins quand il s’agit de sa santé.
Et ce n’est pas tout car le cholestérol a bien d’autres utilités. Il est :
Indispensable pour la vitamine D
C’est à partir du cholestérol que nous fabriquons le précurseur de la vitamine D qui va être activé par l’exposition au soleil.
Or aujourd’hui des milliers d’études montrent que le manque de vitamine D est un facteur de risque d’inflammation, d’infarctus, de diabète, de pathologies allergiques, de cancers (en particulier sein, prostate et côlon), de sclérose en plaques etc.
Indispensable pour la coenzyme Q10
C’est à partir du cholestérol que nous produisons la coenzyme Q10, une molécule vitale qui sert à transporter les électrons dans les mitochondries, les centrales énergétiques pour produire le moteur de toutes nos fonctions, l’ATP.
La coenzyme Q10 est par ailleurs un puissant antioxydant. Sa baisse est un facteur de raccourcissement de la longévité et il est largement démontré que les statines le font baisser de manière très significative.
Indispensable pour la DHEA, dont le le Pr Etienne-Emile Beaulieu a montré qu’elle était une hormone anti-âge.
Alors, vraiment, veut-on faire baisser le cholestérol à tout prix ?
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