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Dimanche 5 juin 2016
General Electric et le Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) ont procédé, le Mercredi 01 juin 2016, à la signature d’une convention de coopération. Ce partenariat porte sur la mise en place d’un groupe de travail destiné à identifier les besoins en matière d’énergies renouvelables ainsi que l’efficacité énergétique en Algérie.
Cette convention a été signée lors des portes-ouvertes organisées par le CDER afin de favoriser et initier le développement de projets collaboratifs innovants sur un marché en pleine expansion. Cet événement a réunit de nombreux professionnels exerçant dans divers secteurs d’activités afin de débattre des défis communs et de partager des informations autour du rôle de chaque partie prenante dans l’accélération de la transition énergétique en Algérie.
Par ailleurs, plusieurs questions ont été soulevées au sujet de l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables puisque l’Algérie sera confrontée, d’ici 2040, à de multiples défis démographiques, urbains, énergétiques et climatiques. Des prévisions qui justifient l’intérêt pour la transition énergétique, devenue désormais une priorité pour l’ensemble des pays de la région, notamment l’Algérie.
La convention signée par GE et le CDER en marge de cette conférence prévoit la mise en place d’un groupe de travail qui réunira des représentants de chaque partie afin d’évaluer les besoins en matière de recherches et de déploiement des énergies renouvelables en Algérie ; de la production en passant par le transport, la distribution et le déploiement des technologies de pointe, et notamment des solutions numériques.
Ladite convention porte également sur la proposition de thèmes de collaboration en réponse aux besoins préalablement identifiés et sur le suivi de projets de coopération engagés entre GE et le CDER.
M. Touffik Fredj, P-DG de GE pour l’Afrique du Nord Ouest, a déclaré : " L’Algérie s’engage dans une nouvelle ère énergétique. L’amélioration de l’efficacité énergétique et la promotion des énergies renouvelables font parties des priorités du gouvernement algérien. Cette vision s’appuie sur une stratégie axée sur l’exploitation des ressources renouvelables telles que l’éolien et le solaire. C’est une vision que nous partageons puisque GE soutient les objectifs de l’Algérie de diversifier ses sources d’énergies en investissant dans le développement de nouvelles technologies et solutions numériques ".
" A travers cet accord, nous ambitionnons d’aider les opérateurs de réseaux à intégrer les énergies renouvelables et renforcer ainsi la sécurité énergétique du pays à long terme. GE possède les technologies, les ressources et l’expertise nécessaires à la gestion de projets, l’intégration des énergies renouvelables et la modernisation des réseaux électriques. "
M. Noureddine Yassaa, Directeur du Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) a mis l’accent sur le potentiel énorme en matière d’Energies Renouvelables, notamment "solaire, éolien, thermique, hydrogène et la biomasse", en évoquant la Nouvelle mouture du programme Nationale de Développement des Energies Renouvelables et l’importance de l’accompagnement des différents secteurs socio-économiques. Pr. Yassaa a tenu à rappeler le rôle major joué par le CDER comme l’un des plus importants centres de recherche en Algérie et qui pilote et accompagne les différents programmes et objectifs énergétiques fixés par le gouvernement.
Dans le domaine de la coopération, le Pr Noureddine Yassaa a annoncé la signature de plusieurs conventions avec des établissements nationaux et internationaux notamment avec GE et aspire à une collaboration gagnant-gagnant qui permettrait un réel transfert technologique et échanges de compétences.
Prof. Yassaa considère que ces journées se tiennent à point nommé, notamment du fait qu’elles se déroulent après la promulgation de la nouvelle loi d’orientation sur la recherche scientifique, le développement technologique et l’innovation qui vise à créer davantage de passerelles et de synergies entre la recherche académique et appliquée et les secteurs industriels et socioéconomiques.
Selon Prof. Yassaa, " le développement de l’industrie du renouvelable qui requiert de l’innovation et du développement technologique contribuera inéluctablement à l’émancipation de la recherche, de l’innovation et du développement dans ce créneau éminemment technologique et créera davantage de passerelles entre le monde de la recherche et le monde de l’industrie. A cet effet, la recherche scientifique doit participer dans toutes les étapes du programme national des énergies renouvelables. Le processus recherche, développement, démonstration (RD&D) et diffusion du produit de la recherche doit être soutenu par l’intégration des politiques technologiques et des mesures du marché. Le soutien à la RD&D dans le domaine du renouvelable est également une priorité nationale et un choix stratégique à même de développer des nouvelles solutions énergétiques à la fois fiables et propres et à des coûts abordables, à travers le développement technologique, la maturité des technologies, la compétitivité des technologies et le déploiement à grande échelle du renouvelable. Ce soutien doit émaner à la fois des pouvoirs publics mais également des entreprises privées. "
L’Algérie prévoit d’ici 2030 une production de 22. 000 MW d’électricité de sources renouvelables (soit le double de la capacité actuelle du parc national de production d’électricité), notamment solaire et éolienne. Cette capacité électrique est destinée au marché intérieur, en plus de 10. 000 MW supplémentaires voués à l’exportation. Une réduction de plus de 9% de la consommation d’énergie fossile est prévue à l’horizon 2030.
Enfin, il est souhaité que le déploiement des énergies renouvelables permettra d’assurer l’indépendance énergétique de l’Algérie et générera une dynamique de développement économique travers l’implantation d’industries créatrices de richesse et d’emplois.
GE propose l’un des portefeuilles les plus larges et les plus complets du secteur grâce à des technologies et solutions de pointe adaptées aux besoins de ses clients. Ces technologies mettent l’accent sur l’amélioration de la disponibilité des actifs, l’augmentation de l’efficacité de la transformation d’énergie et la réduction des coûts de fabrication et de maintenance. Par ailleurs, les solutions d’intégration et de contrôle offrent la possibilité de gérer les énergies renouvelables au sein d’une flotte complexe. Grâce à la puissance de l’internet industriel, GE met à disposition de ses clients des outils permettant de connecter les machines, tels que le Digital Wind Farm (Centrale électrique numérique). Cette solution allie les forces physiques des turbines et les capacités numériques pour offrir aux opérateurs de meilleurs rendements, réduire les coûts et booster l’efficacité opérationnelle tout au long du cycle de vie du parc éolien.
General Electric et le Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) ont procédé, le Mercredi 01 juin 2016, à la signature d’une convention de coopération. Ce partenariat porte sur la mise en place d’un groupe de travail destiné à identifier les besoins en matière d’énergies renouvelables ainsi que l’efficacité énergétique en Algérie.
Cette convention a été signée lors des portes-ouvertes organisées par le CDER afin de favoriser et initier le développement de projets collaboratifs innovants sur un marché en pleine expansion. Cet événement a réunit de nombreux professionnels exerçant dans divers secteurs d’activités afin de débattre des défis communs et de partager des informations autour du rôle de chaque partie prenante dans l’accélération de la transition énergétique en Algérie.
Par ailleurs, plusieurs questions ont été soulevées au sujet de l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables puisque l’Algérie sera confrontée, d’ici 2040, à de multiples défis démographiques, urbains, énergétiques et climatiques. Des prévisions qui justifient l’intérêt pour la transition énergétique, devenue désormais une priorité pour l’ensemble des pays de la région, notamment l’Algérie.
La convention signée par GE et le CDER en marge de cette conférence prévoit la mise en place d’un groupe de travail qui réunira des représentants de chaque partie afin d’évaluer les besoins en matière de recherches et de déploiement des énergies renouvelables en Algérie ; de la production en passant par le transport, la distribution et le déploiement des technologies de pointe, et notamment des solutions numériques.
Ladite convention porte également sur la proposition de thèmes de collaboration en réponse aux besoins préalablement identifiés et sur le suivi de projets de coopération engagés entre GE et le CDER.
M. Touffik Fredj, P-DG de GE pour l’Afrique du Nord Ouest, a déclaré : " L’Algérie s’engage dans une nouvelle ère énergétique. L’amélioration de l’efficacité énergétique et la promotion des énergies renouvelables font parties des priorités du gouvernement algérien. Cette vision s’appuie sur une stratégie axée sur l’exploitation des ressources renouvelables telles que l’éolien et le solaire. C’est une vision que nous partageons puisque GE soutient les objectifs de l’Algérie de diversifier ses sources d’énergies en investissant dans le développement de nouvelles technologies et solutions numériques ".
" A travers cet accord, nous ambitionnons d’aider les opérateurs de réseaux à intégrer les énergies renouvelables et renforcer ainsi la sécurité énergétique du pays à long terme. GE possède les technologies, les ressources et l’expertise nécessaires à la gestion de projets, l’intégration des énergies renouvelables et la modernisation des réseaux électriques. "
M. Noureddine Yassaa, Directeur du Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) a mis l’accent sur le potentiel énorme en matière d’Energies Renouvelables, notamment "solaire, éolien, thermique, hydrogène et la biomasse", en évoquant la Nouvelle mouture du programme Nationale de Développement des Energies Renouvelables et l’importance de l’accompagnement des différents secteurs socio-économiques. Pr. Yassaa a tenu à rappeler le rôle major joué par le CDER comme l’un des plus importants centres de recherche en Algérie et qui pilote et accompagne les différents programmes et objectifs énergétiques fixés par le gouvernement.
Dans le domaine de la coopération, le Pr Noureddine Yassaa a annoncé la signature de plusieurs conventions avec des établissements nationaux et internationaux notamment avec GE et aspire à une collaboration gagnant-gagnant qui permettrait un réel transfert technologique et échanges de compétences.
Prof. Yassaa considère que ces journées se tiennent à point nommé, notamment du fait qu’elles se déroulent après la promulgation de la nouvelle loi d’orientation sur la recherche scientifique, le développement technologique et l’innovation qui vise à créer davantage de passerelles et de synergies entre la recherche académique et appliquée et les secteurs industriels et socioéconomiques.
Selon Prof. Yassaa, " le développement de l’industrie du renouvelable qui requiert de l’innovation et du développement technologique contribuera inéluctablement à l’émancipation de la recherche, de l’innovation et du développement dans ce créneau éminemment technologique et créera davantage de passerelles entre le monde de la recherche et le monde de l’industrie. A cet effet, la recherche scientifique doit participer dans toutes les étapes du programme national des énergies renouvelables. Le processus recherche, développement, démonstration (RD&D) et diffusion du produit de la recherche doit être soutenu par l’intégration des politiques technologiques et des mesures du marché. Le soutien à la RD&D dans le domaine du renouvelable est également une priorité nationale et un choix stratégique à même de développer des nouvelles solutions énergétiques à la fois fiables et propres et à des coûts abordables, à travers le développement technologique, la maturité des technologies, la compétitivité des technologies et le déploiement à grande échelle du renouvelable. Ce soutien doit émaner à la fois des pouvoirs publics mais également des entreprises privées. "
L’Algérie prévoit d’ici 2030 une production de 22. 000 MW d’électricité de sources renouvelables (soit le double de la capacité actuelle du parc national de production d’électricité), notamment solaire et éolienne. Cette capacité électrique est destinée au marché intérieur, en plus de 10. 000 MW supplémentaires voués à l’exportation. Une réduction de plus de 9% de la consommation d’énergie fossile est prévue à l’horizon 2030.
Enfin, il est souhaité que le déploiement des énergies renouvelables permettra d’assurer l’indépendance énergétique de l’Algérie et générera une dynamique de développement économique travers l’implantation d’industries créatrices de richesse et d’emplois.
GE propose l’un des portefeuilles les plus larges et les plus complets du secteur grâce à des technologies et solutions de pointe adaptées aux besoins de ses clients. Ces technologies mettent l’accent sur l’amélioration de la disponibilité des actifs, l’augmentation de l’efficacité de la transformation d’énergie et la réduction des coûts de fabrication et de maintenance. Par ailleurs, les solutions d’intégration et de contrôle offrent la possibilité de gérer les énergies renouvelables au sein d’une flotte complexe. Grâce à la puissance de l’internet industriel, GE met à disposition de ses clients des outils permettant de connecter les machines, tels que le Digital Wind Farm (Centrale électrique numérique). Cette solution allie les forces physiques des turbines et les capacités numériques pour offrir aux opérateurs de meilleurs rendements, réduire les coûts et booster l’efficacité opérationnelle tout au long du cycle de vie du parc éolien.