Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai essayé de me retenir mais je n’ai pas pu, c’est sorti tout seul, et à peine ces quelques mots prononcés, j’ai regretté de les avoir lâché, laissé s’en aller, vers tes oreilles, j’aurai aimé que tu soit atteinte de surdité, passagère, pile au moment où j’ai dit ce que j’ai dit, mais hélas c’est trop tard, ce qui est fait ne peut être défait, en fait, je suis entrain de t’avouer ma défaite, moi qui me croyais à l’abri de ces conneries, me voilà bien servi, par le meilleur en plus, moi-même
Je sais ce que tu te dis, il l’a promis, et n’a pas réussi, à tenir sa promesse, il disait être différent, mais au final, il est comme les autres, si ce n’est pire, les autres ne m’ont pas dit ce qu’il vient de me dire… et tu sais quoi, tu as tort ! Enfin, tu as raison, mais … m *rde ! tu as tort
Quand je te l’avais promis, j’étais sincère, ces paroles provenaient des profondeurs de mon âme, au point que j’ignorais d’où pouvaient venir autant de passion, j’étais le premier étonné, et maintenant, je m’en étonne encore, c’est vrai, je ne suis pas romantique, je déteste ce mot, je déteste ce qu’il représente, une faiblesse, une gêne, un malaise, du faux semblant, pour que le romantisme ait un sens, il faut que l’histoire qui l’a mis au monde, et qu’il a lui-même perpétué, renforcé, perdure, pour toujours !
Je ne t’ai pas menti, mais j’ai changé, je ne suis plus ce que j’étais, même si j’ignore ce que j’étais, et j’ignore ce que je suis aujourd’hui, je suis certain d’une chose, quelque chose, en cours de route, s’est brisé… j’en suis là, à le constater, et à ramasser les éclats, je tente de reconstituer ce qui fut, sans savoir à quoi il ressemblait, je sais cependant, qu’à un moment, j’ai perdu ce qui m’animait, m’embrasait de l’intérieur, j’ai couru, j’ai cherché sur les visages de tout le monde, une réponse, à ce qui m’arrivait, pourquoi me suis mis à te détester, j’étais le témoin horrifié de ma propre métamorphose, un spectateur impuissant, même mes yeux je ne pouvais les fermer, ni me détourner de ce qui se passais en moi, le noir remplaçait petit à petit cette lueur douce émanant de la flamme de la passion, fruit de la passion, que j’avais pour toi, autrefois
Déteste moi, nous sommes deux à le faire, il faut me haïr, cela te préservera, ne te cherche pas de défauts, je suis une calamité, je t’ai soudoyé, et j’ai muté en cours de route, vers une monstruosité qui se délecte de tes larmes, de ta souffrance mais qui a la nausée en se maudissant
Hais moi te dis-je, pars loin d’ici, loin de moi, ce n’est pas si difficile de fuir l’horreur, plus vite tu me détesteras, mieux on se sentira, tu t’en sortiras, et de l’avant iras, quant à moi, le temps finira, peut être par me guérir en me poussant vers ses bras à elle, la seul que je ne risque pas de rejeter,
Je sais ce que tu te dis, il l’a promis, et n’a pas réussi, à tenir sa promesse, il disait être différent, mais au final, il est comme les autres, si ce n’est pire, les autres ne m’ont pas dit ce qu’il vient de me dire… et tu sais quoi, tu as tort ! Enfin, tu as raison, mais … m *rde ! tu as tort
Quand je te l’avais promis, j’étais sincère, ces paroles provenaient des profondeurs de mon âme, au point que j’ignorais d’où pouvaient venir autant de passion, j’étais le premier étonné, et maintenant, je m’en étonne encore, c’est vrai, je ne suis pas romantique, je déteste ce mot, je déteste ce qu’il représente, une faiblesse, une gêne, un malaise, du faux semblant, pour que le romantisme ait un sens, il faut que l’histoire qui l’a mis au monde, et qu’il a lui-même perpétué, renforcé, perdure, pour toujours !
Je ne t’ai pas menti, mais j’ai changé, je ne suis plus ce que j’étais, même si j’ignore ce que j’étais, et j’ignore ce que je suis aujourd’hui, je suis certain d’une chose, quelque chose, en cours de route, s’est brisé… j’en suis là, à le constater, et à ramasser les éclats, je tente de reconstituer ce qui fut, sans savoir à quoi il ressemblait, je sais cependant, qu’à un moment, j’ai perdu ce qui m’animait, m’embrasait de l’intérieur, j’ai couru, j’ai cherché sur les visages de tout le monde, une réponse, à ce qui m’arrivait, pourquoi me suis mis à te détester, j’étais le témoin horrifié de ma propre métamorphose, un spectateur impuissant, même mes yeux je ne pouvais les fermer, ni me détourner de ce qui se passais en moi, le noir remplaçait petit à petit cette lueur douce émanant de la flamme de la passion, fruit de la passion, que j’avais pour toi, autrefois
Déteste moi, nous sommes deux à le faire, il faut me haïr, cela te préservera, ne te cherche pas de défauts, je suis une calamité, je t’ai soudoyé, et j’ai muté en cours de route, vers une monstruosité qui se délecte de tes larmes, de ta souffrance mais qui a la nausée en se maudissant
Hais moi te dis-je, pars loin d’ici, loin de moi, ce n’est pas si difficile de fuir l’horreur, plus vite tu me détesteras, mieux on se sentira, tu t’en sortiras, et de l’avant iras, quant à moi, le temps finira, peut être par me guérir en me poussant vers ses bras à elle, la seul que je ne risque pas de rejeter,
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