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Le Maroc négocie une Ligne de précaution et de liquidités

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  • Le Maroc négocie une Ligne de précaution et de liquidités

    Une délégation du FMI en visite au Maroc
    Par :  |  Mots clés : Maroc, FMI
    French.china.org.cn | Mis à jour le 08-06-2016

    Le président de la Chambre des représentants marocaine, Rachid Talbi Alami, a reçu mardi à Rabat une délégation du Fonds Monétaire International (FMI), en visite au Maroc dans le cadre des concertations autour du renouvellement de l'accord au titre de la Ligne de Précaution et de Liquidité (LPL).

    Lors de cette rencontre, M. Talbi Alami a mis en avant l'importance de cette visite pour souligner les réformes profondes entreprises au Maroc notamment dans les domaines économique et financier, procéder à un échange de points de vue à ce propos et évoquer le rôle de l'institution législative, indique un communiqué de la Chambre des Représentants.

    Les discussions ont également porté sur la mise en application des textes relatifs à la régionalisation, relève le communiqué.

    La visite de la délégation du FMI, conduite par Nicolas Blancher, conseiller au département Moyen-Orient-Asie Centrale, est en visite de travail au Maroc du 31 mai au 8 juin. Pendant son séjour au Maroc, elle avait eu une série d'entretiens avec des responsables, des acteurs économiques et financiers et de la société civile. F

    Source: Agence de presse Xinhua

  • #2
    la LPL équivaut à une mise sous tutelle du gouvernement Marocain et une série de "douloureuses recommandations" à exécuter.

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    • #3
      Prions en ce jour sacré du ramadan pour que le FMI nous renouvelle l'accord au titre de la Ligne de Précaution et de Liquidité. Amin.

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      • #4
        La LPL est une sorte "d'assurance" mise à la disposition du gouvernement avec un taux d’intérêt faible pour couvrir les risques éventuels ,ce n'est pas un prêt

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        • #5
          Tu es naif Haddou. En contrepartie, le Maroc se mettra à genoux et exécutera les injonctions du FMI.

          Il a suffit d'une sécheresse pour que la situation se détériore et les propos d'il y a cinq mois ... récusés

          LIGNE DE PRÉCAUTION ET DE LIQUIDITÉ : LE MAROC N’A PLUS BESOIN DE «POLICE D’ASSURANCE»
          Imprimer E-mail
          Écrit par Aboubacar Yacouba BARMA 14 janvier 2016

          Avec la décision de ne plus recourir à une troisième Ligne de précaution et de liquidité (LPL) du FMI, le gouvernement confirme la sortie de l’économie nationale de la zone rouge. Désormais, et en dépit de la persistance des risques exogènes, le gouvernement dispose d'une plus grande marge de manœuvre pour atténuer l’impact d’éventuels chocs exogènes.

          C’est un signe, s’il le fallait, que l’économie marocaine est sortie du cycle alarmant dans lequel elle était plongée notamment en 2012. Le gouvernement a donc finalement décidé de ne plus recourir à une troisième Ligne de précaution et de liquidité (LPL) du FMI, comme l’a confirmé aux ÉCO le ministre des Affaires générales et de la gouvernance, Mohamed El Ouafa. Il faut dire que cette décision était depuis quelques temps sur la table du gouvernement, à en croire le ministre de l’Économie et des finances, Mohamed Boussaid, qui avait laissé entendre que la situation économique du pays s’est nettement améliorée par rapport à son état de 2012 et même de 2014, année où une deuxième ligne a été accordée au Maroc, et qui arrive à expiration en juin prochain.

          Le Maroc avait, donc le choix entre la fin de la LPL ou une reconduction avec un montant moindre, et c’est finalement la première option qui a été privilégiée. La décision du gouvernement s'explique donc par l’amélioration de la situation économique du pays ainsi que les perspectives pour les prochaines années. L’état des indicateurs macroéconomiques témoignent à eux seuls du bon comportement de la dynamique économique du pays, qui n’est que le fruit des réformes menées ces dernières années par le gouvernement sous couvert de la LPL. Du reste, dans sa dernière note d’évaluation, publiée en décembre dernier, le Conseil d’administration de l’institution financière internationale a tressé des lauriers au Maroc, suite notamment à la mise en œuvre de certaines réformes jugées prioritaires comme celles des subventions publiques ou de la fiscalité.

          À en croire les dernières notes d’évaluation de l’économie marocaine, le pays est en phase avec les critères de convergence décidés d’un commun accord en 2012 en vue de l’octroi de la LPL. Il est vrai que certaines mesures restent à concrétiser, comme celle des retraites ou de la fonction publique. Cependant, dans l’ensemble, le Maroc est dans les temps, surtout qu’il reste quelques mois avant la fin de la 2e LPL, d’un montant de 5 MMDH, octroyée en juillet 2014. De toute manière, le gouvernement s’est engagé à maintenir la dynamique de réformes, comme l’atteste du reste le début de la mise en œuvre progressive de la réforme des retraites.

          Vers la fin de la tutelle
          Avec la fin de la LPL, le gouvernement retrouve une plus grande marge de manœuvre pour poursuivre la mise en œuvre de son programme, même s’il ne reste pas beaucoup de temps avant la fin de l’actuel mandat. C’est, en effet, l’une des critiques formulées régulièrement par certains économistes suite au recours au FMI et qui a été vu, en 2012, comme un nouveau Programme d’ajustement structurel (PAS). À l’époque pourtant, le pays n’avait pas beaucoup le choix. La situation, on le rappelle, était si alarmante que le gouvernement a dû recourir à une Ligne de précaution et de liquidité (LPL), sorte de police d’assurance mise en place par le FMI dont le ue était de servir de police d’assurance pour atténuer l’impact d’éventuels chocs exogènes.

          En contrepartie, le gouvernement devrait mener des réformes destinées à assainir ses équilibres macroéconomiques sur la base d’un certains nombre d’objectifs, et dont la mise en œuvre était soumise à l’évaluation régulière des experts du FMI. C’est sous la surveillance des experts de l’institution de Bretton Woods que le gouvernement a pu mettre en œuvre certaines réformes ayant permis de rééquilibrer les indicateurs macroéconomiques du pays. L’un des aspects les plus marquants, qui sera certainement mis en avant lors de l’évaluation finale du programme conjoint FMI-Maroc, c’est que le pays n’a pas, jusqu’à présent, eu besoin de recourir à cette couverture. Toutefois, comme police d’assurance, les primes, dont le montant reste confidentiel, ont dû être payées.

          Cependant, au-delà de la couverture d’éventuels risques exogènes, la LPL a été véritablement utile au Maroc lorsque le gouvernement a dû recourir, deux fois en l’espace d’une année (entre 2012 et 2013), au marché international pour stabiliser la dégradation de ses déficits. Avec des réserves de change qui vont au-delà de 7 mois, une réduction sensible des déficits jumeaux et une nouvelle dynamique économique, la décision de ne plus recourir à la LPL semble donc logique. La tendance confortée par les différentes notations du pays, qui s’appuient sur les perspectives économiques du Maroc, permettent au pays de tenir et d’atténuer l’impact de certains risques qui s’éloignent de plus en plus, à l'instar de la dégradation de la situation économique en zone euro. Il reste que le gouvernement devrait continuer à veiller à poursuivre les réformes sans la surveillance du FMI. L’un des risques majeurs pour l’économie, en cette année électorale, justement mis en avant par l’institution de Washington, c’est que le contexte politique prenne en otage la poursuite des objectifs visés par les autorités dans le cadre de la réforme structurelle de l’économie marocaine, en vue d'une croissance inclusive, durable et créatrice d’emplois. Le gouvernement sera bientôt seul aux commandes, serait-t-on tenté de dire…

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          • #6
            Tu es naif Haddou. En contrepartie, le Maroc se mettra à genoux et exécutera les injonctions du FMI.
            Mème sans le FMI le Maroc devrait assainir ses finances publiques pour se financer à l'international avec des taux corrects

            le coût de cette mise à disposition est de 1,75% environ dans les années passées
            Dernière modification par haddou, 07 juin 2016, 20h14.

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            • #7
              la peur du FMI est une bonne chose

              sa oblige a faire attention est faire ce qu'il faut avant ...

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              • #8
                «La LPL est destinée aux pays dont les paramètres économiques fondamentaux sont sains et la politique économique est bien conçue».FMI.

                Mais ce qui est rigolo c'est lorsque ça vient de quelqu'un dont le pays s’apprête à cause de l'effondrement du prix du baril à se donner pieds et poings liés et à très moyen terme (2017) aux instances financières internationales après le flop de l'emprunt obligataire ..

                Bizarre cette attitude d’être dans la mouise jusqu'au cou et de focaliser sur le voisin !!
                Dernière modification par Serpico, 08 juin 2016, 19h25.

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                • #9
                  Le maroc est deja sous l'emprise du FMI suite deja a » d’une Ligne de précaution et de liquidité (LPL) de 6,2 milliards de dollars en 2012 et qui a occasionné une serie de reformes imposé au Maroc:
                  -Le démantèlement du système de subvention des produits alimentaires et pétroliers (Caisse de compensation) et son remplacement par des aides directes
                  -La réforme des caisses des retraites. Dans le pipe le passage d’une retraite à 65 ans, la hausse des cotisations des salariés, etc.
                  -Le rétablissement des équilibres macro-économiques, chers au FMI. Contenir l’inflation, réduire le déficit à moins 3% d’ici 2016.
                  -En 2013, le gouvernement n’allait pas atteindre les objectifs fixés par le FMI concernant le niveau de déficit budgétaire. Il décide une coupe de 15 milliards de DH dans le budget d’investissement.
                  A. Hausse de la TVA sur des produits de base comme suit :

                  14 à 20% sur le beurre, les huiles de tables et le thé
                  10 à 20% sur le sucre marin, le riz, le sel et les tarifs des bains maures
                  7 à 10% sur le sucre raffiné, les conserves de sardines, les pâtes alimentaires, le matériel agricole, les aliments de bétail, les tarifs de restaurants, les transports de voyageurs et de marchandises

                  Austérité et ajustement au Maroc. Le gouvernement garde la « Ligne » du FMI et le citoyen paie le prix
                  12 mai 2014 par Salaheddine Lemaizi
                  printer printer text

                  Le Maroc a fait appel au Fond monétaire international (FMI) en août 2012 pour « bénéficier » d’une Ligne de précaution et de liquidité (LPL) de 6,2 milliards de dollars |1|. Depuis des mois, la reconduite de cette Ligne est présentée comme « un signe de confiance » de la part de l’institution de Bretton Woods à l’égard du gouvernement |2|. En réalité, l’Exécutif obtient cette confirmation suite à ses politiques d’austérité appliquées depuis octobre 2012. Ces mesures sont le prolongement du Programme d’ajustement structurel, le citoyen marocain paie le prix fort de cette énième cure d’austérité.

                  Ce texte aborde cette question en trois temps. D’abord, une brève présentation de la LPL. Ensuite, les mesures appliquées par le gouvernement pour se conformer aux exigences du FMI. En troisième lieu, les premières conséquences de ces mesures.

                  Toutes les routes mènent à l’austérité

                  Que la relation avec le FMI se fasse dans le cadre de la LPL, de la Ligne de crédit modulable ou de tout autre instrument de financement, cette institution recommandera les mêmes politiques. La LPL, réservée aux « bons élèves », n’est qu’un moyen pour prolonger un « ajustement ». Cette Ligne vise à « répondre avec plus de souplesse aux besoins de liquidité des pays dont l’économie est foncièrement solide et qui ont fait leurs preuves en appliquant une politique économique avisée, mais qui restent exposés à certains facteurs de vulnérabilité ». |3|

                  La LPL est d’une durée de 24 mois et prend fin en août 2014. A contrario de ce qu’affirmaient le ministre des Finances et le gouverneur de la Banque centrale, cette ligne est conditionnée |4|. En plus du Maroc, la Jordanie, la Macédoine et la Tunisie « bénéficient » de cet instrument. Le coût est présenté comme « peu coûteux ». Le taux d’intérêt variable, lié au taux de base du DTS, est actuellement de 1,13%. A cela s’ajoute une commission de 0,5% sur chaque tirage.

                  Au final, quel que soit l’instrument, le résultat est le même : l’économie marocaine est sous la tutelle de cette institution, ou du moins de ses directives |5|. La LPL est également un piège pour le gouvernement. Comme l’explique Najib Akesbi, « le dispositif de « conditionnalité » est désormais à deux étages, car la mise à disposition de la LPL ne signifie nullement que le gouvernement peut l’utiliser quand il veut et comme il veut. Le jour où il aura besoin de l’utiliser, le FMI exigera évidemment une autre batterie de conditions pour autoriser le déblocage des fonds, et c’est cela le deuxième étage » |6|.

                  Résultat des courses : chaque six mois, le staff du FMI débarque pour contrôler les finances publiques. Le FMI arrive avec sa valise de réformes déjà prête à l’emploi.

                  Les « bénéfices » du partenariat de Deauville

                  À partir de la fin de 2012 et malgré le discours rassurant des officiels marocains, le pays s’enfonce dans un programme d’ajustement en trompe-l’œil |7|. Dans cette partie, une revue des mesures appliquées ou en cours d’application par le gouvernement dans le cadre de son accord conditionné avec le FMI.

                  Avant de décliner ce programme d’austérité, il est utile de faire deux remarques. Primo, les mesures appliquées au Maroc sont identiques à celles en cours d’application en Tunisie jusqu’au Yémen, en passant par l’Egypte, le Soudan et la Jordanie. Ces pays « bénéficient » du Partenariat de Deauville, du nom de la réunion du G8 tenue en mai 2011, suite au Printemps des peuples. Ceci montre le dogmatisme du FMI, qui n’hésite pas à appliquer les mêmes réformes à des pays au contexte économique et social très différent.

                  Deuxio, nous sommes bien face à une stratégie de choc, spécialement en Egypte. Pousser les gouvernements à faire passer des réformes douloureuses socialement en cette période de perturbation est bien une stratégie de choc de la part du FMI. Voici les grandes lignes de cette stratégie appliquée au Maroc :

                  Le démantèlement du système de subvention des produits alimentaires et pétroliers (Caisse de compensation) et son remplacement par des aides directes. Cette vieille exigence du FMI est de nouveau au menu du gouvernement. Études et scénarios sont élaborés par la Banque mondiale pour passer à la « vitesse supérieure ». Rappelons que le démantèlement d’une partie de ce système était à l’origine des révoltes populaires de 1981 au Maroc. Ce type de mesures a donné lieu récemment à des émeutes au Yémen, au Soudan et en Jordanie |8|.
                  Le premier pas de cette décompensation est l’application en 2013 du système d’indexation « partielle » des prix des carburants, devenue en 2014 indexation quasi-totale !
                  L’adoption d’une Loi organique des finances (LOF). Ce texte instaurera une stricte discipline budgétaire. Un principe déjà présent dans la Constitution (article 66). Le projet de LOF, en hibernation depuis des années dans le circuit législatif, a été relancé. Ce projet est en discussion à la première chambre du parlement.
                  La réforme des caisses des retraites. Dans le pipe le passage d’une retraite à 65 ans, la hausse des cotisations des salariés, etc. D’ailleurs, la Cour des comptes a réalisé un rapport sur la réforme du système des retraites, avec les scénarios catastrophiques |9|.
                  Le rétablissement des équilibres macro-économiques, chers au FMI. Contenir l’inflation, réduire le déficit à moins 3% d’ici 2016.
                  Un menu marocain made in FMI

                  Soucieux de « donner des signes de confiance aux marchés », le gouvernement n’a pas tardé à mettre en œuvre ce programme. Et qu’importe le prix !

                  Première mesure : le gouvernement décide à deux reprises des hausses du prix de l’essence et du gasoil en juin 2012 puis en septembre 2013. Cette décision cause automatiquement la hausse des prix des produits alimentaires et des transports (taxis et transport périurbain).

                  En 2013, le gouvernement n’allait pas atteindre les objectifs fixés par le FMI concernant le niveau de déficit budgétaire. Il décide une coupe de 15 milliards de DH dans le budget d’investissement |10|. Cette mesure d’austérité a eu un impact réel sur la commande publique. Depuis, les ménages et les patrons s’inquiètent de la situation économique. Pourtant, les mesures alternatives ne manquent pas. L’Exécutif pouvait, par exemple, décider d’un moratoire sur le remboursement de la dette interne ou externe prévue en 2013 jusqu’à la réalisation d’un audit de la dette publique. Une rubrique qui a absorbé 105,8 milliards de DH en 2012. Proposition blasphématoire ! Les « marchés » et leur gendarme, le FMI, nous surveillent…

                  Une autre proposition alternative, celle de supprimer les dépenses fiscales, c’est-à-dire les cadeaux fiscaux donnés aux sociétés privées et qui ont atteint 36 milliards de DH. Un blasphème supplémentaire à l’égard des « marchés » et du patronat !

                  Troisième mesure d’austérité, la restauration du système d’indexation des prix du gasoil, de l’essence super et du fioul industriel sur les fluctuations des cours mondiaux de ces produits. Ce système appliqué entre 1995 et 2000 a été réactivé en août 2013. Il permet à l’Etat de plafonner la subvention annuelle consacrée à la compensation des prix de ces produits. Toute hausse est supportée par le consommateur. Cette mesure a été annoncée comme ’partielle’ et ’limitée’. L’année en cours montre tout le contraire. Elle est désormais permanente. L’indexation est une étape dans le démantèlement de la Caisse de compensation.

                  Cette décision a été critiquée au sein même de l’Etat. Le Haut commissariat au plan (HCP), établissement public chargé des statistiques, estime que « la réduction de la compensation des prix des produits pétroliers améliorerait le solde budgétaire de l’État mais se traduirait par une hausse des prix intérieurs et une baisse de la demande intérieure. Par conséquent, une baisse du produit intérieur brut (PIB) est à prévoir » |11|.

                  Austère Loi de finance

                  Toujours pour honorer ses engagements à l’égard du FMI, le gouvernement élabore une Loi de finance (LF) 2014 d’austérité. A contrario avec son discours populiste, le Chef de gouvernement n’hésite pas à faire supporter aux ménages le prix de la crise chronique de l’économique marocaine.

                  A. Hausse de la TVA sur des produits de base comme suit :

                  14 à 20% sur le beurre, les huiles de tables et le thé
                  10 à 20% sur le sucre marin, le riz, le sel et les tarifs des bains maures
                  7 à 10% sur le sucre raffiné, les conserves de sardines, les pâtes alimentaires, le matériel agricole, les aliments de bétail, les tarifs de restaurants, les transports de voyageurs et de marchandises

                  B. Réduction des postes budgétaires de 30%
                  Les postes budgétaires sont en baisse de 6000 postes par rapport à l’année précédente. Au même moment, les besoins sont énormes dans les secteurs sociaux. Cette tendance de la réduction de l’embauche publique s’est accrue depuis trois ans. En 2012, le secteur public crée 26 200 emplois. En 2013, 24 960 emplois et en 2014, à peine 18 000.

                  C. Baisse de 16% du budget d’investissement public
                  Après la coupe anarchique de 15 MMDH en mai 2013, l’Exécutif continue de sabrer dans le budget d’investissement. Il réduit cette rubrique de 16%. Ainsi, ce budget passe de 58,9 à 49,5 MMDH.

                  Ce qui est préoccupant ce n'est pas la demande,mais les contrepartie que le FMI va demander.
                  Il faut être naïf pour croire les flatteries qui consiste a dire: "les pays qui mènent de bonnes politiques économiques".
                  L’Algérie n’échappera pas a ces reformes.

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                  • #10
                    Pas mieux annabi ☺
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      Le contrôle du FMI permet d'éviter des dérives budgétaires comme des pays où des centaines de milliards de dollars ont été soit détournés, soit gaspillés (probablement les 2) et où l'on subventionne bêtement des produits à perte, pour s'etonner ensuite du traffic qui s'en suit...sans compter un fonds de réserve de change dont le montant est connu avec une marge de 200 milliards de dollars d'erreur...

                      En plus, il n'est pas nécessaire d'être sous le contrôle du FMI pour être complètement sous tutelle des pays étrangers qui donnent leur bénédiction à un chef d'état mafieux pour rempiler pour un quatrième mandat, désignent son successeur, ordonnent le démantèlement des services de renseignement de ce pays...décident de fouiller et humilier ses ministres pour les remettre à sa place, et se permettent de se moquer d'eux à domicile et devant les caméras du monde entier...

                      oeilfermé

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