MILAN/LONDRES/PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé en hausse mardi, soutenues par des cours du pétrole au plus haut depuis huit mois et par les déclarations de Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale américaine, qui ont conduit les investisseurs à repousser leurs anticipations de hausse des taux sans pour autant raviver les inquiétudes sur l'économie américaine.
À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain de 1,19% (+52,48 points) à 4.475,86 points. Le Footsie britannique a pris 0,1% et le Dax allemand 1,64%, tandis que l'indice EuroStoxx 50 s'adjugeait 1,29% et le FTSEurofirst 300 1,14%.
Au moment de la clôture en Europe, Wall Street évoluait elle aussi dans le vert, le S&P-500 gagnant 0,41%, à moins de 1% de son plus haut historique. Le Dow Jones (+0,45%) a quant à lui repassé le seuil des 18.000 points pour la première fois depuis le 28 avril.
"Les investisseurs continuent de voir le verre à moitié plein", résume Alessandro Balsotti, gérant de JCI. "Une bonne séance pour les cours du pétrole et un discours équilibré de Janet Yellen ont permis aux indices d'ignorer les craintes d'un ralentissement du cycle économique aux Etats-Unis."
En faisant baisser le dollar, qui évolue non loin de plus bas de quatre semaines face à un panier de référence et de trois semaines face à l'euro à 1,1350, le discours de la présidente de la Fed a permis au prix du Brent et à celui du brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) d'atteindre leur plus haut niveau de l'année, à 51,30 dollars le baril pour le premier et 50,37 dollars pour le deuxième.
Sur les marchés actions, les valeurs liées au pétrole en ont logiquement profité, l'indice européen Stoxx de l'énergie prenant 2,64%. A Paris, Total a gagné 3,06%.
Le climat général a également profité à plein à l'automobile (+2,04%) et aux banques (+1,3%).
Sur le marché obligataire, le fait marquant du jour a été le nouveau plus bas record du rendement à 10 ans allemand, à 0,048% selon les données Tradeweb, les risques politiques en Europe et la poursuite des achats de titres de la BCE favorisant les emprunts d'Etat.
(Danilo Masoni et Atul Prakash; Marc Angrand pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)
À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain de 1,19% (+52,48 points) à 4.475,86 points. Le Footsie britannique a pris 0,1% et le Dax allemand 1,64%, tandis que l'indice EuroStoxx 50 s'adjugeait 1,29% et le FTSEurofirst 300 1,14%.
Au moment de la clôture en Europe, Wall Street évoluait elle aussi dans le vert, le S&P-500 gagnant 0,41%, à moins de 1% de son plus haut historique. Le Dow Jones (+0,45%) a quant à lui repassé le seuil des 18.000 points pour la première fois depuis le 28 avril.
"Les investisseurs continuent de voir le verre à moitié plein", résume Alessandro Balsotti, gérant de JCI. "Une bonne séance pour les cours du pétrole et un discours équilibré de Janet Yellen ont permis aux indices d'ignorer les craintes d'un ralentissement du cycle économique aux Etats-Unis."
En faisant baisser le dollar, qui évolue non loin de plus bas de quatre semaines face à un panier de référence et de trois semaines face à l'euro à 1,1350, le discours de la présidente de la Fed a permis au prix du Brent et à celui du brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) d'atteindre leur plus haut niveau de l'année, à 51,30 dollars le baril pour le premier et 50,37 dollars pour le deuxième.
Sur les marchés actions, les valeurs liées au pétrole en ont logiquement profité, l'indice européen Stoxx de l'énergie prenant 2,64%. A Paris, Total a gagné 3,06%.
Le climat général a également profité à plein à l'automobile (+2,04%) et aux banques (+1,3%).
Sur le marché obligataire, le fait marquant du jour a été le nouveau plus bas record du rendement à 10 ans allemand, à 0,048% selon les données Tradeweb, les risques politiques en Europe et la poursuite des achats de titres de la BCE favorisant les emprunts d'Etat.
(Danilo Masoni et Atul Prakash; Marc Angrand pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)
Commentaire