Annonce

Réduire
Aucune annonce.

MAROC:Quand Adil Douiri défend la SNI

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • MAROC:Quand Adil Douiri défend la SNI

    Le président de l’Alliance des économistes istiqlaliens, Adil Douiri, a défendu bec et ongle le groupe royale SNI face au documentaire « Roi du Maroc, le règne secret ». Il explique à Telquel.ma cette sortie médiatique.

    Après la sortie médiatique de plusieurs personnalités au Maroc en réaction à l’émission de France 3, « Roi du Maroc, le règne secret », Adil Douri, président de l’Alliance des économistes des istiqlaliens a choisi, pour sa part, le quotidien L’Économiste pour s’exprimer à ce sujet. Dans une tribune publiée dans les colonnes du journal, le 6 juin, il pointe du doigt ce qu’il considère « des contre-vérités » du reportage sur la plan économique et financier pour lesquelles il a souhaité « rétablir la réalité des faits ». Contacté par Telquel.ma, Adil Douiri nous déclare qu’il a souhaité défendre l’image du Maroc. « On est des patriotes au sein du parti de l’Istiqlal. On adore notre pays et notre roi. Tout ce qu’on dit on le croit sincèrement », a-t-il ajouté. Et sur le fait qu’il s’agit d’une première en ce qui concerne la sortie médiatique de l’Alliance des économistes istiqlaliens pour réagir à une émission, le patron du Mutandis répond : « Je n’ai pas vu de pareils documentaires récemment qui méritent que l’on s’exprime dessus ».


    Le président de l’Alliance des économistes istiqlaliens, Adil Douiri, a défendu bec et ongle le groupe royale SNI face au documentaire « Roi du Maroc, le règne secret ». Il explique à Telquel.ma cette sortie médiatique.

    Après la sortie médiatique de plusieurs personnalités au Maroc en réaction à l’émission de France 3, « Roi du Maroc, le règne secret », Adil Douri, président de l’Alliance des économistes des istiqlaliens a choisi, pour sa part, le quotidien L’Économiste pour s’exprimer à ce sujet. Dans une tribune publiée dans les colonnes du journal, le 6 juin, il pointe du doigt ce qu’il considère « des contre-vérités » du reportage sur la plan économique et financier pour lesquelles il a souhaité « rétablir la réalité des faits ». Contacté par Telquel.ma, Adil Douiri nous déclare qu’il a souhaité défendre l’image du Maroc. « On est des patriotes au sein du parti de l’Istiqlal. On adore notre pays et notre roi. Tout ce qu’on dit on le croit sincèrement », a-t-il ajouté. Et sur le fait qu’il s’agit d’une première en ce qui concerne la sortie médiatique de l’Alliance des économistes istiqlaliens pour réagir à une émission, le patron du Mutandis répond : « Je n’ai pas vu de pareils documentaires récemment qui méritent que l’on s’exprime dessus ».


    Douiri condamne l’imbroglio des chiffres

    « Le reportage présente la SNI comme un ogre au plan économique, un monstre représentant 6% du Produit intérieur brut (PIB) de l’économie marocaine. La réalité est la suivante: 36% de la SNI appartient aux petits épargnants marocains », soutient Douiri dans sa tribune. Pour le président de l’Alliance des économistes istiqlaliens, l’actionnariat de la SNI compte, pour une partie, des héritiers de feu Mohammed V et de feu Hassan II. « À leurs côtés, pour environ 36% du capital, sont également actionnaires un certain nombre d’investisseurs institutionnels que sont les compagnies d’assurances et les caisses de retraite, dont le rôle est de collecter et de gérer l’épargne de nos concitoyens », précise-t-il.



    Le poids économique de la SNI est de 1,3% seulement du PIB

    Alors que le reportage présente le poids économique de la SNI comme étant de 6% du PIB, Adil Douiri, lui, estime que ce chiffre n’est que de 1,3% seulement. Au Maroc, le PIB a atteint, en chiffres ronds, 1.000 milliards de dirhams. Si l’on doit rapporter la valeur ajoutée consolidée globale du groupe SNI au PIB marocain, on trouve environ 1,3%. Le P-DG du Mutandis souligne également que le chiffre d’affaires de la SNI est de 33 milliards de dirhams (et non pas le chiffre de 60 milliards de dirhams avancé dans le reportage) et d’environ 8 milliards de valeur ajoutée pour l’année 2015.

    Tel Quel

  • #2
    À qui mieux mieux

    La nouba des leche-babouches bat son plein.

    Commentaire


    • #3
      MAROC:Quand Adil Douiri défend la SNI

      il fait partie du cercle de ceux qui en profitent au max, les satellites de la monarchie entre outre, ils se goinfrent à mort et font leur chita pour encore plus se goinfrer...

      c'est un roi prédateur voleur et qui utilise ce système à la con pour ses propres intérêts, le plus grand conflit d’intérêts jamais vu sur terre est au Maroc, et y en a qui ose le défendre....

      Commentaire


      • #4
        Je n'est rien vu dans son intervention (du moins dans cette article) d’éléments contradictoires (ou de la chiata), le gars corrige des incohérences ou pour dire vrai des informations falsifiées par les réalisateurs du documentaire et qui peuvent conduire à des fausses conclusions.

        Commentaire


        • #5
          il fait partie du cercle de ceux qui en profitent au max, les satellites de la monarchie entre outre, ils se goinfrent à mort et font leur chita pour encore plus se goinfrer...

          c'est un roi prédateur voleur et qui utilise ce système à la con pour ses propres intérêts, le plus grand conflit d’intérêts jamais vu sur terre est au Maroc, et y en a qui ose le défendre....
          facts

          10 groupe marocain don't la SNI payent 26% des taxes recolter au maroc.

          avec la pression de overlocker and co au temp du 20 fifi vous aviez gagner et vous avez obliger le groupe marocain SNI de vendre la central laitiere a danone et l'huile a un autre groupe francais ......

          j'espere que vous etes content qu'avec votre militarism payer par les ex colons vous etes content que ces groups ne sont plus marocain et sont francais grace a vous.

          Commentaire


          • #6
            10 groupe marocain don't la SNI payent 26% des taxes recolter au maroc.

            en s'adjugeant des marchés de l'état entre eux...faux pas trop se mentir...

            avec la pression de overlocker and co au temp du 20 fifi vous aviez gagner et vous avez obliger le groupe marocain SNI de vendre la central laitiere a danone et l'huile a un autre groupe francais ......
            tu parles, il a vu que c'était plus rentable, croissance mole, et que c'était mieux de mettre son argent cash et frais dans des projets que lui même a initié, Noor 1 2 3 4 pour ne citer que ca..

            j'espere que vous etes content qu'avec votre militarism payer par les ex colons vous etes content que ces groups ne sont plus marocain et sont francais.
            la question la plus importante c'est : comment il est a eu au début??

            Commentaire


            • #7
              overlocker je sais que tu es pour le model des autres pays arabe voire africain qui investissent a l'etranger, et c'est vrais que c'est plus securiser mais heureusement pour les marocains ils ont un leader qui investit dans son pays et qui donne l'exemple au autre pour faire de meme.

              overlocker il y a pas plus facille que tous vendre et mettre ton argent dans des action de tesla, uber ....... et qui te garantira que tu seras au minimum 10 fois plus riches que si tu laisse ton argent dans la central laitiere and co

              et c'est ce qui fait la difference entre hicham et Mohamed.

              Commentaire


              • #8
                overlocker je sais que tu es pour le model des autres pays arabe voire africain qui investissent a l'etranger, et c'est vrais que c'est plus securiser mais heureusement pour les marocains ils ont un leader qui investit dans son pays et qui donne l'exemple au autre pour faire de meme.

                overlocker il y a pas plus facille que tous vendre et mettre ton argent dans des action de tesla, uber ....... et qui te garantira que tu seras au minimum 10 fois plus riches que si tu laisse ton argent dans la central laitiere and co

                et c'est ce qui fait la difference entre hicham et Mohamed.
                tu ne sais rien du tout, surtout de là ou tu es..

                et jusqu'au jour d’aujourd’hui"hui, je n'ai rien recu de gratuit ni d'attijari wafabank ni de inwi ni de marjane et encore moins de nareva etc etc..

                qu'il fasse du business, c'est son truc, mais la facon de se faire passer des marché parce qu'il est le roi, là je suis contre, et je m'en fou de ce que tu penses de moi, je ne derbek pas en tout cas,

                Commentaire


                • #9
                  Adil douiri est l'un des seuls politiques istiqlaliens à qui je laisse un petit bénéfice du doute lorsqu'il s'exprime sur un sujet quelconque ; c'est un gars compétent et qui était déjà assez riche avant de être nommé ministre du tourisme ou il a fait de l'excellent boulot ; certains disent même que son éviction des cercles politiques ( cette alliance des économiste istiqlaliens est plus une voie de garage qu'autre chose ) est due fait qu'il n'a jamais voulut baigner dans une quelconque magouille pendant toute la période où il dirigeait le ministère du tourisme et de l'artisanat. ....
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                  Commentaire


                  • #10
                    Emission France 3 «Roi du Maroc, le règne secret» Réaction de l’Alliance des économistes istiqlaliens

                    La chaîne de télévision française France 3 a diffusé le jeudi 26 mai dernier un reportage intitulé «Roi du Maroc, le règne secret».
                    D’un niveau général très faible, le reportage présentait un certain nombre de contre-vérités au plan économique et financier, pour lesquelles l’Alliance des économistes istiqlaliens a souhaité rétablir la réalité des faits.

                    1- Au plan des chiffres
                    Le reportage présente la SNI comme un ogre au plan économique, un monstrereprésentant 6% du Produit intérieur brut (PIB) de l’économie marocaine.

                    La réalité est la suivante:
                    36% de la SNI appartient aux petits épargnants marocains
                    - La SNI est le successeur de l’ONA et c’est donc la holding de tête d’un groupe
                    industriel et financier. L’actionnariat de la SNI compte, pour une partie, des héritiers de feu S.M. Mohammed V et de feu S.M. Hassan II. A leurs côtés, pour environ 36% du capital, sont également actionnaires un certain nombre d’investisseurs institutionnels que sont les compagnies d’assurances et les caisses de retraite, dont le rôle est de collecter et de gérer l’épargne de nos concitoyens. Une partie importante du capital de la SNI appartient donc à un grand nombre de salariés cotisant à des caisses de retraite ou à de l’assurance vie. Son actionnariat est largement populaire même si elle n’est plus cotée en bourse.

                    Le poids économique de la SNI représente 1,3% du PIB marocain
                    - La SNI publie ses comptes en toute transparence. Ses comptes consolidés, c’est-à-dire la somme des comptes de toutes les entreprises faisant partie du groupe, montrent un chiffre d’affaires d’environ 33 milliards de DH (et non pas le chiffre de 60 milliards de DH avancé dans le reportage) et d’environ 8 milliards de valeur ajoutée pour l’année 2015.
                    Pour évaluer de manière exhaustive l’empreinte économique du groupe, il convient de rajouter environ 40% de la valeur ajoutée de la banque Attijariwafa bank, non consolidée intégralement dans les comptes de la SNI. Au total, la valeur ajoutée globale consolidée du groupe SNI y compris sa participation dans Attijariwafa bank ressort à environ 13 milliards de DH.
                    - Le Produit intérieur brut d’un pays est plus ou moins équivalent à la somme des valeurs ajoutées réalisées sur le territoire de ce pays par les différents agents économiques qui produisent (en gros les entreprises publiques ou privées). La valeur ajoutée d’une entreprise est ce qu’elle produit, diminué de la somme de toutes ses consommations.
                    C’est en quelque sorte sa marge avant de payer les salaires et les impôts et taxes. Au Maroc, le PIB a atteint, en chiffres ronds, 1.000 milliards de DH. Si l’on doit rapporter la valeur ajoutée consolidée globale du groupe SNI au PIB marocain, on trouve environ 1,3%, et non pas le chiffre de 6% brandi dans le reportage.

                    2- Au plan du rôle de la SNI
                    - Depuis plusieurs années, la SNI est un réel vecteur de développement du tissu d’acteurs économiques marocains. L’un des principaux objectifs du développement économique est la création du plus grand nombre possible d’entreprises d’une certaine taille, à même d’être solides et pérennes, à même d’exporter en dehors du Maroc et à même de s’implanter en dehors du Maroc pour étendre la zone d’influence de l’économie marocaine.
                    La SNI a choisi de jouer le rôle de développeur d’entreprises, en créant des entreprises puis en les portant à une taille suffisante pour qu’elles puissent voler de leurs propres ailes, à l’échelle du continent africain. L’exercice est fait dans la plus parfaite transparence et avec une gouvernance et une organisation interne que les observateurs économiques expérimentés jugent aux meilleurs standards internationaux.
                    - Ainsi, au cours des 4 dernières années, SNI a vendu ses parts dans plusieurs entreprises matures: Lesieur (huile), dans Centrale Laitière (lait et dérivés), dans Cosumar (sucre), ou encore dans Bimo (biscuits). Ce sont toutes là des entreprises industrielles de produits de grande consommation ayant la taille critique nécessaire pour être pérennes, exporter ou construire une influence régionale.
                    A chaque fois que cela a été possible, SNI a cherché à vendre aux épargnants marocains (par la bourse), aux gestionnaires d’épargne marocaine (caisses de retraite et compagnies d’assurances) et à un opérateur technique international. Ces ventes ont fait entrer plusieurs milliards de DH en devises dans les réserves de change de l’économie marocaine, apportés par Danone, Sofiprotéol, Kraft Foods ou encore Wilmar.
                    - Les entreprises en développement et donc encore actuellement dans le portefeuille du groupe SNI se trouvent notamment dans les secteurs de la finance (Attijariwafa bank), de la mine (Managem), de la grande distribution (Marjane), des télécoms (Inwi) et des énergies renouvelables (Nareva). Il s’agit là des entreprises dont le groupe SNI possède la majorité du capital et qu’il contrôle.
                    Attijariwafa bank est pour toute l’économie marocaine un instrument stratégique de conquête de l’Afrique; elle continue d’étendre notre empreinte nationale dans les différentes sous-régions du continent africain et de permettre à tous les acteurs économiques marocains d’y aller à leur tour.
                    Peu de groupes privés marocains ont le savoir-faire technique, le courage et la patience capitalistique pour mener des explorations minières un peu partout en Afrique. En partant du Maroc, et après 50 ans de savoir-faire accumulé, Managem a désormais la capacité à commencer à explorer dans plusieurs pays d’Afrique. Activité risquée, volatile, imprévisible, nécessitant capitaux, technicité et approche long-termiste, Managem n’aurait pu être portée là où elle est que par très peu de groupes privés nationaux. Inwi a été une source de pertes financières considérables pour le groupe SNI et ce plusieurs années durant. Arriver en tant que 3e opérateur dans un marché télécom d’un pays de taille relativement modeste comme le Maroc n’est pas une sinécure; la rentabilité financière de l’activité l’a malheureusement illustré. Le consommateur marocain est celui qui a réellement profité de la création d’Inwi (à partir de zéro, ce qui est d’autant plus méritoire) puisque cet opérateur a contribué fortement à renforcer la concurrence et à écraser rapidement les prix.
                    Nareva est un remarquable projet selon nous, visant à construire (en partant de zéro encore une fois) un opérateur de demain dans le secteur de l’énergie. La compétence et le savoir-faire technique qu’a commencé à se constituer Nareva lui permettront demain (dans 5 ans?) de développer un certain nombre de projets éoliens, solaires, ou hydrauliques dans le continent africain. Il s’agit là de projets lourds en capitaux et dont la rentabilité est différée: nous appelons de nos voeux que d’autres groupes privés marocains fassent montre du courage et de la patience nécessaires pour lancer des projets similaires et les réussir sur un terme de 10 à 20 ans.

                    Notre espoir, pour le succès économique de notre pays et le développement du pouvoir d’achat de nos concitoyens, est que le plus grand nombre possible de groupes tels que la SNI se développent et se structurent au Maroc. Des groupes suffisamment capitalisés, patients, long-termistes, recrutant les meilleures ressources humaines, et qui visent à construire des opérateurs champions de demain. La SNI, qui appartient largement aux petits épargnants marocains, joue un rôle précurseur en la matière.




                    Commentaire


                    • #11
                      Adil Douri, président de l’Alliance des économistes des istiqlaliens a choisi, pour sa part, le quotidien L’Économiste pour s’exprimer à ce sujet. Dans une tribune publiée dans les colonnes du journal, le 6 juin, il pointe du doigt ce qu’il considère « des contre-vérités » du reportage sur la plan économique et financier pour lesquelles il a souhaité « rétablir la réalité des faits ».
                      « On est des patriotes au sein du parti de l’Istiqlal. On adore notre pays et notre roi. Tout ce qu’on dit on le croit sincèrement »
                      Au lieu de nous faire une bayâa avant l'heure, il n'a qu'à demander au roi de porter plainte ou un droit de réponse auprès de France3 à défaut d'arguments judiciaires convaincants pour engager un procès en diffamation !

                      Commentaire


                      • #12
                        C'etait un réportage approximatif et vraiment nul. Je pense que les medias francais ont de plus au plus du mal à trouvér des arguments et des personnes qui les incarnent pour attaquer M6. Toujours les mêmes temoins qui ont aucune crédibilités: un ancien boxeur qui veut devenir fonctionnaire et être payer sans rien foutre, un prince qui a fait sortir tout son héritage que son père a volé au peuple marocain pour l'investir à l'etranger...

                        Mais ce qui a le plus met en évidence la mauvaise foi des medias francais est la réaction de Graciet dans ce réportage de F3: "j'en ai eu marre de dénoncer la corruption au Maroc sans résultats car le roi est encore plus riche alors j'ai décidé de passer de l'autre coté et prendre de l'argent".
                        La pauvre, elle croit vraiment qu'elle peut changer quelques dans un pays comme le Maroc par ses tahijates.

                        Commentaire


                        • #13
                          Un changement politique ne vient que l’intérieur et non de l’extérieur ,par des luttes des forces vives de la nation ,partis ,syndicats ,sociétés civiles etc

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X