Enfin prise de responsabilité d'un politicien espagnol. Aussi espérons que sa formation politique emporte les élections du 26 juin prochain.
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Le secrétaire général du parti espagnol d’extrême-gauche, Podemos, s’est prononcé publiquement pour une reconnaissance de la «RASD» au cas où son parti dirigerait le gouvernement espagnol, qui sera constitué à l’issue des nouvelles élections générales du 26 juin.
La déclaration émanant ce lundi du SG de Podemos, Pablo Iglesias, n’est guère rassurante pour le Maroc. A la question de savoir si «un gouvernement de Podemos reconnaîtrait la RASD», le chef de ce parti d’extrême-gauche n’a pas tourné sa langue quatre fois avant de répondre : «Bien sûr que oui». Cette réponse du SG de Podemos est tombée lors d'une rencontre-débat, organisée ce lundi à Madrid, par Nueva Economia Forum.
«L’Espagne a une responsabilité historique envers le Sahara en tant qu’ancienne puissance coloniale qui administrait ce territoire», a argué le SG de Podemos, né il y a deux ans du mouvement «Indignados» (Les Indignés) qui s’était dressé contre la cure d’austérité imposée par le parti de Rajoy (Parti Populaire, PP).
L’ex-universitaire a relevé encore que «sa formation politique juge nécessaire que l’ensemble des démocrates défendent la mise en œuvre d’un processus d’autodétermination où les Sahraouis puissent décider de leur propre sort».
Soure: le 360
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Le secrétaire général du parti espagnol d’extrême-gauche, Podemos, s’est prononcé publiquement pour une reconnaissance de la «RASD» au cas où son parti dirigerait le gouvernement espagnol, qui sera constitué à l’issue des nouvelles élections générales du 26 juin.
La déclaration émanant ce lundi du SG de Podemos, Pablo Iglesias, n’est guère rassurante pour le Maroc. A la question de savoir si «un gouvernement de Podemos reconnaîtrait la RASD», le chef de ce parti d’extrême-gauche n’a pas tourné sa langue quatre fois avant de répondre : «Bien sûr que oui». Cette réponse du SG de Podemos est tombée lors d'une rencontre-débat, organisée ce lundi à Madrid, par Nueva Economia Forum.
«L’Espagne a une responsabilité historique envers le Sahara en tant qu’ancienne puissance coloniale qui administrait ce territoire», a argué le SG de Podemos, né il y a deux ans du mouvement «Indignados» (Les Indignés) qui s’était dressé contre la cure d’austérité imposée par le parti de Rajoy (Parti Populaire, PP).
L’ex-universitaire a relevé encore que «sa formation politique juge nécessaire que l’ensemble des démocrates défendent la mise en œuvre d’un processus d’autodétermination où les Sahraouis puissent décider de leur propre sort».
Soure: le 360
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