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Algérie : La Banque Mondiale évoque une utilisation accrue des réserves de change

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  • Algérie : La Banque Mondiale évoque une utilisation accrue des réserves de change


    La Banque Mondiale (BM) a publié, ce mercredi 8 juin, son rapport sur les perspectives économiques mondiales.
    Pour l’Algérie, l’institution internationale se montre relativement optimiste sur la croissance économique à venir.
    Cela dit, le rapport pointe du doigt la vulnérabilité de l’économie du pays aux fluctuations des cours du baril de pétrole.
    Déficits en série, prix d’équilibre, diversification… L’Algérie fait face à des défis, selon la BM.

    Croissance robuste

    L’économie algérienne devrait croître de 3,4% en 2016, selon les prévisions de l’institution.
    Ceci place le pays en 7e position dans la région Moyen-Orient – Afrique du Nord (Mena).
    C’est mieux qu’en 2015 (2,9%) mais moins bien qu’en 2014 (4,1%).

    À plus long terme, la croissance du PIB algérien devrait légèrement baisser tout en restant à des niveaux appréciables.
    La Banque Mondiale prévoit une croissance de 3,1% en 2017, avant de redescendre à 2,7% en 2018.


    Des indicateurs macroéconomiques négatifs

    Dans le même temps, l’Algérie fait face, au même titre que la plupart des pays exportateurs de pétrole, à une situation budgétaire compliquée, relève la Banque Mondiale.
    En effet, la plupart des indicateurs sont négatifs.

    La balance du compte courant est déficitaire dans de nombreux pays de la zone Mena, indique l’institution internationale.
    Dans le cas de l’Algérie (et quelques autres pays), les déficits concernent aussi bien le budget [26 milliards de dollars, NDLR] que la balance des paiements [27 milliards en 2015, NDLR].

    Par ailleurs, les réserves de change de l’Algérie ont fondu particulièrement rapidement, à en croire la BM.
    Cette dernière ne donne pas d’indications chiffrées mais évoque l’utilisation accrue des réserves de change en raison de l’inflation, de la dévaluation des monnaies et du « financement des déficits fiscaux » (budgétaire).

    Les difficultés budgétaires sont notamment dues au niveau des dépenses et la baisse des taux des recettes.
    En effet, l’Algérie a besoin d’un baril à près de 100 dollars pour atteindre l’équilibre, selon un graphique du rapport.
    Or, les prévisions de la BM tablent sur un baril de pétrole aux alentours de 50 dollars.
    TSA

  • #2
    La banque mondiale est une organisation diabolique que ne cherche pas l'interet de l'Algerie
    mais des organisations satanistes secretes comme Rotchild, Rockfeller et autres comme eux !!

    Commentaire

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