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Boualem Alami vendredi 10 juin 2016 14:00
Les prix de pétrole restent toujours au dessus du seuil des 51 dollars le baril, après une incursion la veille au-delà des 52 dollars, après l'annonce mercredi par le Département à l'Energie américain (Doe) de la baisse des réserves pétrolières aux Etats-Unis.
Les cours de pétrole Brent, brut de référence de la mer du nord, évoluaient en légère baisse vendredi à 51,230 dollars le baril pour les contrats de juillet, mais en petite baisse (-1,39%) par rapport à la séance de jeudi sur le marché européen. Il avait ouvert la séance de vendredi à 51,9 dollars le baril. Le brut texan West Texas Instrument (WTI) était coté lui à 49,75 dollars/baril. Vendredi à mi-séance, les cours de pétrole étaient bien orientés, même s'ils ont légèrement décroché par rapport à leurs plus hauts de l’année jeudi, en dépit de prises de bénéfices après trois séances de hausse consécutives. Le Brent a brièvement dépassé les 52 dollars le baril dans la matinée de jeudi, dopé par une baisse des réserves américaines de brut pour la troisième semaine consécutive, alors que brut texan (WTI) s‘échangeait quant à lui dans l’après-midi de jeudi juste au-dessus de 50 dollars le baril. Les prix sont également soutenus par la baisse de la production nigériane, perturbée par des sabotages sur les installations pétrolières dans le delta du Niger.
Recul des stocks US
Le dernier rapport hebdomadaire dévoilé par le Département à l'Energie américain (Doe), les stocks commerciaux de brut, hors réserve stratégique, ont reculé de 3,3 millions de barils lors de la semaine close au 3 juin, à 532,5 millions de barils. Les stocks restent malgré tout à leur niveau le plus élevé pour cette période de l'année. Le consensus tablait sur une baisse de 3,1 millions de barils. Les stocks d'essence ont eux augmenté de 1 million de barils, alors que les stocks de produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont progressé de 1,8 million de barils. La remontée des cours de l'or noir pourrait se maintenir mais grâce à des fondamentaux techniques, en l'absence d'une politique volontariste des pays Opep de s'entendre sur une réduction du plafond de production de l'organisation.
Les prix de pétrole restent toujours au dessus du seuil des 51 dollars le baril, après une incursion la veille au-delà des 52 dollars, après l'annonce mercredi par le Département à l'Energie américain (Doe) de la baisse des réserves pétrolières aux Etats-Unis.
Les cours de pétrole Brent, brut de référence de la mer du nord, évoluaient en légère baisse vendredi à 51,230 dollars le baril pour les contrats de juillet, mais en petite baisse (-1,39%) par rapport à la séance de jeudi sur le marché européen. Il avait ouvert la séance de vendredi à 51,9 dollars le baril. Le brut texan West Texas Instrument (WTI) était coté lui à 49,75 dollars/baril. Vendredi à mi-séance, les cours de pétrole étaient bien orientés, même s'ils ont légèrement décroché par rapport à leurs plus hauts de l’année jeudi, en dépit de prises de bénéfices après trois séances de hausse consécutives. Le Brent a brièvement dépassé les 52 dollars le baril dans la matinée de jeudi, dopé par une baisse des réserves américaines de brut pour la troisième semaine consécutive, alors que brut texan (WTI) s‘échangeait quant à lui dans l’après-midi de jeudi juste au-dessus de 50 dollars le baril. Les prix sont également soutenus par la baisse de la production nigériane, perturbée par des sabotages sur les installations pétrolières dans le delta du Niger.
Recul des stocks US
Le dernier rapport hebdomadaire dévoilé par le Département à l'Energie américain (Doe), les stocks commerciaux de brut, hors réserve stratégique, ont reculé de 3,3 millions de barils lors de la semaine close au 3 juin, à 532,5 millions de barils. Les stocks restent malgré tout à leur niveau le plus élevé pour cette période de l'année. Le consensus tablait sur une baisse de 3,1 millions de barils. Les stocks d'essence ont eux augmenté de 1 million de barils, alors que les stocks de produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont progressé de 1,8 million de barils. La remontée des cours de l'or noir pourrait se maintenir mais grâce à des fondamentaux techniques, en l'absence d'une politique volontariste des pays Opep de s'entendre sur une réduction du plafond de production de l'organisation.