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Histoire/Quand le Guide Suprême des Croyants réduisaient les femmes berbères à l’esclavage sexuel

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  • #31
    Ginger Hola

    Pas aussi simple que ça. Cette conquête de l'Afrique du nord a duré pendant à peu près 70 ans. Plus de 12 tentatives, les armées musulmanes ont laissé des fois plus que la peau de leur fesses, même des généraux ont fais les frais comme okba bnu nafa3. Ces armées n'étaient pas composés uniquement de soldat arabes du hijaz mais dès les départs ces armes de fatihines ont été renforcés par des nouveaux recrues dans les contrées qu'ils envahissent à cause de l'appât du gain
    oui, je sais...mais malgré tout, ce n'était que des cavaliers munis de cimeterres.

    Les arabophones nord africains qui pensent qui sont arabes de souche me font vraiment de la peine,

    les génétiquement arabes, dans les faits, ne sont pas minoritaires, mais quasiment inexistants.

    mais je crois qu'être arabe dépasse la génétique.

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    • #32
      je te conseillerais vraiment d aller consulter
      je me passe bien de tes conseils. à moi de te conseiller de rejoindre ton ami le corbeau, vous vous trouverez bien à croasser ensemble.

      p.s: ah, ces hurluberlus ! à défaut d'apporter la contradiction, d'opposer les idées, les contre-arguments, les contre-exemples, les contre-faits, ils s'adonnent aux attaques personnelles, les insultes, les invectives et les croassements. pitoyable ! pathétique ! çà les "grandit" bas, bien bas, très très bas.
      Dernière modification par leftissi, 18 juin 2016, 15h41.

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      • #33
        Désolé c est plutôt une Rokia...c est plus approprié, et en arabe sinon elle n aura aucun effet ...
        bOnNe rEfLeXiOn!!!

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        • #34
          Moi je veux bien une roquia, chiffa

          Lorsque vous dites Berbères, j'ai l'impression que vous oubliez la composante de ce peuple, par exemple si je prends les Kabyles, c'est des sédentaires, si je prends les terguis c'est des nomades, les Mzab sont particuliers aussi. D'ailleurs les civilisationnistes se sont souvent demandés si le lien n'était pas uniquement la langue. N'oubliez pas que des berbères existent au Mali et au Sénégal et ils ressemblent à l'ethnie de leur pays.

          L'Algérie a une histoire et des civilisations, pourquoi sont-ils en train de tout falsifier ?

          Je n'ai jamais lu qu'un jour la langue Berbère ait été véhiculaire, même ceux que vous prétendez vos aieux parlaient punique.

          Je crois que notre histoire a été sciemment faussée afin de créer ces chamailleries.

          Les Kabyles sont Algériens et ils subissent beaucoup de pression pour les éloigner de ce qu'ils sont, ethnie, pays, religion. Là ils ont le chant de la kabylité (fini algérianité, islamité, arabité) cela veut dire que nous sommes au dernier levé de rideau.

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          • #35
            Je n'ai jamais lu qu'un jour la langue Berbère ait été véhiculaire, même ceux que vous prétendez vos aieux parlaient punique.
            il y a à peu près 21 ans sur tf1 devant anne sinclair à l'émission 7/7, leur gourou criait à tue-tête et vociférait à porter les mains aux oreilles: "nous exigeons, nous voulons le retour de la langue de Massinissa, la langue de la numidie !". Savait-il, ce gourou hurluberlu que la langue de Massinissa et tous ses successeurs était le PUNIQUE ? Assurément, il ne le savait pas, intoxiqué qu'il était par sa propagande tribale .
            Dernière modification par leftissi, 18 juin 2016, 16h07.

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            • #36
              Leftissi
              Ils ne font pas leur recherche sérieusement. Sur Djugurtha nous trouvons très peu de choses et le seul rapporteur est un certain Don Salluste (?).
              Massinissa, il est clairement établit que c'était le punique sa langue.

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              • #37
                Le punique parlé en Afrique du Nord n'a rien à voir avec le phénicien, langue de Canaan. De plus, l'influence du punique était moins grande à l'intérieur des terres. La version punique, durant la période où il était parlé, change progressivement sous l'influence de la langue berbère et s'est beaucoup différencié de la langue d'origine. C'est la langue berbère qui a pris le dessus en l'incorporant, comme elle a déjà incorporé pas mal d'autres langues avant et après. Le berbère était sauvegardé dans certaines contrées, ou plutôt la langue du coin n'a pas été beaucoup influencée, tandis que la version influencée par les langues des "visiteurs", y compris l'arabe, muait sans cesse, c'est notre derja actuelle.
                Dernière modification par UnAlgerien, 18 juin 2016, 16h26.

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                • #38
                  Exactement, UnAlgérien...
                  dire que les berbères parlent punique , c'est aussi débile que dire que les Algériens parlent français du fait que leur darija comporte des francismes,

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                  • #39
                    Leftissi
                    Ils ne font pas leur recherche sérieusement.
                    Moi je pense que c'est dû à leur (enfermement sectaire dans) une source d'information et de référence unique et exclusive: la propagande tribale. ils ne lisent pas, ne consultent pas d'autres sources neutres et autorisées. ils sont bourrés, truffés de préjugés et de généralisations sur le sujet (qui nous intéresse). y a qu'à voir la naïveté et la niaiserie de mon compagnon dans le compartiment de train. quand ils apprennent que le Punique était la langue véhiculaire en Afrique du nord pendant plus de 19 siècles (de 1250 avant jc à l'arrivée des arabes), que la langue officielle de massinissa et tous ses successeurs dans le royaume de Numidie était le punique, ils sont abasourdis, ils refusent de croire et commencent à parler de punique différent du phénicien (post plus haut), de libyco-punique, de berbero-punique, de néo-punique...etc... A défaut de trouver une parade convaincante, ils réagissent par l'insulte et les attaques personnelles (cf. exemples profus supra).

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                    • #40
                      Tous ce que je dis ici, je le dis sans hostilité, sans animosité, sans stigmatisation, sans intention dénigrante, mais pour rétablir la vérité historique et répondre aux attaques et provocations (periodiques, calculées et malveillantes) du genre de celles de amine zaoui et son relais abdou semmar, et les hurluberlus du mak. Sinon, l'histoire de mon pays, je me sens impliqué et j'y ai voix au chapitre, et j'ai déjà eu l'occasion ici de dire que j'assume l'histoire de mon pays entière et intégrale, de l'homme de Ain la7neche au 1° novembre1954, sans la saucissonner, sans hypertrophie d'une période au dépens de l'autre, mais sans mythe et sans uchronie.

                      2/ les maures ou numides de l'antiquité parlaient le punique (et à une certaine période aussi le latin) en plus de leurs patois tribaux, comme les berbérophones parlent aujourd'hui l'arabe et le français en plus de leurs dialectes respectifs. quand ils parlaient entre eux et qu'ils ne se comprenaient pas (vue la non-intercompréhensibilité des parlers), ils recourent au punique ou à des termes du punique, exactement comme aujourd'hui pour l'arabe et le français.

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                      • #41
                        Le fait que les Berbères médiévaux se soient réclamés d'une origine arabe est connu et admis par tous ceux qui ont été introduits à l'histoire de l'Afrique du Nord par l'oeuvre d'Ibn Khaldun où, dans son Kitâb al-'ibar, il rapporte, grosso modo, des traditions attestant qu'à une époque reculée les tribus berbères se rattachaient à la nation arabe par l'intermédiaire d'ancêtres légendaires. Ibn Khaldun lui-même accepte l'authenticité de cette filiation pour certains, les tribus Kutama et Sanhadja, mais reproche aux Zenata d'avoir de fausses prétentions à une origine arabe, prétentions motivées par le mépris qu'ils éprouvent envers leur propre race berbère, qu'ils considèrent comme servile et dédaignée (1).(1) Ibn Khaldun, Histoire des Berbères, tr. Baron de Slane, nouvelle édition (Paris, 1925-1956) I, 153-167, III, 180-188

                        .../...

                        le mythe d'origine berbère présente un grand intérêt, d'autant plus qu'au Maghreb médiéval, nous n'avons pas de témoignages écrits proprement berbères, ni pour la langue ni pour la culture. Les questions restent pourtant nombreuses : Quand apparaît le motif pour la première fois ? Pourquoi et comment est-il né et en quelles circonstances ? S'agit-il d'un seul motif ou de plusieurs ? Pouvons-nous voir des variations et des transformations à travers l'époque médiévale ? Quel rapport a-t-il avec l'apparition des dynasties berbères ? S'agit-il d'une expression de résistance intellectuelle ou sociale, ou au contraire d'acculturation et de soumission à la mentalité des conquérants ? Dans quelle mesure était-il présent dans les aspects réels de la vie ? L'étude de ces questions va nous occuper par la suite, et nous donner des aperçus plus approfondis sur la société maghrébine, ses structures sociales et mentales.

                        Persee.fr


                        Les Berbères sont-ils des sémites ?

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                        • #42
                          Berbères est le terme générique pour désigner des peuplades hétéroclites non-homogènes (d'origines et de provenances diverses), habitant (au coté d’autres peuples ) un vaste territoire de l’Afrique du nord situé de l'oasis de Siwa(Égypte) aux iles Canaries (sur l'atlantique, proche des cotes africaines), des cotes sud de la méditerranée au profondeurs du Sahara, parlant divers dialectes (une trentaine selon les chercheurs) d'origine paraissant commune (les dialectes, pas les locuteurs) mais n'ayant pas pu s'uniformiser ou maintenir leur uniformité pour diverses raisons, notamment l'absence d'unité politique durable (jamais réalisée), diversité raciale et culturelle, l'absence d'entreprise spirituelle, intellectuelle ou matérielle commune ou endogène, la vaste étendue du territoire d'évolution avec la grande diversité des reliefs et environnements (désert, oasis, hautes-montagnes, steppes, plaines, hauts-plateaux, vallées), d'où la diversité des modes de vie (nomades, semi-nomade, montagnards, sédentaires, citadins, agriculteurs, chasseurs, pasteurs), les "vécus historiques" divers (influences extérieures nombreuses et diverses, migrations, invasions, brassages et métissages divers, absorption de populations de provenances diverses, migrantes, conquérantes ou réfugiées), isolements des uns des autres par des barrières politiques ou naturelles (déserts, montagnes). Tous ces facteurs et agents réunis font qu'aujourd'hui, on ne peut parler de peuple berbère, de langue uniques.


                          "En fait il n’y a aujourd’hui ni une langue berbère, dans le sens où celle-ci serait le reflet d’une communauté ayant conscience de son unité, ni un peuple berbère et encore moins une race berbère. Sur ces aspects négatifs tous les spécialistes sont d’accord…". G camps.
                          Dernière modification par leftissi, 18 juin 2016, 17h23.

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                          • #43
                            D'origine espagnole, Gaspar Camps passa pourtant la plus grande partie de sa carrière en France.

                            Il fit des études à l'école des beaux arts d'Igualada et de Barcelone. Entre 1894 et 1897, pour parfaire ses connaissances, il séjourna à Paris ; il fut l'élève de Jean-Joseph Benjamin-Constant, de William Bouguereau et de Jean-Paul Laurens.

                            Dès cette époque, il fut influencé par Alphons Mucha (1860-1939), l’artiste Tchèque installé à Paris, alors au faîte de sa carrière. Il prit d’ailleurs sa succession en 1905 après le départ de ce dernier aux États-Unis, comme illustrateur publicitaire pour l'imprimerie Champenois. Compte tenu de l'influence de Mucha, notamment sur ses affiches artistiques, Gaspar Camps fut surnommé le Mucha Catalan.

                            Entre temps, il retourna à Barcelone où il contribua, comme illustrateur de livres, à plusieurs revues modernistes de Catalogne comme Pluma y Lápiz ou encore Album Salón, qui fut une des publications modernistes les plus représentatives au tournant du siècle.

                            En 1905, il s’établit en France, d'abord à Paris puis, jusque vers 1920 à Toulouse. À Paris, il commença à travailler à la production de huit aquarelles, une commande pour illustrer le drame romantique d'Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac et ce fut le succès.
                            Des commandes lui arrivèrent des principaux illustrateurs français et étrangers (Sirven, Champenois, Gotzens, Minot). Un an plus tard, il rejoint l'imprimerie B. Sirven, un imprimeur-éditeur dont la maison mère avait été fondée à Toulouse en 1834 (établissements à Toulouse, Paris et par la suite, succursale à Barcelone). Pendant plus de 25 ans, comme directeur artistique, il y réalisa de très nombreuses affiches, calendriers, cartes postales et autres projets publicitaires. D'abord fidèle apôtre de l'art nouveau, il s'orienta ensuite progressivement vers des illustrations moins exubérantes, d'influence art déco.

                            Son sujet de prédilection était la déclinaison de la femme espagnole, danseuse des différentes provinces en costume traditionnel ou encore femme émancipée fumant la cigarette (JOB…) ou buvant une coupe de champagne9. Son modèle était souvent sa propre épouse, Cristina Dotti.

                            Après l'installation, vers 1920, d’une succursale de la maison Sirven à Barcelone, il continua sa carrière surtout en Catalogne. Mais il considérait la France, où il faisait de fréquents séjours à Toulouse pour l'imprimerie Sirven, comme sa seconde patrie.
                            Les dernières années de sa vie, à la fin des années 1930, il reprit son activité de peintre qu'il avait entamée dans ses jeunes années, avant son départ pour la France puis quasiment mis en sommeil, se consacrant essentiellement au graphisme publicitaire.

                            De nombreuses expositions ont jalonné sa vie, souvent salle Parés à Barcelone (1896, 1898 et surtout 1899 où il reçut un accueil très favorable de la critique), à Igualada (en août 1934).

                            En 1980 une exposition anthologique fut organisée, toujours à Igualada, et plus récemment (2010-2011) a eu lieu la rétrospective CIAC Gaspar Camps El taller modernista .

                            Ses œuvres sont conservées dans plusieurs musées, en Espagne (Igualada, Barcelone Museu del Modernisme Català, Biblioteca nacional de Espaňa) et également en France (Rennes musée de Bretagne peinture Bengaline, centre de l'affiche de Toulouse).

                            Il reçut la distinction française de l’ordre des palmes académiques. Une école d'art et une rue portent son nom à Igualada (Catalogne).
                            dz(0000/1111)dz

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                            • #44
                              Persee.fr


                              Les Berbères sont-ils des sémites ?
                              merci Persée .fr
                              dz(0000/1111)dz

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                              • #45
                                @ katia de tiaret

                                D'origine espagnole, Gaspar Camps passa pourtant la plus grande partie de sa carrière en France.
                                ahhhahaha, il s'agit de Gabriel Camps, pas de gaspar comment il s'appelle déjà ! çà doit être l'effet du jeun encore une fois. rendez-vous après le f'tour.

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