Au cours des 4 ans où elle a occupé le poste de secrétaire d’État (2009-2014), Hillary Clinton contrôlait la politique étrangère des États-Unis. Elle avait accès à l’information et aux documents d’état les plus confidentiels: des dizaines de milliers venant des principaux ministères et organismes gouvernementaux, du renseignement, du FBI, du Pentagone, du Trésor et du bureau du président.
Elle avait un accès sans restriction aux informations vitales et secrètes touchant à la politique étasunienne concernant toutes les régions clés de l’empire.
Aujourd’hui, les critiques contre Mme Clinton mettent l’accent sur les aspects techniques: ses violations de procédures et des lignes directrices du Département d’Etat concernant le traitement des correspondances officielles, ses mensonges éhontés à propos de l’utilisation de son serveur courriel privé pour des affaires d’Etat, y compris la violation des lois fédérales concernant le maniement de documents classés hautement confidentiels, la dissimulation de documents officiels au regard de la loi sur La liberté de l’information (Freedom of information Act) et l’organisation de son propre système, en marge de la surveillance officielle, règlement auquel tous les autres fonctionnaires sont soumis.
Pour de nombreux analystes, par conséquent, la question est d’ordre procédural, moral et éthique. Mme Clinton s’était érigée au-dessus et au-delà des normes de discipline du Département d’état. Cette preuve de son arrogance, de sa malhonnêteté et de son flagrant mépris des règles devrait la disqualifier de la charge de président des États-Unis. Alors que des révélations sur sa mauvaise utilisation de documents officiels, son système privé de communication et de correspondance, ainsi que sa destruction des dizaines de milliers de ses échanges officiels, y compris des documents hautement confidentiels, sont des questions importantes qui méritent une investigation. Toutefois ceci ne répond pas à la question politique primordiale: pour le compte de qui la Secrétaire d’état Clinton exerçait-elle les affaires de politique étrangère des États-Unis, à l’insu de la surveillance du gouvernement ?
La signification politique et la motivation des crimes de Clinton contre l’État
La manipulation illégale et privée par la Secrétaire d’état Clinton de documents officiels a suscité une enquête majeure du FBI concernant la nature de ses activités. Cette enquête est distincte de l’enquête menée par le Bureau de l’Inspecteur général et implique des violations de sécurité nationale.
Il y a plusieurs directions à l’enquête contre Mme. Clinton:
1. A-t-elle travaillé avec des gouvernements et des services de renseignement étrangers – encore inconnus – dans le but de renforcer leurs positions contre les intérêts des États-Unis ?
2. A-t-elle fourni des informations sur les opérations et les positions politiques des différents décideurs étasuniens, à des concurrents, adversaires ou alliés, minant les activités des militaires, du renseignement et des fonctionnaires du Département d’Etat ?
3. A-t-elle cherché à rehausser son pouvoir personnel au sein de l’administration étasunienne pour forcer sa politique agressive de guerres préventives en série, sur et contre des fonctionnaires vétérans du Département d’Etat et du Pentagone qui étaient favorables à la diplomatie traditionnelle et une confrontation moins violente ?
4. A-t-elle préparé une « équipe secrète » à l’aide d’un opérateur étranger ou de double nationalité, afin de jeter les bases de sa candidature à la présidence et son but ultime, le pouvoir suprême politique et militaire ?
Contextualiser les opérations clandestines de Clinton
Il ne fait aucun doute que Mme Clinton a échangé des documents et des lettres officiels de faible et de majeure importance, par l’intermédiaire de son système de courriel privé. Des communications familiales et même intimes pourraient avoir été transmises par le même moyen. Mais la question essentielle est qu’un grand volume d’informations gouvernementales hautement confidentielles arrivait à Clinton par un « canal dérobé » privé, non-sécurisé, lui permettant de conduire les affaires d’Etat en secret avec ses correspondants.
Qui exactement étaient ces correspondants, parmi ceux de la secrétaire d’état Clinton, les plus durables, persistants et influents ? Quels types d’échanges avaient cours, pour qu’ils exigent le contournement d’une surveillance normale, tout en manifestant une insouciance condamnable pour la sécurité ?
Les politiques de guerre clandestine de Clinton, qui comprenait le renversement violent du gouvernement ukrainien normalement élu, ont été menées par son « lieutenant », la Sous-secrétaire d’État Victoria Nuland, un virulent vestige néo-conservateur de la précédente administration Bush, quelqu’un d’engagé à provoquer la Russie et à rehausser la puissance d’Israël au Moyen-Orient. L’idée originale « très dangereuse et économiquement déstabilisante de Clinton, de militairement encercler la Chine, la dite politique de « pivot vers l’Asie », aurait nécessité des échanges clandestins avec des éléments du Pentagone – en dehors de la surveillance du Département d’état et éventuellement du contrôle.
En d’autres termes, dans le circuit politique de Washington, l’escalade par la Secrétaire Clinton des politiques de guerre nucléaires contre la Russie et la Chine exigeaient des correspondances secrètes qui ne se conformaient pas nécessairement avec les politiques et les estimations du renseignement d’autres agences gouvernementales étasuniennes et des intérêts commerciaux privés.
Clinton s’est profondément engagé dans des échanges privés avec plusieurs régimes politiques étrangers peu recommandables, dont l’Arabie saoudite, Israël, le Honduras et la Turquie, concernant des activités secrètes violentes et illégales. Elle a travaillé avec des parties grotesquement corrompues de l’opposition du Venezuela, de l’Argentine et du Brésil.
Elle avait un accès sans restriction aux informations vitales et secrètes touchant à la politique étasunienne concernant toutes les régions clés de l’empire.
Aujourd’hui, les critiques contre Mme Clinton mettent l’accent sur les aspects techniques: ses violations de procédures et des lignes directrices du Département d’Etat concernant le traitement des correspondances officielles, ses mensonges éhontés à propos de l’utilisation de son serveur courriel privé pour des affaires d’Etat, y compris la violation des lois fédérales concernant le maniement de documents classés hautement confidentiels, la dissimulation de documents officiels au regard de la loi sur La liberté de l’information (Freedom of information Act) et l’organisation de son propre système, en marge de la surveillance officielle, règlement auquel tous les autres fonctionnaires sont soumis.
Pour de nombreux analystes, par conséquent, la question est d’ordre procédural, moral et éthique. Mme Clinton s’était érigée au-dessus et au-delà des normes de discipline du Département d’état. Cette preuve de son arrogance, de sa malhonnêteté et de son flagrant mépris des règles devrait la disqualifier de la charge de président des États-Unis. Alors que des révélations sur sa mauvaise utilisation de documents officiels, son système privé de communication et de correspondance, ainsi que sa destruction des dizaines de milliers de ses échanges officiels, y compris des documents hautement confidentiels, sont des questions importantes qui méritent une investigation. Toutefois ceci ne répond pas à la question politique primordiale: pour le compte de qui la Secrétaire d’état Clinton exerçait-elle les affaires de politique étrangère des États-Unis, à l’insu de la surveillance du gouvernement ?
La signification politique et la motivation des crimes de Clinton contre l’État
La manipulation illégale et privée par la Secrétaire d’état Clinton de documents officiels a suscité une enquête majeure du FBI concernant la nature de ses activités. Cette enquête est distincte de l’enquête menée par le Bureau de l’Inspecteur général et implique des violations de sécurité nationale.
Il y a plusieurs directions à l’enquête contre Mme. Clinton:
1. A-t-elle travaillé avec des gouvernements et des services de renseignement étrangers – encore inconnus – dans le but de renforcer leurs positions contre les intérêts des États-Unis ?
2. A-t-elle fourni des informations sur les opérations et les positions politiques des différents décideurs étasuniens, à des concurrents, adversaires ou alliés, minant les activités des militaires, du renseignement et des fonctionnaires du Département d’Etat ?
3. A-t-elle cherché à rehausser son pouvoir personnel au sein de l’administration étasunienne pour forcer sa politique agressive de guerres préventives en série, sur et contre des fonctionnaires vétérans du Département d’Etat et du Pentagone qui étaient favorables à la diplomatie traditionnelle et une confrontation moins violente ?
4. A-t-elle préparé une « équipe secrète » à l’aide d’un opérateur étranger ou de double nationalité, afin de jeter les bases de sa candidature à la présidence et son but ultime, le pouvoir suprême politique et militaire ?
Contextualiser les opérations clandestines de Clinton
Il ne fait aucun doute que Mme Clinton a échangé des documents et des lettres officiels de faible et de majeure importance, par l’intermédiaire de son système de courriel privé. Des communications familiales et même intimes pourraient avoir été transmises par le même moyen. Mais la question essentielle est qu’un grand volume d’informations gouvernementales hautement confidentielles arrivait à Clinton par un « canal dérobé » privé, non-sécurisé, lui permettant de conduire les affaires d’Etat en secret avec ses correspondants.
Qui exactement étaient ces correspondants, parmi ceux de la secrétaire d’état Clinton, les plus durables, persistants et influents ? Quels types d’échanges avaient cours, pour qu’ils exigent le contournement d’une surveillance normale, tout en manifestant une insouciance condamnable pour la sécurité ?
Les politiques de guerre clandestine de Clinton, qui comprenait le renversement violent du gouvernement ukrainien normalement élu, ont été menées par son « lieutenant », la Sous-secrétaire d’État Victoria Nuland, un virulent vestige néo-conservateur de la précédente administration Bush, quelqu’un d’engagé à provoquer la Russie et à rehausser la puissance d’Israël au Moyen-Orient. L’idée originale « très dangereuse et économiquement déstabilisante de Clinton, de militairement encercler la Chine, la dite politique de « pivot vers l’Asie », aurait nécessité des échanges clandestins avec des éléments du Pentagone – en dehors de la surveillance du Département d’état et éventuellement du contrôle.
En d’autres termes, dans le circuit politique de Washington, l’escalade par la Secrétaire Clinton des politiques de guerre nucléaires contre la Russie et la Chine exigeaient des correspondances secrètes qui ne se conformaient pas nécessairement avec les politiques et les estimations du renseignement d’autres agences gouvernementales étasuniennes et des intérêts commerciaux privés.
Clinton s’est profondément engagé dans des échanges privés avec plusieurs régimes politiques étrangers peu recommandables, dont l’Arabie saoudite, Israël, le Honduras et la Turquie, concernant des activités secrètes violentes et illégales. Elle a travaillé avec des parties grotesquement corrompues de l’opposition du Venezuela, de l’Argentine et du Brésil.
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