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Le pétrole reprend le chemin de la baisse, s’éloigne des 50 dollars

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  • Le pétrole reprend le chemin de la baisse, s’éloigne des 50 dollars


    Après plusieurs semaines de hausse consécutive, le pétrole reprend les chemins de la baisse.
    Ce jeudi matin, le Brent enregistre sa cinquième séance de baisse consécutive, à 48,20 dollars vers 10 heures.
    En cinq séances, il a perdu près de 7%.
    Pourtant, l’Opep et l’Agence internationale de l’énergie ont annoncé cette semaine une réduction de l’offre excédentaire de pétrole et une diminution potentielle des stocks dans les prochains mois.

    Ce jeudi, la Russie et le Venezuela ont annoncé des discussions sur un possible gel de leur production de pétrole.
    Des annonces qui n’ont pas eu d’impact.
    Les cours sont affectés par la remontée du dollar notamment face à l’euro dans un contexte marqué par les craintes sur une sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne.
    La publication hier de stocks américains meilleurs que prévu pèse également sur la tendance.
    TSA

  • #2
    retour à la baisse plutôt que prévu et cela avant même le retour du pétrole des sables bitumineux du canada et du brut nigérian sur le Marché.
    l'objectif de l'Iran d'atteindre 4 millions barils par jour ne va pas arranger les choses et le ralentissement de la croissance de l'économie chinoise.
    j’espère que le reste quand même en dessus des 45 dollars pour ne pas payer le pétrole de schiste.un prix entre 40 et 60 dollars pour les 2 prochaines années fera l'affaire du Maroc.
    ce qui fait un peu peur c'est la régression des investissements dans l’exploration et l exploitation de pétrole ce qui engendrait une hausse agressive a partir de 2019.
    de toute façon un baril à 90 dollars n'est pas pour demain.
    Dernière modification par sergio, 16 juin 2016, 13h22.

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    • #3
      Ce qui est bien par contre c'est la poursuite des investissements dans les sources d’énergie alternative ce qui pourra assurer une partie des besoins future.

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      • #4

        Les cours du pétrole dévissaient fortement jeudi en fin d'échanges européens.
        Vers 16H10 GMT (18H10 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 47,26 dollars, en baisse de 1,71 dollar par rapport à la clôture de mercredi.

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        • #5
          et l once d or a pris 60 dollars ..
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Le WTI retourne fort probablement à 43 $, après probable retour vers 37 $.

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            • #7
              que dieu t entende

              vois avec sergio il t expliquera
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Agence Ecofin) - La banque d’affaires américaine a estimé, dans un rapport publié le 15 juin, que le récent rebond des prix du pétrole reste fragile, notant que cette remontée s’explique principalement par les perturbations provisoires dans la production au Nigeria et au Canada.

                «Le redémarrage de la production canadienne plombée par des incendies, les perspectives d'une solution aux pannes induites par les attaques contre des installations pétrolières au Nigeria, une production plus importante que prévu des membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et le risque d’une moindre baisse de la production des pays non membres de l'Opep, notamment les Etats-Unis, sont susceptibles de freiner la récente hausse des prix», a souligné la banque dans ce rapport consacré aux matières premières.

                Pour Goldman Sachs, le déficit de l’offre de brut va rester limité au deuxième semestre 2016 et le marché va de nouveau se retrouver en surcapacité au premier trimestre 2017. La banque n'attend pas de normalisation des stocks de brut avant fin 2017.

                Les prévisions de Goldman Sachs sont plus pessimistes que celle de l’Opep, qui a estimé dans son rapport mensuel publié le 13 juin que le marché est en train de se rééquilibrer et que la surproduction va se résorber.

                L'Opep a précisé que sa production est actuellement inférieure à la prévision moyenne de demande pour son brut au deuxième semestre, une situation déficitaire sans précédent sur un trimestre entier depuis 2013 selon ses statistiques. « L'offre excessive dans le marché devrait être résorbée dans les trimestres qui viennent, ce qui devrait se traduire par un marché pétrolier plus équilibré en fin d'année », a-t-elle indiqué.

                Le cours du brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) est remonté récemment à 50 dollars le baril, après avoir touché en janvier un plus bas de 12 ans à 27 dollars.

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                • #9
                  s’explique principalement par les perturbations provisoires dans la production au Nigeria et au Canada.
                  pas seulement

                  et d un declin de 500000 b/j de la production americaine

                  ou sinon pour l instant il va droit vers les 50
                  car les marches anticipent une victoire des in suite a l assassinat de la deputee anglaise par un forcene
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Grosse rechute des cours du pétrole en vue

                    Alors que les cours de l’or noir viennent de doubler depuis le plancher annuel de janvier, une nouvelle baisse est à craindre pour les prochaines semaines.

                    Après avoir connu un parcours spectaculaire (+96% !) entre le creux du 20 janvier et le sommet du 9 juin, les prix du pétrole ont inversé la vapeur, pénalisés par une conjonction d’éléments défavorables. Le récent repli devrait s’amplifier sur les semaines, voire les mois, à venir.

                    Du côté de l’offre, un marché mieux approvisionné

                    "Avec le rally des prix du pétrole ces derniers mois, les producteurs de pétrole de schiste américains pourraient profiter de l’aubaine pour accroître leur production", juge ainsi Alain Corbani, gérant de fonds responsable des matières premières à Finance SA. "Le coup d’arrêt à la diminution des forages en activité conforte ce scénario".

                    Par ailleurs, l’Arabie saoudite peine à s’entendre avec les autres grands pays producteurs, notamment la Russie, l’Irak et l’Iran, en raison d’intérêts divergents (lutte pour gagner des parts de marché). A cet égard, le gérant juge peu probable un accord à court terme sur une politique de gestion de la production coordonnée et disciplinée. La production des pays africains continue de croître (à l’exception du Nigeria, où les rebelles ont fait exploser un nouvel oléoduc), de même que celle de l’Iran (qui profite à plein de la levée des sanctions occidentales) et de l’Irak.

                    A cet égard, Christopher Dembik, économiste à Saxo Bank, juge qu’à long terme, c'est la hausse de la production irakienne qui fait peser le plus de risques sur l'offre. "Par rapport à juin 2014, la production du pays a connu la plus forte augmentation parmi les pays producteurs de pétrole, de l'ordre de 32%. Dans les prochaines années, l'accroissement de la production a de grandes chances de s'accentuer malgré le risque géopolitique persistant dans le croissant mésopotamien", estime-t-il.

                    Quand au Canada, "le déficit de production d’un million de barils lié à un récent incendie est en voie de résorption", ajoute Alain Corbani.

                    Des craintes sur la demande

                    En face, la consommation d’or noir pourrait marquer le pas. La conjoncture mondiale reste fragile, entre une croissance chinoise qui peine à se stabiliser et l’aléa d’un éventuel vote en faveur du Brexit, qui porterait un coup à la timide reprise économique à l’œuvre en Europe. Or, les derniers sondages donnent gagnant le camp d’une sortie de l’Union européenne.

                    Enfin, le récent regain d’aversion au risque et la perspective d’un prochain durcissement monétaire aux Etats-Unis sont de nature à favoriser un rebond du dollar, pesant mécaniquement sur le pouvoir d’achat des consommateurs situés hors zone dollar, et donc sur leur demande de pétrole.

                    L’analyse graphique suggère aussi une phase de baisse

                    Pour les inconditionnels de l’analyse technique (analyse graphique et mathématique des cours), la perspective d’une prochaine phase de baisse est corroborée par la sortie d’une structure dite en biseau ascendant (formé par les lignes rouge et verte sur le graphique ci-dessous), tant sur les cours du baril de pétrole que sur l’indicateur mathématique RSI. La rupture de la moyenne mobile à 30 jours (moyenne des 30 derniers cours de clôture) confirme ce scénario négatif. Thomas Bavoil, analyste à Aurel BGC, s’attend ainsi à une chute du prix du baril en direction de la zone de 40-42 dollars (sommet de mars), voire de 35 dollars (sommet de janvier et creux d’avril, et creux majeur de l’année 2009), soit un potentiel de baisse supérieur à 25%.

                    Évolution du cours du baril de pétrole






                    Capital

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                    • #11
                      Ce n'est qu'une consolidation, la tendance reste malgré tout haussiere.
                      "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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