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Etonnant comme la colonisation marocaine du Sahara Occidental puisse être un sujet lors d'élections espagnoles lorsque l'on songe que ce même pays (Espagne) colonise le Maroc à l'îlot de Persil notamment!
Si la gauche espagnole parvient au pouvoir, le Maroc peut craindre la perte d'un affidé et qu'une nouvelle donne lui sera opposée.
Le 26 juin à venir, tous les dangers pour la dictature immonde marocaine?
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Un meeting électoral tenu à Grenade par le chef du Parti populaire, Mariano Rajoy, a failli tourner au pugilat à cause d'une horde d'activistes espagnols pro-Polisario. Les partisans du chef de gouvernement sortant ont répliqué à cette provocation.
Un incident fâcheux est survenu alors que le chef du Parti populaire espagnol (PP), Mariano Rajoy, était en meeting à Grenade en perspective des nouvelles législatives prévues ce 26 juin. Selon l'agence Europa Presse, une horde d’agitateurs à la solde du Polisario a pris de court le chef de gouvernement sortant et ses partisans en brandissant, mardi après-midi dernier, le fanion de la pseudo-«RASD» et en hurlant des slogans genre «L’Espagne responsable», «l’Espagne coupable»…
Des slogans auxquels les partisans de Rajoy ont répondu par d’autres «Rajoy amigo, Granada esta contigo» (Rajoy, notre ami, Grenade est avec vous).
L’incident a failli tourner à l’affrontement n’eût été l’intervention de la police et des gardes du corps du chef du gouvernement sortant Mariano Rajoy, victime d’une violente agression de la part d'un jeune alors qu'il était en pleine campagne électorale le 14 décembre 2015.
La sortie actuelle des activistes pro-séparatistes résonne ainsi comme une tentative d'intimidation à l'encontre du chef de gouvernement sortant, accusé d'avoir tourné le dos durant son mandat à la tête de l'exécutif à la supposée "cause sahraouie" au profit de la position marocaine.
Source: le 360
Si la gauche espagnole parvient au pouvoir, le Maroc peut craindre la perte d'un affidé et qu'une nouvelle donne lui sera opposée.
Le 26 juin à venir, tous les dangers pour la dictature immonde marocaine?
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Un meeting électoral tenu à Grenade par le chef du Parti populaire, Mariano Rajoy, a failli tourner au pugilat à cause d'une horde d'activistes espagnols pro-Polisario. Les partisans du chef de gouvernement sortant ont répliqué à cette provocation.
Un incident fâcheux est survenu alors que le chef du Parti populaire espagnol (PP), Mariano Rajoy, était en meeting à Grenade en perspective des nouvelles législatives prévues ce 26 juin. Selon l'agence Europa Presse, une horde d’agitateurs à la solde du Polisario a pris de court le chef de gouvernement sortant et ses partisans en brandissant, mardi après-midi dernier, le fanion de la pseudo-«RASD» et en hurlant des slogans genre «L’Espagne responsable», «l’Espagne coupable»…
Des slogans auxquels les partisans de Rajoy ont répondu par d’autres «Rajoy amigo, Granada esta contigo» (Rajoy, notre ami, Grenade est avec vous).
L’incident a failli tourner à l’affrontement n’eût été l’intervention de la police et des gardes du corps du chef du gouvernement sortant Mariano Rajoy, victime d’une violente agression de la part d'un jeune alors qu'il était en pleine campagne électorale le 14 décembre 2015.
La sortie actuelle des activistes pro-séparatistes résonne ainsi comme une tentative d'intimidation à l'encontre du chef de gouvernement sortant, accusé d'avoir tourné le dos durant son mandat à la tête de l'exécutif à la supposée "cause sahraouie" au profit de la position marocaine.
Source: le 360
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