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Algérie, la guerre continue entre le clan Bouteflika et Issad Rebrab

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  • Algérie, la guerre continue entre le clan Bouteflika et Issad Rebrab

    La nomination de Mohamed Loukal à la tête de la Banque d'Algérie n'est pas une bonne nouvelle pour Issad Rebrab, l'homme d'affaires le plus riche en Algérie.

    Par Nicolas Beau - 17 juin 2016


    Issad Rebrab fait l’objet d’objet d’une enquête diligentée par la Banque d’Algérie sur les relais bancaires qui lui permettent de transférer des devises à l’étranger. Selon nos informations, le nouveau patron de la banque d’Algérie a été missionné par des “officines” proches du Palais d’El-Mouradia pour enquêter sur les relations qu’entretient Rebrab avec la filiale algéroise de la banque jordanienne Housing Bank. Le directeur de cette Banque, Houcine Hannachi, est considéré comme étant l’un des banquiers les plus proches d’Issad Rebrab.
    Selon nos sources, ce banquier accorde des facilités considérables pour permettre à Rebrab de réaliser ses opérations à l’international. En plus, le fils de ce banquier, Fahmi Hannachi, directeur de l’Arab Banking Corporation (ABC) à Paris, est l’autre maillon important de ces relais bancaires avec lesquels travaillent Issad Rebrab pour effectuer ses investissements à l’étranger.
    L’homme qui dérange
    Ces relais se retrouvent dans le viseur de la Banque d’Algérie qui sera donc instrumentalisée pour attaquer, une fois encore, l’homme d’affaires qui dérange le clan présidentiel d’Abdelaziz Bouteflika. Le patron de Cevital se retrouvera prochainement avec sur le dos plusieurs commissions d’enquêtes dirigées par la Banque d’Algérie. D’après nos sources, celle-ci va s’intéresser de près à Natixis Algérie. La filiale algérienne de la banque française travaille beaucoup avec le groupe CEVITAL et entretient aussi des relations privilégiées avec Issad Rebrab. Dans l’establishment de cette banque, on retrouve le fils d’un ancien haut responsable politique algérien très proche de Rebrab. A travers ces enquêtes et ces pressions, les adversaires de Rebrab veulent empêcher le groupe Cevital de poursuivre son développement à l’étranger où il gagne en influence. Il est également question de l’empêcher de trouver des crédits pour financer ses projets en Algérie.
    La guerre entre Issad Rebrab et la Présidence n’est pas prête de se terminer.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Un onzième commandement typiquement algérien : Tu ne travailleras point!
    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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    • #3
      salam! faut arreter avec rebrab c est de bouillie servie par l etat pur propagande !l affaire khalifa est dans les memoires!!

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      • #4
        Voilà encore une preuve, s'il en faillait encore une ! pourquoi notre bled ne décollera jamais.

        Dans n'importe quel pays, un type comme rebreb serait intouchable car ce n'est pas seulement parce qu'on le dit le plus riche, mais surtout parce qu'il est le premier employeur d'un pays qui en a bien besoin !

        Eh bein non, en algérie, seules les vindictes et autres popotes internes comptent. Il faut d'abord satisfaire les égos, le pays, disait-on, est riche, il s'en accommodera.

        Le pays est de moins en moins "riche" et un certain adn maléfique reste profondément ancré dans beaucoup trop de mauvais esprits.
        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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