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arabie saoudite: avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant

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  • arabie saoudite: avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant

    L’émir Turki al-Fayçal veut marier la raison des Arabes à l’argent des Juifs.

    Les contacts israélo-saoudiens se font plus fréquents, et surtout plus ostentatoires. Mais toujours entre des ex-responsables des deux parties.

    Vendredi dernier, ce sont l’ancien chef des renseignements saoudiens, l’émir Turki al-Fayçal et l’ancien conseiller de la sécurité national israélienne le général à la retraite Yaacov Amidor qui se sont entretenus, lors d'une rencontre organisée par le think-tank américain pro israélien l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient.

    Comme d’habitude, il a été question de l’Iran, promu au rang d’ennemi numéro un aussi bien du royaume wahhabite que de l’entité sioniste. « L’Iran est notre principale préoccupation », a répété encore une fois le responsable israélien, rappelant que l’Iran pourrait très bien devenir un jour une puissance nucléaire, « ce que nous ne permettrons pas, avec ou sans l’aide des Américains », a-t-il averti.

    Devant le responsable saoudien, le général israélien a également évoqué la menace que constitue le Hezbollah pour l’entité sioniste : « les Iraniens continuent d’aider le Hezbollah qui possède plus de 100 mille missiles et roquettes, dont certains qui sont ultra précis, pouvant menacer le cœur d’Israël », a-t-il dit.
    Amidor n’a pas omis de réitérer ce que les responsables israéliens ne se lassent de répéter que « la prochaine guerre avec le Hezbollah sera extrêmement destructrice ».

    Et pour creuser davantage le clivage entre le monde arabe et la République islamique, le général s’est mis à faire des propositions alléchantes, du moins pour l’Arabie : « Il y a de fortes chances avec l’émergence d’une nouvelle Ligue arabe qu’Israël puisse aider l’Arabie dans ses efforts de trouver des alternatives au pétrole, pour soutenir son économie », a-t-il proposé.

    La réaction du responsable saoudien à cette proposition n'est pas bien explicitée mais ce dernier a eu des propos tenus pour la première sur "la nécessité de marier la raison arabe avec l’argent juif ».

    « J’ai toujours dit au public juif qu’avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant. Pensez aux choses qui peuvent être réalisées dans les domaines scientifiques, technologiques et dans les questions humanitaires et dans beaucoup de choses qui ont besoin d’être revues », a dit l’émir saoudien.

    Sachant que cette équation est à l’ origine une suggestion israélienne, mais formulée inversement. Elle prônait un mariage entre l’argent des Arabes (ou le prétrole ) et l’intelligence des Juifs et était constamment lancée aux dirigeants politiques arabes pour les persuader de faire la paix avec Israël. L'émir saoudien doit faire partie de ceux qui l'ont souvent entendue.

    Suggèrant que les Arabes ont de l’argent sans intelligence, elle peut avoir blessé l'amour propre de ce prince saoudien. En tout cas, en rendant la balle, il semblait vouloir aplanir les obstacles qui entravent un accord qui ne devrait plus tarder.

    almanar.
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    L’émir Turki al-Fayçal confond Juifs et Arabes
    Cet émir doit être ou dyslexique ou doit manquer de raison. Parler de la raison arabe et de l’argent des Juifs est d’une totale incongruité. Cela sous-entend que les Juifs manquent de raison là où tout démontre du contraire, et que les Arabes manquent d’argent alors que l’Arabie Saoudite vient de lancer le plus grand fond souverain du monde avec 2.000 milliards de dollars.

    Face à leurs échecs répétés et au succès d’Israël et des israélites certains arabes commencent enfin à se poser des questions sur ce qui ne va pas chez eux. En matière d’analyse, ils ont encore beaucoup de chemin à parcourir. Vu ce qu’ils nous ont brillamment démontré ces dernières années,- depuis en fait qu’ils sont devenus libres -, on a du mal à trouver une raison d’espérer en la matière. Leur goût pour la mort, surtout celle des autres, est loin d’être une marque de raison. Les millions de morts qui trouvent leur justification dans l’islam nous poussent à penser que ce n’est pas une simple adaptation qu’il faut engager, mais qu’une refonte totale est nécessaire, voire une réécriture du Coran.

    Il semblerait que dans la masse, certains commencent à comprendre l’intérêt qu’aurait pour eux de se rapprocher des Juifs. Les succès des uns et les échecs récurrents des autres finissent par interpeller.

    C’est dans ce contexte que des rapprochements s’opèrent, d’autant que la prise de conscience face aux chimères entretenues depuis près d’un siècle, oblige maintenant à prendre en compte la réalité. Depuis des millénaires les tentatives de destruction d’Israël ont été vouées à l’échec. Après plus d’un siècle de conflit, qui voit l’émergence d’une superpuissance régionale (Israël) et l’auto-destruction des régimes arabes victimes d’un conflit intra religieux, il était grand temps qu’une prise de conscience ait lieu.

    Ce que l’on appelle la démocratie, ne se résume pas au droit de vote. C’est avant tout accepter de prendre en compte la réalité objective tel qu’elle émane du ressenti de tous les citoyens. Les régimes totalitaires transfigurent la réalité, via la propagande. Les démocraties acceptent le jeu de la vérité au travers des expressions libres et contradictoires.

    Le printemps arabe, qui un temps a fait la part belle au dogmatisme, et au totalitarisme religieux sera obligatoirement vaincu, car il porte en son sein les germes de sa propre déchéance. Tout mensonge n’est qu’illusion, puisqu’il n’est pas réalité. Le réveil arabe va donc être douloureux, voire destructeur, car tout l’édifice sur lequel se fonde cette identité risque de s’écrouler.

    Moshé COHEN SABBAN
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      Turki al-Fayçal: J’ai toujours dit au public juif qu’avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant.
      Turki al-Fayçal s'est mal exprimé. Il voulait sûrement dire: qu’avec les cerveaux juifs et l’argent des arabes nous pouvons aller de l’avant.

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      • #4
        Des Cerveaux arabes ?? Où a-t-il pu dénicher ça ??
        Dernière modification par mage, 17 juin 2016, 14h38.
        Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

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        • #5
          salam! le cerveaux arabe est incroyablement extraordinaire mais ils l utilisent pas comme il faut dommage!!

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          • #6
            vous moquez pas les gars , les cerveaux des arabes sont exceptionnels et rares ......... des cerveaux vides prêts à emmagasiner de l'info
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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            • #7
              arabie saoudite: avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant
              ce que dit les saoudiens ca me fait penser a ce que dit leur enfants abandonné et ne cesse de le répéter, tellement veulent croire que c'est ca
              المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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              • #8
                Israël et l'Arabie saoudite : l'alliance qui ne dit pas (encore) son nom

                Depuis plusieurs mois, Israël et l’Arabie saoudite opèrent en toute discrétion un rapprochement stratégique, encouragés par leur détestation commune de l’Iran et un contexte géopolitique favorable. Qu’est-ce qui empêche encore ces anciens ennemis de révéler leurs nouveaux liens ? Et jusqu’où iront-ils, sachant que la question palestinienne pourrait les stopper ou, au contraire, couronner leur alliance historique ?



                le « rêveur de Riyad »

                « Laissez-moi rêver. Imaginez que je puisse monter dans un avion à Riyad, voler directement jusqu’à Jérusalem, prendre un bus ou un taxi, aller au Dôme du Rocher ou à la Mosquée al-Aqsa, participer aux prières du vendredi, puis visiter le Mur occidental et l’Eglise du Saint-Sépulcre… Et quel plaisir ce serait de pouvoir inviter non seulement les Palestiniens, mais aussi les Israéliens à venir me rendre visite à Riyad… Imaginez juste comment le commerce, la médecine, la science, l’art, la culture pourraient se développer entre les deux peuples ».

                Cette version israélo-saoudienne du I have a dream de Martin Luther King n’est pas le message de paix d’un doux rêveur, mais la tribune publiée en 2014 dans Haaretz par le prince Turki bin Faisal al Saoud, ancien ambassadeur de l’Arabie saoudite à Londres et Washington, qui fut pendant plus de vingt ans le directeur du renseignement saoudien. Représentant le Royaume wahhabite à l’apogée de sa puissance militaire et pétrolière, du temps où l’Arabie saoudite était le plus hostile adversaire des Israéliens tout en étant le plus solide allié des Américains, son appel trouve aujourd’hui un écho favorable en Israël, dans un Moyen-Orient en plein chaos et alors qu’une nouvelle génération arrive au pouvoir à Riyad.


                Un alignement des planètes exceptionnel
                A l’origine de ce changement de perspective : l’accord nucléaire de juillet 2015 qui, en signant le retour de l’Iran sur la scène internationale, a rebattu les cartes au Moyen-Orient. Saoudiens et Israéliens se sont opposés à l’accord, en vain. Marginalisés dans leur relation spéciale avec Washington à mesure que le régime des Ayatollahs reprenait langue avec l’Administration Obama, ils s’inquiètent désormais des menaces que la fin de l’embargo pétrolier et la levée des sanctions économiques contre Téhéran font peser sur eux.
                Leur crainte est que l’Iran utilise ses nouvelles ressources financières pour alimenter les groupes terroristes et autres organisations militaires. Pour Jérusalem, c’est la perspective de voir grandir la menace du Hezbollah sur le front nord et celle du Hamas à Gaza. Pour Riyad, la certitude de continuer à livrer indirectement bataille contre sa rivale chiite dans des guerres périphériques comme au Yémen et en Syrie. Des heurts ont déjà eu lieu contre des représentations saoudiennes en Iran, qui ont poussé Riyad à rompre en janvier ses relations diplomatiques avec Téhéran.
                Un temps déstabilisé par la mort du roi Abdallah et l’arrivée au pouvoir de Salmane en janvier 2015, le royaume mène aujourd’hui une politique active sous l’impulsion de l’ambitieux ministre de la Défense, le prince Mohammed ben Salman. A 30 ans, le fils du souverain, deuxième dans l’ordre de succession au trône, en est en fait le premier prétendant. Et peut-être est-il déjà le vrai maître de Riyad. Pour preuve, son plan national « Vision 2030 », dévoilé en avril 2016, qui prévoit des réformes socio-économiques profondes afin de réduire la dépendance de l’Arabie au pétrole et l’adapter au monde moderne. En témoigne aussi son refus de geler la production pétrolière après le retour de l’Iran sur le marché, et son entretien le 17 juin à la Maison-Blanche, où il a exhorté Obama à mener une politique plus agressive contre Bachar al-Assad, le protégé de Téhéran. « Mohammed ben Salman est le prince de la guerre et du pétrole », selon l’historien du régime Madawi Al-Rasheed. Une critique qui ne serait pas pour déplaire aux Israéliens.


                « On voit un grand moment stratégique apparaître avec des planètes alignées comme elles ne l’ont jamais été depuis l’émergence du Moyen-Orient moderne à la fin de la Seconde Guerre mondiale », assure le directeur du ministère israélien des Affaires étrangères Dore Gold. Face au réveil de la puissance perse et à la formation d’un arc chiite -Irak, Syrie, Liban-, l’Arabie saoudite et les pays sunnites de la région se retrouvent alliés objectifs d’Israël.




                La diplomatie du secret
                En coulisses, Israël s’emploie à concrétiser cette entente stratégique. Un travail de longue haleine, entrecoupé de succès éclatants. Comme cette poignée de main historique à Washington, en juin 2015, entre Dore Gold et Anwar Eshki, proche conseiller du roi saoudien. Ou encore l’annonce de l’ouverture d’une représentation israélienne aux Emirats Arabes Unis pour siéger dans l’Agence internationale pour les énergies renouvelables. Les officiels israéliens s’y pressent déjà et des vols réguliers Tel-Aviv-Abu Dhabi ont été ouverts.
                Le rétablissement des relations israélo-égyptiennes, au printemps, facilite les manœuvres. De fait, Israël encourage la bonne entente entre les deux mastodontes sunnites.
                Lors de sa visite au Caire, le 7 avril dernier, le roi Salman a signé une quinzaine d’accords, dont le transfert de l’Egypte à l’Arabie saoudite des deux îles de la mer Rouge, Sanafir et Tiran, éminemment stratégiques, car elles contrôlent l’accès aux ports d’Aqaba et Eilat. Or, cet accord a été approuvé par Israël qui a obtenu par écrit des garanties saoudiennes concernant la libre circulation de ses navires. Le consentement israélien est « la partie émergée de l’iceberg des fascinants pourparlers secrets qui ont lieu », affirme Yossi Melman, spécialiste des questions de Défense au Maariv. De là à officialiser l’alliance secrète, il n’y a qu’un pas… que les Arabes ne sont pas prêts de franchir. Selon l’Arab Opinion Index de 2016, ils sont 67% à considérer Israël et les Etats-Unis comme la pire menace pour la région, tandis que 85% s’opposent à la reconnaissance de l’Etat juif. Une tendance qui pourrait s’inverser en cas de discussion sur l’Initiative arabe.



                L’initiative de paix arabe
                Le projet présenté en 2002 par l’Arabie pour résoudre le conflit israélo-palestinien n’avait jamais disparu des radars. S’il ressort opportunément en réaction à l’initiative française (lire notre encadré), il pourrait bien satisfaire toutes les parties : les Palestiniens, qui obtiendraient enfin leur Etat, parrainé par la Ligue arabe ; les Saoudiens et leurs alliés, dont l’alliance jugée ‘contre nature’ avec l’Etat juif trouverait là une compensation ; et enfin Israël, qui gagnerait en échange la reconnaissance diplomatique des Etats arabes et sa normalisation au Moyen-Orient.
                Benjamin Netanyahou a déjà annoncé qu’il était prêt à en discuter certains « éléments positifs », mais pas ceux concernant le retrait israélien du Golan ou le retour des réfugiés. Il faut dire que sa marge de manœuvre est mince. A la tête du gouvernement le plus à droite de l’Histoire, Netanyahou se retrouve otage des extrémistes qu’il a lui-même appelés au pouvoir. Le ministre et leader du Foyer juif Naftali Bennett menace ainsi de dynamiter la coalition en cas de reprise des pourparlers. Et le 15 juin, 22 députés ont signé une pétition contre l’Initiative arabe, parmi lesquels la vice-ministre des Affaires étrangères et des membres du Likoud.


                Si l’alliance israélo-saoudienne dépend des concessions que chacun est prêt à faire sur la question palestinienne, celle-ci pourrait être son couronnement. Ou son tombeau, suggère l’activiste Youssef Munayyer, selon lequel « Israël ne sacrifiera pas l’occupation pour l’Arabie saoudite ». Reste que des voix s’élèvent pour une coopération raisonnée avec les Saoudiens. « Il n’est pas nécessaire d’attendre une révélation divine ni d’être Einstein pour savoir que la paix passe par deux Etats, des échanges [de territoires], une reconnaissance réciproque et un engagement des deux parties », a déclaré Yaakov Amidror, ex-conseiller à la Sécurité de Netanyahou. C’était le 5 mai dernier à Washington, aux côtés du prince Turki bin Faisal, le « rêveur de Riyad ».

                cc actu israel


                Media Analysis of the Meeting Between Prince Turki Al-Faisal and General Amidror


                المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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                • #9
                  Inversement de ce qu'à dit le a3rab bédouin, entendu de la bouche d'un autre con, en l’occurrence Hassan 2 : el abqariya al yahoudia wal mal el arabi ...
                  « le génie juif et l'argent arabe».
                  Qu'ont-ils ces pouilleux à s'accoter sur les juifs !
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #10
                    arabie saoudite: avec les cerveaux arabes et l’argent des juifs nous pouvons aller de l’avant
                    C'est une éventualité envisageable et même probable , dans un proche avenir , mais il faut renverser les rôles ; le titre du topique est mal disposer .

                    Il faut dire plutôt le contraire ; et c'est une évidence qui saute aux yeux ( moi personnellement je l'ai souvent évoqué sur ce site même ) , avec l'argent des bédouins et les CERVEAUX des JUIFS , ces derniers serons les maitres de la destiné du monde ...

                    Il faut croire qu'ils le sont déjà à bien des égards ! ... , et puis ces bédouins arabes pourrons toujours invoquer que après tout ils sont frères de sang .
                    Dernière modification par Arezkii, 24 juillet 2016, 22h46.

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                    • #11
                      Pendant ce temps là, le prosélytisme extrémisme fanatisme religieux des bédouins les Al Saoud se porte très bien.

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