Annoncée à de nombreuses reprises, l’introduction du paiement électronique en Algérie devrait prendre encore du temps. Ce jeudi, Iman Houda Feraoun a, une nouvelle fois, fourni des explications laborieuses sur le dossier, rejetant une part de la responsabilité sur la Banque d’Algérie.
Selon la ministre, toutes les transactions par Internet sont à l’arrêt en Algérie en raison de l’absence de la certification électronique, rappelant que le projet de loi relatif à la certification électronique « sera présenté prochainement au Gouvernement » rapporte l’agence APS. La certification électronique sera introduite durant l’année prochaine, sans donner de date, a précisé Mme Feraoun.
La ministre a rappelé également que le paiement électronique nécessite l’aval de la Banque d’Algérie. Elle a précisé que son département aura cet aval de la banque centrale avant la fin de l’année en cours pour commencer les transactions relatives aux paiements de factures et de mandats, dans un premier temps.
Iman Houda Feraoun a expliqué que la non obtention de cette autorisation par le ministère est due au vide juridique régissant la certification et le commerce électroniques. Autrement dit, la Banque d’Algérie doit se baser sur des textes que le gouvernement n’a jamais présentés pour une raison qui reste mystérieuse.
En attendant, l’absence de paiement électronique continue de pénaliser de nombreux secteurs mais surtout de favoriser l’informel.
TSA
Selon la ministre, toutes les transactions par Internet sont à l’arrêt en Algérie en raison de l’absence de la certification électronique, rappelant que le projet de loi relatif à la certification électronique « sera présenté prochainement au Gouvernement » rapporte l’agence APS. La certification électronique sera introduite durant l’année prochaine, sans donner de date, a précisé Mme Feraoun.
La ministre a rappelé également que le paiement électronique nécessite l’aval de la Banque d’Algérie. Elle a précisé que son département aura cet aval de la banque centrale avant la fin de l’année en cours pour commencer les transactions relatives aux paiements de factures et de mandats, dans un premier temps.
Iman Houda Feraoun a expliqué que la non obtention de cette autorisation par le ministère est due au vide juridique régissant la certification et le commerce électroniques. Autrement dit, la Banque d’Algérie doit se baser sur des textes que le gouvernement n’a jamais présentés pour une raison qui reste mystérieuse.
En attendant, l’absence de paiement électronique continue de pénaliser de nombreux secteurs mais surtout de favoriser l’informel.
TSA
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