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Le programme de l’avion de combat de 5e génération russo-indien appelé Pak-Fa ou T50 est en voie de finalisation. Les Forces aérospatiales russes recevront les premiers chasseurs de cinquième génération T-50 (PAK FA) en 2017, a annoncé le commandant en chef des Forces, le général Viktor Bondarev. « Cinq chasseurs sont déjà au Centre d’Etat d’essai en vol, où ils subissent des tests, et à partir de 2017 ils seront mis en service au sein de nos troupes. Tout se passe comme prévu, il n’y a aucun retard ni changement, nous sommes même légèrement en avance », a indiqué M. Bondarev.
Selon des sources russes, l’Algérie figure parmi les premiers futurs acquéreurs de cet avion. Le directeur du centre for Analysis of stratégies and technologies (CAST), Ruslan Pukhov a récemment plaidé pour élargir le partenariat russo-indien à d’autres pays, en citant notamment l’Algérie, pour pouvoir diminuer le coût de la production en série de cet appareil : « Je pense qu’il est nécessaire aujourd’hui d’assurer à l’avance, non seulement le développement du T-50 dans le cadre du programme ACCG (nom d’exportation du PAK FA – des avions de chasse de cinquième génération) avec l’Inde, notre partenaire stratégique, mais aussi de le proposer à l’Algérie et au Vietnam, Les deux pays mènent une politique militaro-technique indépendante , et possèdent leurs propres fonds pour acheter des armes modernes. Une alliance avec ces deux pays, permettra de diminuer le cout de fabrication du T-50, et d’en faire un chasseur qui sera très répandu. »*
Si cette information se confirme, l’Algérie entrerait à l’horizon 2025 dans le club fermé des pays qui disposent d’un avion de combat de 5e génération. Ce serait un progrès incontestable dans le cadre de la dissuasion qui est au cœur de la politique de défense algérienne. Les observateurs restent cependant mitigés. Si une participation de l’Algérie au financement de la production du T50 pourrait lui permettre d’acquérir cet appareil à des conditions avantageuses, ils se demandent si la crise pétrolière ne risque pas de limiter la marge de manoeuvre du ministère de la défense nationale. Par ailleurs, les observateurs estiment que c’est dans ce cadre qu’il faut comprendre le récent intérêt de l’armée de l’air algérienne pour le chasseur-bombardier SU35 dont elle s’apprête à commander une dizaine d’exemplaires. Cet avion qui a bénéficié des derniers développements technologiques du T50 pourrait servir à préparer les équipages algériens au futur avion de 5e génération. ALGERIE SOLIDAIRE
Selon des sources russes, l’Algérie figure parmi les premiers futurs acquéreurs de cet avion. Le directeur du centre for Analysis of stratégies and technologies (CAST), Ruslan Pukhov a récemment plaidé pour élargir le partenariat russo-indien à d’autres pays, en citant notamment l’Algérie, pour pouvoir diminuer le coût de la production en série de cet appareil : « Je pense qu’il est nécessaire aujourd’hui d’assurer à l’avance, non seulement le développement du T-50 dans le cadre du programme ACCG (nom d’exportation du PAK FA – des avions de chasse de cinquième génération) avec l’Inde, notre partenaire stratégique, mais aussi de le proposer à l’Algérie et au Vietnam, Les deux pays mènent une politique militaro-technique indépendante , et possèdent leurs propres fonds pour acheter des armes modernes. Une alliance avec ces deux pays, permettra de diminuer le cout de fabrication du T-50, et d’en faire un chasseur qui sera très répandu. »*
Si cette information se confirme, l’Algérie entrerait à l’horizon 2025 dans le club fermé des pays qui disposent d’un avion de combat de 5e génération. Ce serait un progrès incontestable dans le cadre de la dissuasion qui est au cœur de la politique de défense algérienne. Les observateurs restent cependant mitigés. Si une participation de l’Algérie au financement de la production du T50 pourrait lui permettre d’acquérir cet appareil à des conditions avantageuses, ils se demandent si la crise pétrolière ne risque pas de limiter la marge de manoeuvre du ministère de la défense nationale. Par ailleurs, les observateurs estiment que c’est dans ce cadre qu’il faut comprendre le récent intérêt de l’armée de l’air algérienne pour le chasseur-bombardier SU35 dont elle s’apprête à commander une dizaine d’exemplaires. Cet avion qui a bénéficié des derniers développements technologiques du T50 pourrait servir à préparer les équipages algériens au futur avion de 5e génération. ALGERIE SOLIDAIRE
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