" Krim Belkacem considérait Ferhat Abbas trop bourgeois et Abane Ramdnane trop narquois" (Benjamin Stora).
Salut à tout le monde,
Vous-mêmes aurez constaté que la date du 19 juin n'a connu aucune célébration en Algérie malgré que Bouteflika- l'un de ses complices- soit au pouvoir. Est-ce une preuve qu'il s'agissait d'une erreur?
Hormis certains nostalgiques qui encensent encore Boumediène, faut-il en déduire que l'événement du 19 juin 1965 est définitivement enterré au même titre que son instigateur: le taciturne colonel?
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tant que nous serons vivants, nous nous battrons pour la vérité et contre la mystification. D’abord parce que c’est notre devoir. Ensuite parce que nous l’avons promis à Boumediène le jour où, avec feu Naït Mazi, nous avions titré l’édition spéciale sur sa mort (en format magazine avec couvertures couleurs) : «REPOSE EN PAIX BOUMEDIENE, NOUS CONTINUERONS TON ŒUVRE !»
Si nous n’avons pas les moyens de continuer son œuvre, stoppée et détruite par les revanchards, nous serons toujours là pour marteler nos vérités. Et quand nous ne serons plus là, d’autres hommes – ces jeunes qui boivent nos paroles quand nous parlons de cette époque ! — raconteront cette épopée avec moins de passion que nous, mais toujours avec la certitude qu’au-delà de ses insuffisances et de ses défauts, ce projet novateur a été l’occasion ratée pour édifier l’Algérie rêvée par les chouhada.
Source: Maâmar Farah in Soir d'Algérie
Salut à tout le monde,
Vous-mêmes aurez constaté que la date du 19 juin n'a connu aucune célébration en Algérie malgré que Bouteflika- l'un de ses complices- soit au pouvoir. Est-ce une preuve qu'il s'agissait d'une erreur?
Hormis certains nostalgiques qui encensent encore Boumediène, faut-il en déduire que l'événement du 19 juin 1965 est définitivement enterré au même titre que son instigateur: le taciturne colonel?
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tant que nous serons vivants, nous nous battrons pour la vérité et contre la mystification. D’abord parce que c’est notre devoir. Ensuite parce que nous l’avons promis à Boumediène le jour où, avec feu Naït Mazi, nous avions titré l’édition spéciale sur sa mort (en format magazine avec couvertures couleurs) : «REPOSE EN PAIX BOUMEDIENE, NOUS CONTINUERONS TON ŒUVRE !»
Si nous n’avons pas les moyens de continuer son œuvre, stoppée et détruite par les revanchards, nous serons toujours là pour marteler nos vérités. Et quand nous ne serons plus là, d’autres hommes – ces jeunes qui boivent nos paroles quand nous parlons de cette époque ! — raconteront cette épopée avec moins de passion que nous, mais toujours avec la certitude qu’au-delà de ses insuffisances et de ses défauts, ce projet novateur a été l’occasion ratée pour édifier l’Algérie rêvée par les chouhada.
Source: Maâmar Farah in Soir d'Algérie
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