(Agence Ecofin) - « Al-Sissi (photo) a récemment sollicité l’aide de Netanyahu pour la résolution du différend avec l’Ethiopie, à propos du barrage de Grand Renaissance. Cette décision a été motivée par l’intransigeance de l’Ethiopie et son refus face aux appels à la coordination de l’Egypte, à propos de la construction du barrage et des stations de retenue d’eau.». C’est ce qu’a révélé le journal Al-Araby Al-Jadeed.
Selon les sources du journal, cet appel au secours intervient après que l’Ethiopie a résisté aux pressions exercées par les pays arabes dont l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis. En effet, Addis-Abeba est persuadé que la réalisation de ce barrage est nécessaire pour la relève de son économie.
Israël est en effet l’un des principaux partenaires stratégiques de l’Ethiopie.
Toujours selon le media, les diplomates égyptiens s’inquiètent du fait que cette stratégie ne mène à un transfert des eaux du Nil vers Israël. « Israël peut jouer un rôle important dans la résolution de la crise, mais étant donné ses ambitions politiques et hydrauliques, il n’est pas de l’intérêt de l’Egypte de l’avoir comme médiateur des négociations puisqu’au demeurant, il reste un ennemi stratégique du pays.», a affirmé, à ce propos, au Al-Monitor, Mohamed Nasreddin Allam, un ancien ministre des ressources hydrauliques et de l’Irrigation.
Israël serait désireux de faire partie des pays du bassin du Nil.
Rappelons que l’Ethiopie construit actuellement sur le Nil le barrage de Grand Renaissance, d’une capacité de 6 000 MW. L’Egypte craint que l’infrastructure ne restreigne son accès à l’eau du fleuve qui est sa principale source d’eau potable. Une commission tripartite a été formée avec le Soudan pour choisir un cabinet qui déterminera si les craintes égyptiennes sont fondées.
Le barrage est déjà construit à 50% avec un financement mobilisé par le peuple éthiopien.
Selon les sources du journal, cet appel au secours intervient après que l’Ethiopie a résisté aux pressions exercées par les pays arabes dont l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis. En effet, Addis-Abeba est persuadé que la réalisation de ce barrage est nécessaire pour la relève de son économie.
Israël est en effet l’un des principaux partenaires stratégiques de l’Ethiopie.
Toujours selon le media, les diplomates égyptiens s’inquiètent du fait que cette stratégie ne mène à un transfert des eaux du Nil vers Israël. « Israël peut jouer un rôle important dans la résolution de la crise, mais étant donné ses ambitions politiques et hydrauliques, il n’est pas de l’intérêt de l’Egypte de l’avoir comme médiateur des négociations puisqu’au demeurant, il reste un ennemi stratégique du pays.», a affirmé, à ce propos, au Al-Monitor, Mohamed Nasreddin Allam, un ancien ministre des ressources hydrauliques et de l’Irrigation.
Israël serait désireux de faire partie des pays du bassin du Nil.
Rappelons que l’Ethiopie construit actuellement sur le Nil le barrage de Grand Renaissance, d’une capacité de 6 000 MW. L’Egypte craint que l’infrastructure ne restreigne son accès à l’eau du fleuve qui est sa principale source d’eau potable. Une commission tripartite a été formée avec le Soudan pour choisir un cabinet qui déterminera si les craintes égyptiennes sont fondées.
Le barrage est déjà construit à 50% avec un financement mobilisé par le peuple éthiopien.
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