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IDENTITÉ SÉFARADE ET LITTÉRATURE FRANCOPHONE AU XXE SIÈCLE PAR Elisabeth Schulz

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  • IDENTITÉ SÉFARADE ET LITTÉRATURE FRANCOPHONE AU XXE SIÈCLE PAR Elisabeth Schulz

    IDENTITÉ SÉFARADE ET LITTÉRATURE FRANCOPHONE AU XXE SIÈCLE

    A. Cohen, A. Memmi et N. Kattan

    Déconstruction et assimilation

    Elisabeth Schulz

    Cet ouvrage présente l'assimilation française des Juifs séfarades d'après la vision personnelle des écrivains Albert Cohen, Albert Memmi et Naïm Kattan, qui la transposent dans leurs romans respectifs Solal, La statue de sel et Adieu Babylone. Un mythe de l'errance juive y est déconstruit, la mythification de la France et celle de la femme volent conjointement en éclats tandis que la perte de la mère fait écho à la perte de la terre natale. Il ne reste alors qu'à reconstruire...
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Enrico Macias - Les séfarades

    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Saha Ftorkoum

      Les juifs d'Algérie n'ont jamais eu la même place que "l'arabe" (Berbères compris) auprès de la France. Dès le départ ils ont bénéficié du même traitement que les Français.

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      • #4
        Les enfants d'Yishmaël : Itinéraires séfarades maghrébins...

        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          @Prudence

          Saha Ftorkoum

          Les juifs d'Algérie n'ont jamais eu la même place que "l'arabe" (Berbères compris) auprès de la France. Dès le départ ils ont bénéficié du même traitement que les Français.
          Ce fut moins simple que cela.

          Ce n'est qu'en 1870 que l'administration coloniale va cesser de considérer les juifs algériens comme "indigènes" et qu'elle leur accorde la citoyenneté française, et il leur faudra encore une génération pour marquer une séparation réelle avec les "indigènes musulmans" et encore une ou deux autres pour s'intégrer vraiment dans la société européenne d'Algérie qui, en vérité, ne les a vraiment accepté que sur le tard.
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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          • #6
            Salam Harrachi..

            effectivement...
            Les juifs fréquentaient davantage les Algériens que les pieds noirs jusqu'à leur départ en 62.
            J'étais enfant, je n'ai jamais vu un pied noir chez nous, mais nos voisines juives étaient toujours là chez nous rendre visite.
            Je parle de Biskra

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            • #7
              @Bachi

              Salut mon vieux,

              J'imagine que c'était plus ou moins pareil dans le reste du pays ...
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #8
                je ne sais pas...
                mais 7enna lihoudia wallahi comme si elle était de la famille.
                Absolument rien à voir avec les rouamas

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                • #9
                  Enrico Macias - Les séfarades
                  Et maintenant on fait la promotion des assassins sur le forum ou quoi ?

                  Mai 1956 Constantine.

                  Commentaire


                  • #10
                    Et maintenant on fait la promotion des assassins sur le forum ou quoi ?

                    Mai 1956 Constantine.
                    vous êtes loin de la topic ....savais vous qu'a chaque ville et village d’Algérie il y a un juifs certain sont convertis a islam et d'autre en choisir de partir
                    Ils sont partis dans le silence
                    ils ont quitté la blanche colline
                    leur ville, leur cœur et leur origine
                    ils ont gardé les clés de la science
                    ils ont connu la déchéance
                    les San Benito et les bûchers
                    changé leur nom et leur destinée
                    calle Judía, rue de la Souffrance.

                    L'Espagne, l'Espagne
                    un amour fou
                    l'air de Tolède, un parfum de Cordoue
                    et leurs sourires cachent des soupirs
                    et leurs chansons rêvent de souvenirs.

                    Les Séfarades ont dans leur cœur
                    une terre d'exil, une terre natale
                    une langue sacrée, les pages de la Kabale
                    cuisine sucrée, salée par les pleurs.

                    L'Espagne, l'Espagne
                    un amour fou
                    l'air de Tolède, un parfum de Cordoue
                    et leurs sourires cachent des soupirs
                    et leurs chansons rêvent de souvenirs.

                    Les Séfarades adorent la fête
                    ils aiment rire mais ils ont peur
                    du mauvais oeil, du sort et du malheur
                    la paume des mains posée sur les têtes.
                    Ils chantent lavie, ils crient l'espoir
                    ils parlent plus fort lorsque vient le soir
                    pour oublier le désespoir
                    avec leurs yeux ils disent les histoires
                    de père en fils, c'est le fil rouge
                    de la mémoire qui vivre, qui bouge

                    Les Séfarades
                    dz(0000/1111)dz

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                    • #11
                      L'Espagne, l'Espagne
                      un amour fou
                      l'air de Tolède, un parfum de Cordoue
                      et leurs sourires cachent des soupirs
                      et leurs chansons rêvent de souvenirs.

                      Les Séfarades ont dans leur cœur
                      une terre d'exil, une terre natale
                      une langue sacrée, les pages de la Kabale
                      cuisine sucrée, salée par les pleurs.
                      dz(0000/1111)dz

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