C’est une bien vaine manière d’être à l’affût des mots, pour traiter des choses sérieuses frivolement. C’est le cas d’un article au titre emphatique « Quand le Parti de Ali BENFLIS demande à ce que l’Algérie soit respectée par ISRAËL», paru sur le site électronique « où va l’Algérie ». Un site qui n’a jamais aussi bien porté son nom, où va donc l’Algérie ?
L’auteur de l’article qui semble faire ses premiers pas dans la profession, a tenté de calomnier Sabria DEHILIS, chargée de communication à l’étranger du parti « Talai El Houriyet », pour avoir affirmé lors d’un débat contradictoire sur une télévision française que « Pour qu’un pays soit respecté par les autres nations, par les USA ou par Israël, il doit d’abord respecter son peuple ». Ces propos auraient choqué l’auteur de l’article qui s’est donné à cœur joie à une analyse sans queue ni tête.
Des perfides allusions pour accuser à demi – mot le président de Talai El Houriyet de sioniste. A son insu l’auteur de l’article a approuvé avec pédanterie un adage qui consiste à dire que celui qui aurait bonne vue dans l’obscurité n’aurait pas le pouvoir prochain de voir. Il a ravivé à son insu aussi et en blanc-seing, un souvenir honteux et dégradant qui a déshonoré toute une nation.
Qui aurait oublié le moment où Abdelaziz BOUTEFLIKA fraichement désigné à la tête de l’état par un régime mafieux serrant la main et s’entretenant longuement avec le premier ministre israélien Ehud Barak, aux funérailles de Hassan II ? Si pour les sionistes, Abdelaziz BOUTEFLIKA a brisé un tabou, pour les Palestiniens d’abord, les Algériens ensuite et le reste des peuples libres, il a commis un véritable sacrilège impardonnable s’ajoutant à mille et une humiliations.
Accuser, 17 ans plus tard, Talaie El Houriyet et à travers le parti la personne d’Ali Benflis de sioniste, revient à croire que les poules auront un jour des dents.
CNP NEWS
L’auteur de l’article qui semble faire ses premiers pas dans la profession, a tenté de calomnier Sabria DEHILIS, chargée de communication à l’étranger du parti « Talai El Houriyet », pour avoir affirmé lors d’un débat contradictoire sur une télévision française que « Pour qu’un pays soit respecté par les autres nations, par les USA ou par Israël, il doit d’abord respecter son peuple ». Ces propos auraient choqué l’auteur de l’article qui s’est donné à cœur joie à une analyse sans queue ni tête.
Des perfides allusions pour accuser à demi – mot le président de Talai El Houriyet de sioniste. A son insu l’auteur de l’article a approuvé avec pédanterie un adage qui consiste à dire que celui qui aurait bonne vue dans l’obscurité n’aurait pas le pouvoir prochain de voir. Il a ravivé à son insu aussi et en blanc-seing, un souvenir honteux et dégradant qui a déshonoré toute une nation.
Qui aurait oublié le moment où Abdelaziz BOUTEFLIKA fraichement désigné à la tête de l’état par un régime mafieux serrant la main et s’entretenant longuement avec le premier ministre israélien Ehud Barak, aux funérailles de Hassan II ? Si pour les sionistes, Abdelaziz BOUTEFLIKA a brisé un tabou, pour les Palestiniens d’abord, les Algériens ensuite et le reste des peuples libres, il a commis un véritable sacrilège impardonnable s’ajoutant à mille et une humiliations.
Accuser, 17 ans plus tard, Talaie El Houriyet et à travers le parti la personne d’Ali Benflis de sioniste, revient à croire que les poules auront un jour des dents.
CNP NEWS
Commentaire