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L’emprunt obligataire de l'Etat a rapporté 251 milliards DA depuis le mois d’avril

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  • L’emprunt obligataire de l'Etat a rapporté 251 milliards DA depuis le mois d’avril

    samedi 25 juin 2016 18:17

    L'emprunt obligataire de l'Etat a permis de drainer un montant de près de 251 milliards de dinars depuis son lancement en avril dernier, a appris l'APS auprès d'une source financière.

    La quasi-majorité de ces souscriptions a été enregistrée au niveau des agences bancaires et des compagnies d'assurances, alors que les trésoreries des wilayas ont collecté une part infime de l'ordre de 1%, ajoute la même source.

    Interrogée sur la cadence des souscriptions, la même source estime que ce niveau de fonds collectés constitue un "bon départ" et que dans le cas d'un maintien du même rythme durant les prochains mois, le bilan final devrait être appréciable.

    Lancé le 17 avril dernier, ce dispositif, baptisé "Emprunt national pour la croissance économique" (ENCE), a une durée de souscription de 6 mois (avril-octobre 2016).

    Les obligations sont assorties de deux taux d'intérêts fixés en fonction du délai de remboursement: les obligations de 3 ans avec un taux d'intérêt de 5% et celles de 5 ans avec un taux d'intérêt de 5,75%.

    Au lancement de cette opération, un seul type d'obligations avait été était émis d'une valeur de 50.000 DA chacune.

    Mais en début mai, deux autres catégories d'obligations ont été introduites: celles de 10.000 DA destinées notamment aux particuliers et celles d'un (1) million DA pour les gros épargnants.

    La souscription qui est ouverte aux particuliers, aux entreprises, aux établissements financiers comme aux différents organismes publics (caisses de retraite, de sécurité sociale...) se fait à travers les guichets de banques commerciales et de la Banque d'Algérie, bureaux de postes, compagnies d'assurances et trésoreries publiques.

    Près de 7.000 sites et centres de souscription ont été mobilisés à travers le territoire national pour accueillir les souscripteurs.

    La souscription à ce emprunt est proposée sous deux formes: titre nominatif ou titre au porteur (anonyme), alors que le mode de paiement se fait par chèque ou par cash ou par virement.

    Quant au mode de transmission des titres, ces derniers sont librement négociables et pourront être achetés et/ou cédés à des personnes physiques ou morales par voie de transaction directe ou par endossement par le biais d'intermédiaires légalement habilités.

    Le remboursement par anticipation des titres souscrits est possible, mais un souscripteur ne peut demander ce remboursement qu'après écoulement de la moitié de la durée globale du titre et après avis du Directeur général du Trésor.

    APS

  • #2
    Plus de 2 Milliards de dollars, c'est appréciable...
    Il serait intéressant d'avoir le montant des souscriptions de particuliers, leur nombre. On aurait alors une meilleure idée de la confiance du citoyen en l'économie algérienne ou peut-même la confiance au régime.

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    • #3
      salam tout le monde

      c'est très appréciable contrairement aux prévisions des spécialiste de zouj derham



      Vivement l'étape suivante, le retrait ou le remplacement d'un billet de banque de la circulation ( c'est une option qui est à sérieusement à l'étude)



      .
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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      • #4
        Et l'opération se poursuit !

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        • #5
          Je suis moins optimiste que vous et que l'APS.

          251 milliards de dinars après 3 mois (sur les 6 mois que doit durer l’opération) c'est absolument rien quand on sait que le déficit du trésor pour le mois de janvier et de février 2016 a été de 1 404 milliards de dinars et que le FRR n'en a plus pour longtemps.

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          • #6
            Effectivement. Selon les estimations, 60% à 70% de l'argent récolté provient des entreprises publiques (qui ne pourront de ce fait plus investir !) alors l'objectif initial était de bancariser l'argent de l'informel.

            Contrairement à l'APS, qui est dans son rôle de porte-parole de l'état (tout le monde il est beau!), j'estime que l’opération emprunt obligataire est un échec sur toute la ligne (à cause de la faiblesse des sommes récoltées compte tenu du déficit vertigineux du Trésor et de la nature même de cet argent qui est de l'argent public).

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            • #7
              Effectivement Spoutnik et hakimcasa. On est d'accord pour dire que c'est une démarche qui exhibe parfaitement la débilite de ce régime qui a été appliquée. Qui peut même leur valoir le prix Nabil d'eCONomie de l'université Houari Boumedine à Alger.

              L'objectif principal était de bancariser l'informel, ce qui n'a jamais été atteint puisque c'est la pléthore des entreprises publiques qui participent à cet emprunt, qui est censé, in fine, les financer dans leurs investissements, afin de dynamiser l’économie.

              Les clowns de Sellal and co pensaient créer ainsi un cercle vertueux d'enrichissement et création de richesses.

              .
              Dernière modification par Faceless, 26 juin 2016, 13h32.

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              • #8
                Le FCE récolte 150 milliards de dinars en une soirée
                29 JUIN 2016

                C'est un vrai téléthon organisé par le Forum des chefs d'entreprises qui a regroupé dans la soirée de mardi les différents patrons d'entreprises privées et publiques, en organisant une importante rencontre de mobilisation dédiée exclusivement à la promotion de l’emprunt obligataire national.

                Avec cette opération dit «très réussie», le FCE a pu mobiliser un montant «très important» en une soirée, comme en témoignent les différents participants à cet événements important pour «l'économie nationale» notamment en cette période de crise financière. Ainsi, plus de 400 participants ont rempli des souscriptions d’engagement.

                La rencontre en question qui a réuni les décideurs, les dirigeants d’entreprises privées et publiques ainsi que des experts, a été une occasion pour les intervenants d’expliquer la démarche de l’Etat et d’en débattre et, surtout, de lever des fonds. Le FCE, d'Ali Haddad, a d'ailleurs, considéré, qu’il est de son devoir de s’impliquer activement dans les activités de mobilisation pour une contribution massive à sa réussite.

                Sur ce point, le patron du FCE, a indiqué que «la conjoncture économique actuelle exige la cohésion de toutes les forces économiques et sociales de la Nation». Elle exige, selon lui, l’engagement de tous. «Il est de notre devoir de consentir des efforts pour la réussite de cet emprunt obligataire. Les chefs d'entreprise ne failliront pas et prendront leurs responsabilités en privilégiant les intérêts suprêmes de l’Algérie. Ils sont appelés à contribuer à l’effort national de mobilisation de ressources intérieures pour préserver une position extérieure équilibrée de notre pays», a-t-il estimé.

                «Aujourd’hui, vous devez démontrer à tous nos compatriotes que les chefs d’entreprise algériens sont de la trempe de ces citoyens courageux et responsables qui placent l’intérêt général au-dessus de toute considération personnelle», a-t-il précisé aux chefs d'entreprises. L’histoire, explique-t-il, retiendra que les opérateurs économiques algériens se sont mobilisés malgré la crise qui ne les a pas épargnés, malgré les nombreuses difficultés auxquelles ils font face quotidiennement.

                Boualam Djebbar, président de l'Abef a affiché, la mobilisation des institutions financières pour accompagner cet emprunt «important pour le développement de l'économie du pays». «Toutes les banques sont présentes à travers de véritables agences et points de ventes dans les différentes régions du pays», a-t-il dit avant d'ajouter que «les banques n'arrivent même pas à concurrencer l'offre du trésor. Donc c'est une opportunité à saisir pour toutes les entreprises».

                Même idée transmise par le président de l'UNEP, Lakhdar Rekhroukh, qui dira que les entreprises publiques ne peuvent répondre que favorablement à l'appel de l'Etat de participer en force à cet emprunt obligataire national. Le patron de l'UNEP a également fait un constat sur la situation financière du pays en rassurant que l'Algérie a encore un énorme potentiel de manne financière à exploiter. Il réaffirmera en fin le soutien total de son organisation patronale à l'emprunt obligataire national.

                Pour sa part Abdelmadjid Sidi Said, Secrétaire général de l'UGTA a qualifié cette opération de «véritable événement sociétal avant d'être financier». Selon lui, cette opération est une première du genre en Algérie qui s'inscrit dans la solidarité nationale. Avec cet emprunt, a-t-il dit, l'Algérie évitera d'aller à l'endettement extérieur.

                Les différents investisseurs que nous avons approchés, ont affiché leur satisfaction quant ce résultat enregistré déjà en une soirée. Ils étaient optimistes d'atteindre les 10 milliards de dollars, voire même les dépasser avant le mois d'octobre prochain.

                Noreddine Izouaouen

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                • #9
                  FCE Une soirée de 3 heurs 152 milliards de DA (plus de 136 millions de dollars)

                  Commentaire


                  • #10
                    concernant les 1,5 G$ du FCE, il ne s'agit que de promesses pour le moment...

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                    • #11
                      Effectivement Bachi. Ils n'allaient pas distribuer les bons durant la soirée.

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                      • #12
                        Pour ce qui est des promesses de souscription provenant des adhérents du FCE, il a fait savoir que le montant de 10 milliards de DA initialement visé par cette organisation patronale "a été largement dépassé". "Nous allons dévoiler l’origine et le montant de chaque engagement", a-t-il promis, affirmant que le groupe BTPH qu'il dirige a, lui seul, fait un engagement de quatre (4) milliards de dinars.
                        Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Si on en arrive au telethon c'est que la situation est loin d'être reluisante... Elle contraste énormément avec les discours de certains.

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                        • #13
                          Djezzy s'associe à l'initiative du FCE et contribue avec 2 milliards de DZD à l'emprunt obligataire
                          HuffPost Algérie
                          Publication: 29/06/2016

                          Djezzy a annoncé sa contribution à l’opération du Grand emprunt national obligataire à hauteur de 2 milliards de dinars.

                          Sponsor Télécom à la soirée organisée le 28 juin 2016 à l’hôtel El Aurassi par le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE), Djezzy participe ainsi à "la mobilisation de nouvelles sources de financements internes pour soutenir des projets d’investissements productifs", lit-on dans le communiqué du leader de la téléphonie mobile en Algérie.

                          En tant qu’entreprise algérienne, Djezzy, affirme-t-on de même source, "ne peut rester à l’écart de cet effort d’autant que le pays a, aujourd’hui, besoin de l’ensemble de ses acteurs économiques ainsi que des particuliers afin de procéder, dans une conjoncture difficile, à une transformation significative de l’économie du pays".

                          Une croissance que Djezzy veut aussi "soutenir en devenant l’opérateur numérique de référence en Algérie à travers le développement des nouvelles technologies numériques en complétant d’ici début décembre le déploiement de la 3G et en lançant la 4G."

                          L’engagement de Djezzy,conclu-t on, découle de "la profonde conviction que l’entreprise doit être créatrice d’emplois et de richesse, et doit être plus que jamais, au cœur de l’économie et du développement du bien commun."

                          Commentaire


                          • #14
                            L’engagement de Djezzy,conclu-t on, découle de "la profonde conviction que l’entreprise doit être créatrice d’emplois et de richesse, et doit être plus que jamais, au cœur de l’économie et du développement du bien commun."

                            Jawzia


                            C'est surtout que Djezzy appartient a l'Etat algerien en majorite et que son patron ne peut faire autrement que d'obeir aux instructions de sa ministre de tutelle ! oeilfermé

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                            • #15
                              Un emprunt national avec de l'argent public !

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