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Tourisme spatial c'est enfin parti

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  • Tourisme spatial c'est enfin parti

    Une niche sans avenir ? Erreur: les projets se multiplient pour mettre de riches clients sur orbite.

    28 avril 2001, le premier touriste de l’espace, Dennis Tito, s’envolait pour une semaine autour de la Terre à bord de la mission Soyouz TM-32. Prix du billet de ce riche Californien : 20 millions de dollars. A l’époque, l’agence spatiale russe voyait dans l’émergence de ce tourisme un bon moyen de renflouer ses caisses après la dislocation du bloc communiste. Depuis, une demi-douzaine d’autres riches passionnés ont fait le voyage, pour des sommes équivalentes. Mais la fièvre semblait retombée. D’autant que, le 31 octobre 2014, une navette de la compagnie Virgin Galactic s’était désintégrée lors d’un vol d’essai, tuant l’un des pilotes. Pas de quoi refroidir Richard Branson, pourtant, le charismatique patron de Virgin : le 19 février, il a présenté une nouvelle mouture de son appareil, validant la poursuite du programme. Et selon le représentant français de Virgin Galactic, 700 candidats originaires de 43 pays différents se sont déjà inscrits pour un vol, dont 400 environ ont payé 200.000 dollars (le prix est depuis passé à 250.000).

    Outre Virgin Galactic, on estime qu’une vingtaine de sociétés (publiques et privées) dans le monde sont en mesure d’envoyer des engins dans l’espace. Les rivales les plus sérieuses de la navette de Branson ? Les fusées SpaceX, de Tesla, la société d’Elon Musk, et le lanceur New Shepard, de Blue Origin, créée par Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon.

    Taxis pour astronautes

    D’autres gros acteurs sont sur les rangs : Boeing travaille à la mise au point de «taxis spatiaux», qui devraient acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale, mais aussi des touristes. De son côté, l’Agence fédérale spatiale russe a prévu d’investir plus de 150 millions d’euros dans la conception d’un nouveau lanceur d’ici 2025. Autre projet : le Soar (Sub-Orbital Aircraft Reusable), de Swiss Space Systems, conçu à la fois pour le lancement de petits satellites et pour le tourisme spatial. Originalité : il décolle sur le dos d’un avion, en allumant son propre moteur une fois en vol. Un peu sur le même modèle, le Lynx de XCor est un avion hypersonique à deux places qui propose des vols plus abordables : «seulement» 150.000 dollars le billet.

    Plus insolite : plusieurs projets d’ascenseurs sortent des cartons. Outre celui du japonais Obayashi (image ci-dessus), le canadien Thoth Technology a imaginé une tour de 20 kilomètres de haut, au sommet de laquelle navettes ou fusées pourraient s’élancer d’une plate-forme, économisant 30% de carburant par rapport à un décollage terrestre.

    L'ascenseur pour l'espace, un projet pas si fou

    Lancement en 2050. C’est ce qu’affirme la société japonaise Obayashi, qui travaille à la mise au point de câbles en nanocarbone.

    Un voyage d’une semaine. Des navettes, tirées par un gigantesque contrepoids, circuleraient à 200 km/h, embarquant 30 personnes.

    Un câble d’au moins 36.000 km. Pour rester tendu grâce à la force centrifuge, le câble doit aller au minimum jusqu’à l’orbite géostationnaire.

    Vol parabolique

    Enfin, pour 6 000 euros, vous aurez un avant-goût d’espace sans quitter l’atmosphère avec le programme Air Zero G d’Airbus : un vol parabolique (un A310 alternant des manœuvres de montées et de descentes espacées de paliers) offrant douze fois vingt-deux secondes d’apesanteur.

    capital

  • #2
    je suis prêt à cotiser pour envoyer Boutef dans l'espace héhéhé

    mais sans billet de retour hein !

    Commentaire


    • #3
      je suis prêt à cotiser pour envoyer Boutef dans l'espace héhéhé
      C'est trop cher ,Bachi

      Le chemin le plus court est la ligne droite .....Takachouf oblige
      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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