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Nouveau coup dur pour la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (Samir). Une cargaison de pétrole brut stockée dans un navire-citerne au large des côtes du Maroc pendant près d’un an devra finalement trouver un autre repreneur, après que l’entreprise de raffinerie marocaine n’a pas réussi à conclure un accord avec la Banque islamique de développement (BID), écrit l’agence Reuters.
L’organisme financier panislamique se voit en effet dans l’impossibilité d’accorder à la Samir un titre de propriété dans le cadre d’un contrat de financement des importations de pétrole brut de l’unique raffineur du royaume, en raison de ses dettes colossales (44 milliards de dirhams au total), d’après une source proche du dossier. Un acte officiel sans lequel la société ne peut procéder au déchargement de la cargaison.
Le pétrolier aurait ainsi levé l’ancre en direction du nord-ouest de l’Europe selon ses données de suivi. Il avait accosté au large de Mohammedia en août 2015, avec à son bord 1 million de barils de pétrole brut.
Ya-biladi
L’organisme financier panislamique se voit en effet dans l’impossibilité d’accorder à la Samir un titre de propriété dans le cadre d’un contrat de financement des importations de pétrole brut de l’unique raffineur du royaume, en raison de ses dettes colossales (44 milliards de dirhams au total), d’après une source proche du dossier. Un acte officiel sans lequel la société ne peut procéder au déchargement de la cargaison.
Le pétrolier aurait ainsi levé l’ancre en direction du nord-ouest de l’Europe selon ses données de suivi. Il avait accosté au large de Mohammedia en août 2015, avec à son bord 1 million de barils de pétrole brut.
Ya-biladi