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Conçu pour être porté par un peloton d’infanterie, le BattleHawk est un drone d’environ 2.5 kilos pliable avec une caméra vidéo intégrée, le tout emballé dans un tube de lancement à ressort. Le BattleHawk peut rester en l’air 30 minutes et peut être contrôlé jusqu’à cinq kilomètres.
Le BattleHawk embraque une charge fragmentation de 40 mm qui explose au contact de la cible. Il est conçu pour des «cibles vulnérables», un représentant de la compagnie a dit qu’il est destiné à réduire les «dommages collatéraux» lorsqu’il explose.
Ainsi, par exemple, si une équipe est sous le feu d’une position cachée sur une colline, elle pourrait déployer un BattleHawk au-dessus et derrière la couverture, localiser l’attaquant, puis plonger tranquillement à environ 60 miles à l’heure pour le tuer.
Textron Defense Systems n’a pas encore vendu le BattleHawk à personne, mais espère remporter un contrat pour fournir l’armée américaine. La société commercialise également une version « non-militarisé » du drone à des fins de surveillance pures; moins la grenade, le BattleHawk désarmé offre une autonomie prolongée et peut être récupéré pour être réutilisé.
Cependant, l’armée dispose déjà d’un inventaire important de petits drones de surveillance, ainsi que d’obus de mortier guidés par GPS qui peuvent être utilisés en coordination avec les drones comme le Raven RQ-11B de AeroVironment. Le Raven est deux fois plus endurant que le BattleHawk et a été en service dans l’armée depuis 2006. Environ 20.000 sont déjà déployés. Textron Defense Systems a donc du pain sur la planche pour vendre son drone BattleHawk.
Le BattleHawk embraque une charge fragmentation de 40 mm qui explose au contact de la cible. Il est conçu pour des «cibles vulnérables», un représentant de la compagnie a dit qu’il est destiné à réduire les «dommages collatéraux» lorsqu’il explose.
Ainsi, par exemple, si une équipe est sous le feu d’une position cachée sur une colline, elle pourrait déployer un BattleHawk au-dessus et derrière la couverture, localiser l’attaquant, puis plonger tranquillement à environ 60 miles à l’heure pour le tuer.
Textron Defense Systems n’a pas encore vendu le BattleHawk à personne, mais espère remporter un contrat pour fournir l’armée américaine. La société commercialise également une version « non-militarisé » du drone à des fins de surveillance pures; moins la grenade, le BattleHawk désarmé offre une autonomie prolongée et peut être récupéré pour être réutilisé.
Cependant, l’armée dispose déjà d’un inventaire important de petits drones de surveillance, ainsi que d’obus de mortier guidés par GPS qui peuvent être utilisés en coordination avec les drones comme le Raven RQ-11B de AeroVironment. Le Raven est deux fois plus endurant que le BattleHawk et a été en service dans l’armée depuis 2006. Environ 20.000 sont déjà déployés. Textron Defense Systems a donc du pain sur la planche pour vendre son drone BattleHawk.